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Je te raconte pas !!!!! le voyage......la rencontre


Messages recommandés

La Rencontre…
bon allez c'est parti......
c'était ya pas longtemps, l'envie me prend (en faite elle ne m'a jamais quitter) de chevaucher un de ces pur sang avec des jumeaux plats (pardon un flat touines) yep! je la trouve belle, bandan...pardon je m'égare, sexy, bref me voila ti pas amoureux de la donzelle gros flat va...je reluque internet et ses petites annonces, tergiverse, rougis, et puis me lance, ce sera celle là, ah oui, que t'es belle, je te veux ma R1200R.....yes… !!!!
bon chuis dans le Vercors ou c'est que c'est que t'es AH OUH LA !!!!de l'autre coté de la france, aaarghh !!!mais quand on aime hein, contacte avec le vendeur, négociation, l'affaire est en bonne voie, assureur, garage, etc..bon ça prend du temps et l'affaire suit son cour.....achat du casque, de mon blouson super motard, des gants, du pantalon….
fo que je parte chercher la dame en train avec mon nouveau casque, pis mon super blouson motard et tout le reste (pantalon, polaire, gants, etc....et mon thermos de café)
Grand jour sonnez trompette....
Lever 05 00 heure du matin bien sur, je frétille, endormi, mais frétillant...
Je part jusqu'à la gare de Saint Marcellin avec Titine (Titine, c'est mon quatre roues) parce que la gare à pied elle est vachement loin, style 5 heures de marche, alors comme ya pas de bus (en dehors des bus scolaires) dans le bled ou que je crèche, allez hop pas d’état d'âme, ma grosse touine je l'aime déjà….
06 10 heures je prends le bus qui m’emmène à la gare de tgv de Valence, tatataaaaa c’est les trompettes !!!, gare de valence, ça caille dehors et le train à 10 mn de retard, comme la poulette qui sert le café est bien mignonne, ni une ni deux, je m’en va me réchauffer le gosier….(à defaut !!!)
Le train à grande vitesse avec 10 mn de retard arrive enfin en gare et m’emmène à Paris gare de Lyon…
C’est fou comme on se traine dans un train a 320 km/h…j’aime bien regarder les vaches qui regardent passer le train mais bon au bout de 10 mn on peut pas les regarder longtemps parce que ça court pas vite une vache….
Arrivé gare de Lyon à 10 00 heures toujours avec nos 10 mn de retard… bon fo pas trop tarder , je dois prendre un autre te ge ve à 10 heures 45 mn à la gare Montparnasse avec le bus numéro 91 et j’ai ¾ d’heures,
Cool que je me dis, bon je sors de la gare, troupeau de goldwing avec des mecs qui se la pètent trop sec …j’ignore avec dédain ces motardtaxis, ces taximotos, ces moxis bref je cherche ce bus de 91…
Finalement je trouve un arrêt de 91 et après avoir examiné pendant au moins 40 secondes le panneau des arrêts, une inspiration quasi subite me fait retourner vers une dame tout en lui demandant fort à propos si ce 91 va à la gare Montparnasse…euh ! hein ! quoi ! oui ! me répond elle ,
Ah non non non, c’est la mauvaise direction ajoute-t-elle….
10 heures 05 mn , je repars donc à priori en face et cherche mon arrêt de 91,quand à 200 mètres illuminé de bonheur, je le trouve, quoi, quid, quides, quidatur, l’arrêt est déplacé 1 rue machin chose…
Simulant la ruse et le bon sens, au même instant la petite mamie devant moi (au même arrêt),soupir, renifle et part directe tout droit ,je la suits, mal m’en prit au bout d’une minute elle fait demie tour, tant qu’à faire j’attend qu’elle me dépasse et lui remboite le train….
A 1 mètre derrière elle, avec mon sac à dos, mon casque dans un sac dans la main, et mon blouson super motard, je visite les arrêts de bus de paris devant la gare de lyon, avec toujours au loin le troupeau de goldwing, levant les yeux j’aperçois enfin l’arrêt tant convoité, un 91 de bus en redémarre, calculant ma trajectoire, j’intercepte le malotru qui ne nous a pas attendu, mamie est maintenant derrière moi ,je tape à la porte au feu rouge avec mon plus beau sourire, mais le malandrin surpris ne veut pas ouvrir….
Jusque là, c’est dans une zénitude complète que je laisse ces petits tracas quotidien glisser sur moi
Un autre de ces 91 de bus arrive (j’avions lu sur le site de la RATP qu’il fo ½ heures d’une gare à l’autre)mais amoureux comme je suis,(tout à l’heure je te chevaucherais…eh eh eh !!!.)je m’installe dans ce grand bus attendant patiemment d’être arrivé à destination….
10 heures35, bon faudrait p’t être activer un peu quoi, autant le chauffeur d’avant s’arrêtait pas, autant suilà y s’arrête, putain qu’est ce qui s’arrête (pardon pour le gros mot…) y s’arrête pour prendre des filles, y s’arrête pour prendre des garçons, y s’arrête pour prendre des mamies, y s’arrête pour prendre des papies, y s’arrête pour prendre des chiens pis des chats, y s’arrête pour causer avec son pote du bus d’en face, y s’arrête avant même que le feu soit à l’orange, y s’arrête même aux arrêts….(tout ce que je vous dis là est véridique, sauf pour les chiens et les chats, j’avoue !!!)
10h 43 mn, je lorgne, je zieute, devant moi marqué sur une façade, même pas le fronton de la gare, Gare Montparnasse accès TGV bon, je veux bien mais c’est une entrée de parking, mon sang n’a fait qu’un tour,tant pis, perdu pour perdu, je cours, (je vais encore dire des gros mots, mais tant pis….) donc je cours….des escaliers, je cours dans les escaliers …..et là je débouche comme par miracle (d’ailleurs c’est un miracle, Dieu aime la moto, c’est connu et même scientifiquement prouvé, si…si,si, le diable aussi d’ailleurs, mais je vous le raconterait une autre fois….)donc comme par miracle dans une gare pleine de tgv….
Ouhaahhh, trop top !, putain, c’est lequel…..ayant identifié un personnel (plutôt une personnelle de la société nationale des chemins de fer français), je la hèle rapidement poliment entre deux respirations, bonjour madame ……….………..je souffle, le train pour Poitiers c’est lequel…………….. …………………..……je re –souffle, cependant, lorsque je m’approchais, déjà une angoisse sourde et diffuse m’envahissais, insaisissable dans mon inconscient, mais perceptible dans mon sentiment..
Toujours avec un à propos qui me stupéfie, elle me répond de son accent chantant des iles, qui fo regarder les panneaux de départ des trains tout en me montrant ostensiblement le matériel de ménage qu’elle a dans la main….
Bon euh…..ah oui…suis-je sot….toujours très poliment, je cours vers le panneau, tout en la remerciant, gnnn,gnnn,gnn (là, j’observe en essayant de respirer) eureka voie 7 OU 6 OU 5 je ne sais plus, direction Poitiers…..
Ah, un contrôleur, avec sa casquette, et son uniforme, surement un personnel de la société nationale des chemins de fer français compétant, pensais-je en 10 secondes, et tres poliment, car les employés de la société nationale des chemins de fer français sont tres sensible à la politesse, je l’ai lu sur client à la con, il y a quelques années (tout ce que je vous écris est véridique, j’insiste !!!) je demande à l’individu sus nommé, le train pour Poitiers…..(étant à priori presque sur le bon quai)
Sans accent, ce brave homme me répond, de façon quasi patibulaire même, qu’il me fo regarder le panneau des départs de ……….blablabla….
Alors là, j’ai été très impoli avec ce personnel de la société nationale des chemins de fer français, sans le regarder davantage, sans un mot, sans une parole, je suis reparti en courant , sans lui dire merci ni même au revoir…
Je cours, putain, qu’est ce que je cours, j’avise tout en courant un autre préposé de la société…non j’ai pas le temps, de la sncf, bonjour….je respire, Poitiers…je respire, oui me répond le gaillard , je respire, je l’aurai embrassé sans respirer, mais dépêcher vous ajoute le bougre…… au revoir lui criais- je tout en courant devant les wagons, essayant de respirer….arrivé trois wagons plus loin,j’en peut plus, j’ai peur que le train parte sans moi, je saute dedans, puis m’écroule sur un strapontin, là, je n’arrive plus à respirer (ça fait 15 jours que j’ai arrêter de fumer, mais quand même, courir comme ça à presque 50 balais putain de putain…) bip,bip ,bip 10 secondes plus tard ,le train s’ébranle puis part…..toujours en essayant de respirer, je souris ,plutôt je grimace de plaisir ,je l’ai eu……ce train.
Après un temps indéterminé, plutôt long que court, je me relève, les jambes flageolantes, sort mon billet, et m’aperçois que mon wagon est 15 voitures plus loin…(c’est pas compliqué ce train devait avoir 18 wagons)
Vaillamment, je traverse tout ce put….pardon, de train avec mon blouson super motard sur le dos et la casque dans le sac dans la main…là maintenant je respire de nouveau, mais j’ai chaud, vraiment chaud…
12 heures et des brouettes, arrivé enfin à Poitier, il me reste encore un espèces de T.E.R de campagne à prendre à 13 heures 05 mn pour la destination finale saint truc muche à une demie heure de Poitiers en train.
Je vous l’ai pas dit, mais comme arrêter de fumer c’est bien, soyons bourrin jusqu’au bout, j’en profite pour arrêter de manger aussi….enfin pas arrêter complètement, mais arrêter beaucoup de manger, une sorte de régime motard, style gaz man mais dans l’autre sens, bref j’ai tellement faim, que je ne pense même pas à fumer, par contre je bois du café, mon ex chère et tendre m’ayant offert une cafetière italienne, pas fort le café, mais bon ça marche, au jour d’aujourd’hui, j’ai bien perdu et ne fume toujours pas, mais bois du café style pisse d’âne que je trouve super bon, c’est vous dire….(ça doit être ma crise de la cinquantaine)
Oui bon, je vous raconte tout ça, parce qu’a Poitiers, je me dis (en parlant à moi-même dans ma tète) ben mon gars, tu l’as eu (en pensant au train) je m’en vais me faire un ptit extra, et là, paf, je me paye un kebab sauce yaourt, en plus y mette plein de frites, mais fo pas pousser je les ai jeter…
13heures 05, je trouve le dernier train que je dois prendre, vieux et défraichi, mais m’installe tout en joie par la fin du voyages en trains (et aussi certainement grâce au kebab), ainsi que par l’approche de notre premier rendez vous avec ma belletouine….
13heures 35, avisant le contrôleur de la société nationale des chemins de fer français qui vient de me contrôler, je lui demande donc si le prochaine arrêt est celui de ma destination (car j’ai pu observer sur les arrêts précédent que le lieu n’était pas toujours facilement repérable)….après un intense moment de réflexion le sot (vous allez comprendre pourquoi dans un instant) me répond que oui, c’est le bon.
J’entends alors une voix, viril mais correcte, corriger ce sot de contrôleur, lui suggérant aimablement que non, c’est celui d’après le prochain.
Reprenant sont intense réflexion, ce sot de contrôleur de la société blablabla…au demeurant fort sympathique, admettant son erreur, se retourne vers ma personne et confirme les dires de l’usagé l’ayant corrigé.
Cette fois ça y est je sors du train, le vendeur de ma promise m’attend sur le parking de la gare, il est 13heures 50 minutes, mon cœur commence à battre un peu plus vite, enfin je vais la voir, la toucher, écouter la mélodie pistonnesque des engins, respirer son parfum de gaz brulé, admirer ses courbes…mon impatience viens de grandir tout d’un coup, vite vite, il y a si longtemps que je t’attends….. Devil2

La suite....

Nous sommes à Saint Souliol ou quelque chose comme ça, température relativement fraiche en ce début du mois de Mars, pas plus de huit degrés, et voila que nous commençons à bavarder sur le parking, de son boulot, des difficultés diverses et variées de la vie professionnelles quand on est éducateur spécialisé….etc.…
(bon, perso chuis pas éducateur du tout même si je connais un peu) et bla et bla et bla, nous papotons, je commence à me cailler les pinceaux, après la chaleur du train pis surtout ça commence (paradoxe étrange) à bouillir au fond de moi).
là, je vais vous faire une petite digression, sur ma vie de motard, j’aime la moto, oh oui, depuis mes treize ans, la première fois ou je suis monté sur un engin motorisé à deux roues seul, la magie a pris directe, c’était un solex avec un énorme moteur d’au moins 38 cm3 appartenant a un cousin sur le bord du Rhône, oh là, mais, mais sa avance tout seul ce truc, mais pas besoin de pédaler, mais…waouh !!!.......ensuite à 14 ans et 6 mois , la 103 sp siouplait msieurdame, avec jantes alu, que j’ai garder 1 mois âpres l’avoir roder comme un co… pendant 1000 km,(ben oui je m’était mis dans la tête de la roder pendant mille kilomètres, pas plus de 45 kmh) pour me la faire piquer illico et enfin à 18 ans une honda 125 xlr petit mono 4 temps, alors que je passais vaillamment le permis a3,en prévision d’achats un peu plus conséquents ,pis c’est tout, que dalle, rien de plus, pour des raisons diverses et variés, parce que parfois la vie est un peu plus compliqué que prévu, je n’ai fait que reluquer l’ensemble des véhicules motardisés le reste de mon existence…
Alors inutile de vous dire que là, 30 ans plus tard, nom de Dieu, avec environ 1100 cm3 de plus dans la tête, je frétille plus, je ne trépigne pas, je ne bave pas non plus car j’ai été bien élevé et dans la tradition, je commence simplement à évité de me dandiner d’une jambe à l’autre trop ostensiblement devant mon cher vendeur sur ce putain de parking de gare perdu pas loin du trou du cul du monde sous un ciel gris en me demandant si il va pleuvoir, et que maintenant il fo qu’on BOUGE…..
Là, re-sonner trompète, in the car (dans la voiture ! pour les non anglophone),je comprends que le gars aime son boulot, parce que ça continue, y cause, mais nous roulons vers ma belle, alors bien polie, même si j’écoute que d’une oreille, j’acquiesce, je confirme, je dodeline de la tête d’un air entendu, bref, tout suave extérieurement, j’essaye tant bien que mal de retrouver ma zenituderie intérieur.
Nous sommes devant le garage, il ouvre la porte, et je la découvre ……….
Je tourne autour, m’humectant légèrement les lèvres qui sont très sèche tout d’un coup, je ne l’ai pas encore touché, j’apprécie le moment, je savoure l’instant, ya un truc qui se tortille agréablement dans mon ventre….mmmhhh cette grosse paire de cylindre débordant généreusement de chaque coté , posée gracieusement sur sa béquille centrale, mein liebe !!!!
Je passerai rapidement sur les formalités, les explications, les descriptions, 14heures 45 mn environ, l’instant T est là, mon blouson super motard bien serré, le casque en place, chuis dessus, contact, la douce mélodie résonne encore dans mes oreilles, oh !, c’est la première fois, réalise-je, et c’est partie, bon pas trop vite hein, ya des gravillons partout dans son jardin…..
Arrivé sur la route, après un dernier salut de la main, nous sommes enfin seul !!! ,3 eme, 4 eme, ouh la sa pousse, ouh la sa tourne…..arrêt à mon premier stop, le dos bien droit, je laisse passer les voitures, fo dire que là, je me la pète sec et grave, j’ai la bouille fendu en deux de plaisir et de fierté (50 balais, j’y crois pas…)
Allez je repart , tranquille,1,2,3,4,5,6eme déjà à 110, bon la maréchaussée ne doit pas être loin ,reste cool, prend la dame bien en main, va pas te faire pourrir tes points immédiatement…..
Au bout de 30 minutes, n’ayant pas mis mon surpantalon motard, et comme j’ai les génitoires qui se sont rétrécies grave, je m’arrête 1°), pour pisser un coup, fo que le café évacue… 2°), mettre ce pantalon parce que les genoux, ça craint…
On the road again, direction Clermont Ferrand ou un pote m’attend vers les 18 heures, Cool que je me dis encore, ayant repérer la route avec google earth, les genoux ça va mieux , l’engin se pilote avec une facilité et un plaisir que je n’avais pas ressenti depuis très très longtemps, bref des moments qui ne s’oublient pas dans une vie …
Je file sur la voie rapide direction Limoges…. Je file même un peu trop, quand tout à coup je vois un panneau de signalisation marqué Toulouse, hein ? Toulouse ? c’est quoi ct’embrouille pensais-je, le vent sifflant à mes oreilles….il est ou le panneau de Clermont ? Ça fait maintenant 150 km que je roule et j’arrive bientôt sur la réserve, mon sympathique vendeur n’avait pas fais le plein…. Alors je sors de cette voie rapide et trouve une station dans un bled dont je n’ai même pas vu le nom ….
Une brave dame vient me faire le plein, c’est rare de nos jour, j’en profite, et lui demande la route pour Clermont-ferrand , La route pour clermont-ferrand répète –t-elle, d’un air reflexionnesque, c’est compliqué, reprend elle, s’ensuit une suite de mots bizarres avec des noms de patelins que même viamichelin a jamais entendu….. merde de merde de merde pensais-je me voila complètement largué vers les 16 heures de l’après midi dans le centre de la France avec pas la moindre indication, pas le moindre panneau pour Clermont.(bon je voulais pas retourner sur mes pas si j’ose dire, un homme a sa fierté ,tout de même….)cependant cet accès d’émotion négative était très tempéré par le fait de conduire cette extraordinaire motocyclette….
Il ne me reste plus que mon vieux téléphone portable avec son GPS intégré et autonome, mais pour le faire tenir avec un support de voiture, c’est pas top, (j’avais pris soin de rentrer la route avant de partir au cas ou….)
Je branche le global positionning system qui me dit 3 heures 30 minutes de route, bon d’accord c’est pas la route prévu, je calcul, à vue de nez, j’appelle le poteau et lui dit que je serai un peu en retard, arrivé vers 19 heures et des poussières… pensant ne pas trop rouler de nuit dans le massif central….
Allez en selle, il est 16 heures 30 mn, je suis au mieux les indications de mon téléphone gps que finalement j’ai réussi à fixer et orienter de façon adéquate, car j’ai failli le perdre en route... ayant enfin trouvé un panneau pour Clermont, puis une autoroute, je coupe le gps son autonomie étant très limitée.(parce qu’en plus je ne suis jamais allé chez le copain….)
Cela fait maintenant plus d’1 heure 30 mn que je roule, ciel gris, la nuit tombe, euh la température aussi, 4, pis 3, pis 2, pis 1 degrés, le témoin de température clignote, aarghl, j’ai froid au genoux, ah ça j’ai repéré le bouton des poignées chauffante illico ,stoïque, en plein massif central, je m’arrête sur une air de service ,j’arrive pas à marcher, alors là, incroyable, croyant voir personne, il fait nuit maintenant, je me gare à coté d’une sorte de Clio avec deux minettes à l’intérieur, qui discutent, se marrent ,au loin un camion de service tous feux allumés éclairent un gars qui nettoie les toilettes, à 19 heures le soir ,bizarre, et des 38 tonnes tous feux éteints ou ya pas une oreille qui bouge … et moi là je marche, enfin j’essaye parce que j’arrive pas à déplié les genoux pis les hanches…. Alors je monte, pis je descend, je remonte pis je redescends l’espèce de trottoir, pendant 10 minutes histoire de me réchauffer, les minettes babillent…
Allez plus qu’une heure je me dis, flattant d’une main non-chalante la croupe de ma monture (objet inanimé avez-vous donc une âme )….
Pour une première, cela devient un peu duraille, je repart, température 0° 0,5° , avec un peu de crachin qui s’y met, c’est pas mal, manque plus qu’un peu de brouillard ou de neige et mon compte est bon….
C’est le brouillard qui s’invite, prochaine station dans 30 kilomètres, donc je résume : nuit,(le moindre mal),crachin, température quasi 0°,brouillard, j’ai ralenti, chuis à 90, sur l’autoroute, putain j’y vois rien à 10 mètres, je tombe à 80…..c’est quoi ce bruit derrière moi ,putain de putain, j’y vois rien et le 38 tonnes qui fonce derrière n’y vois rien non plus….bon là je vous avoue que j’avais plus de génitoires du tout, alors j’ai détendu les miches (enfin j’ai essayé),pis la main droite parce qu’à force de serrer la poignée, je ne sentais plus mes doigts…pour enfin arriver à la station prés de Riom, redescendant sur Clermont, le brouillard se dissipant…. Re re sonné trompette, C’est le meilleur chocolat chaud du monde que j’ai jamais bu !!! mmmmhh chaleur aux odeurs bon marchés exquises des stations d’autoroute….je revis petit à petit….me sachant maintenant plus qu’à 20 minutes de ma destination, je vais beaucoup, beaucoup mieux,(surtout plus de brouillard et les températures remonteront d’environ 5 ° et ça change tout).
Il est 20 heures quand j’arrive enfin ….un dernier petit effort pour garer la bête, le pote me fait passer entre deux murs, je dois avoir 2cm de chaque coté des cylindres….je crois qu’il est démoniaque et qu’il le fait exprès…. !!!!
21 heures 30 mn, rideau, au pieu, je me souviens même pas si la tête à touchée l’oreiller. (sans doute). Après avoir dormi comme un loir, debout 7heures, petit dej très cool, je m’habille tout comme il fo, et repart après avoir remercié chaleureusement mes amis….
Alors là je te raconte pas, descente sur la vallée du rhone, pas de brouillard, pas de crachin, pas de nuit, température presque 10°,les conditions quasi idéales quoi, et gaz ,mon premier 140,150,160,170,180 kmh, je m’accroche, je surveille, je couine, gaz man, je kiff ,j’exulte, ça vibre, ça souffle fort, c’est pas compliqué j’entends que le vent dans mes oreilles, j’ai eu la mauvaise idée de me prendre un modulaire par inexpérience, m’en fout, roule, ouahhh, qu’est ce que ça pousse fort, ouahhh qu’est ce que c’est cool…..ouahhh qu’est ce que j’aime ça… !!!!
Le reste de mon aventure se passera tranquillement, avec simplement quelques petites accélérations style chirurgical, pour doublé l’impudent qui ose rouler en dessous des vitesses autorisées….ahh les papies, à casquette ou autre couvre chef, attention risques maximales…..
Le seul fait notoire qui mérite d’être rapporté, c’est qu’il a bien fallu aller chercher titine à la gare, donc , 14 heures 30mn,15 heures, après avoir piloté le plus fabuleux des engins que j’ai eu la chance d’avoir entre les jambes (enfin presque parce que j’ai quand même eu aussi 2 loupiots), j’ai donc pris mon vtt, pour ¾ d’heures de grimpette, et un vtt après une R1200R bleu et tout un troupeau de bourrins…. C’est, comment dire,………………… !!!!!!!
Merci à vous de m’avoir lu, je vous enverrai une ptite photo de la bête……

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Et maintenant ? C'est la pub ? Comme la tvBouygue ?
Merde, on attend la suite... y'en a marre des feuilletons...
L'homme du Picardie, Noëlle aux quatre vents,... fini, ça, allez, au boulot, c'est pas plus belle la vie.... TristeTriste

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Lyli a écrit:
Que c'est agréable de ce lever matines de prendre son temps pour lire ce début de récit attrayant et de laisser voguer son imaginaire en attendant que tu reviennes écrire la suite...


+1

quelle ville à côté de Poitiers?
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C'est une arnaque, un TGV a l'heure et un TGV avec 10 minutes de retard.
Ce mec est un fieffé baratineur.

Manqerait plus qu'il ai pris un taxi parisien sympa et alors là.........

Taiiin venir du Vercors affronter la délicieuse organisation SNCFienne et RATPiste, moi je dis chapeau bas. On doit avoir l'impression d'avoir fait la moitié du tour de la terre !!!!!





Bon, la suite ?

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Trop bien Bien !
J'adore, j'me marre, j'm'imagine. J'en ai tellement vu courir après leur train. Mort de rire !
M'enfin si tu nous avais demandé aussi, on t'aurait indiqué que le bus c'est pas le seul moyen de transport à Paris. Le RER et le métro vont très bien et bien plus vite. Perplexe

Bon la suite, la suite.
J'm'installe, j'prends un casse croute et ma bibine. Vas-y roll\'jump

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victoire Super, bravo, génial, j'adore te lire Sapetoku, vivement la suite, une suite de la même trempe, putain ça sent le vrai, l'angoisse, la joie, la faim, la soif, la peur, le kebab etc

On en redemande Bien !
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Ben c'est probable que notre aventurier du rail ,il est tellement content de sa nouvelle mouture qu'il ne quitte plus, et même qu'il dort avec son blouson, son cax et ses gants.
Alors vous z'avez qu'a essayer d'écrire avec des gants de moto pour comprendre que la suite...
C'est pas pour maintenant !
Mais, ça viendra, aprés un tel démarrage y peut pas nous laisser sur notre faim le gars du Vercors.

Alain

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La suite....
Nous sommes à Saint Souliol ou quelque chose comme ça, température relativement fraiche en ce début du mois de Mars, pas plus de huit degrés, et voila que nous commençons à bavarder sur le parking, de son boulot, des difficultés diverses et variées de la vie professionnelles quand on est éducateur spécialisé….etc.…
(bon, perso chuis pas éducateur du tout même si je connais un peu) et bla et bla et bla, nous papotons, je commence à me cailler les pinceaux, après la chaleur du train pis surtout ça commence (paradoxe étrange) à bouillir au fond de moi).
là, je vais vous faire une petite digression, sur ma vie de motard, j’aime la moto, oh oui, depuis mes treize ans, la première fois ou je suis monté sur un engin motorisé à deux roues seul, la magie a pris directe, c’était un solex avec un énorme moteur d’au moins 38 cm3 appartenant a un cousin sur le bord du Rhône, oh là, mais, mais sa avance tout seul ce truc, mais pas besoin de pédaler, mais…waouh !!!.......ensuite à 14 ans et 6 mois , la 103 sp siouplait msieurdame, avec jantes alu, que j’ai garder 1 mois âpres l’avoir roder comme un co… pendant 1000 km,(ben oui je m’était mis dans la tête de la roder pendant mille kilomètres, pas plus de 45 kmh) pour me la faire piquer illico et enfin à 18 ans une honda 125 xlr petit mono 4 temps, alors que je passais vaillamment le permis a3,en prévision d’achats un peu plus conséquents ,pis c’est tout, que dalle, rien de plus, pour des raisons diverses et variés, parce que parfois la vie est un peu plus compliqué que prévu, je n’ai fait que reluquer l’ensemble des véhicules motardisés le reste de mon existence…
Alors inutile de vous dire que là, 30 ans plus tard, nom de Dieu, avec environ 1100 cm3 de plus dans la tête, je frétille plus, je ne trépigne pas, je ne bave pas non plus car j’ai été bien élevé et dans la tradition, je commence simplement à évité de me dandiner d’une jambe à l’autre trop ostensiblement devant mon cher vendeur sur ce putain de parking de gare perdu pas loin du trou du cul du monde sous un ciel gris en me demandant si il va pleuvoir, et que maintenant il fo qu’on BOUGE…..
Là, re-sonner trompète, in the car (dans la voiture ! pour les non anglophone),je comprends que le gars aime son boulot, parce que ça continue, y cause, mais nous roulons vers ma belle, alors bien polie, même si j’écoute que d’une oreille, j’acquiesce, je confirme, je dodeline de la tête d’un air entendu, bref, tout suave extérieurement, j’essaye tant bien que mal de retrouver ma zenituderie intérieur.
Nous sommes devant le garage, il ouvre la porte, et je la découvre ……….
Je tourne autour, m’humectant légèrement les lèvres qui sont très sèche tout d’un coup, je ne l’ai pas encore touché, j’apprécie le moment, je savoure l’instant, ya un truc qui se tortille agréablement dans mon ventre….mmmhhh cette grosse paire de cylindre débordant généreusement de chaque coté , posée gracieusement sur sa béquille centrale, mein liebe !!!!
Je passerai rapidement sur les formalités, les explications, les descriptions, 14heures 45 mn environ, l’instant T est là, mon blouson super motard bien serré, le casque en place, chuis dessus, contact, la douce mélodie résonne encore dans mes oreilles, oh !, c’est la première fois, réalise-je, et c’est partie, bon pas trop vite hein, ya des gravillons partout dans son jardin…..
Arrivé sur la route, après un dernier salut de la main, nous sommes enfin seul !!! ,3 eme, 4 eme, ouh la sa pousse, ouh la sa tourne…..arrêt à mon premier stop, le dos bien droit, je laisse passer les voitures, fo dire que là, je me la pète sec et grave, j’ai la bouille fendu en deux de plaisir et de fierté (50 balais, j’y crois pas…)
Allez je repart , tranquille,1,2,3,4,5,6eme déjà à 110, bon la maréchaussée ne doit pas être loin ,reste cool, prend la dame bien en main, va pas te faire pourrir tes points immédiatement…..
Au bout de 30 minutes, n’ayant pas mis mon surpantalon motard, et comme j’ai les génitoires qui se sont rétrécies grave, je m’arrête 1°), pour pisser un coup, fo que le café évacue… 2°), mettre ce pantalon parce que les genoux, ça craint…
On the road again, direction Clermont Ferrand ou un pote m’attend vers les 18 heures, Cool que je me dis encore, ayant repérer la route avec google earth, les genoux ça va mieux , l’engin se pilote avec une facilité et un plaisir que je n’avais pas ressenti depuis très très longtemps, bref des moments qui ne s’oublient pas dans une vie …
Je file sur la voie rapide direction Limoges…. Je file même un peu trop, quand tout à coup je vois un panneau de signalisation marqué Toulouse, hein ? Toulouse ? c’est quoi ct’embrouille pensais-je, le vent sifflant à mes oreilles….il est ou le panneau de Clermont ? Ça fait maintenant 150 km que je roule et j’arrive bientôt sur la réserve, mon sympathique vendeur n’avait pas fais le plein…. Alors je sors de cette voie rapide et trouve une station dans un bled dont je n’ai même pas vu le nom ….
Une brave dame vient me faire le plein, c’est rare de nos jour, j’en profite, et lui demande la route pour Clermont-ferrand , La route pour clermont-ferrand répète –t-elle, d’un air reflexionnesque, c’est compliqué, reprend elle, s’ensuit une suite de mots bizarres avec des noms de patelins que même viamichelin a jamais entendu….. merde de merde de merde pensais-je me voila complètement largué vers les 16 heures de l’après midi dans le centre de la France avec pas la moindre indication, pas le moindre panneau pour Clermont.(bon je voulais pas retourner sur mes pas si j’ose dire, un homme a sa fierté ,tout de même….)cependant cet accès d’émotion négative était très tempéré par le fait de conduire cette extraordinaire motocyclette….
Il ne me reste plus que mon vieux téléphone portable avec son GPS intégré et autonome, mais pour le faire tenir avec un support de voiture, c’est pas top, (j’avais pris soin de rentrer la route avant de partir au cas ou….)
Je branche le global positionning system qui me dit 3 heures 30 minutes de route, bon d’accord c’est pas la route prévu, je calcul, à vue de nez, j’appelle le poteau et lui dit que je serai un peu en retard, arrivé vers 19 heures et des poussières… pensant ne pas trop rouler de nuit dans le massif central….
Allez en selle, il est 16 heures 30 mn, je suis au mieux les indications de mon téléphone gps que finalement j’ai réussi à fixer et orienter de façon adéquate, car j’ai failli le perdre en route... ayant enfin trouvé un panneau pour Clermont, puis une autoroute, je coupe le gps son autonomie étant très limitée.(parce qu’en plus je ne suis jamais allé chez le copain….)
Cela fait maintenant plus d’1 heure 30 mn que je roule, ciel gris, la nuit tombe, euh la température aussi, 4, pis 3, pis 2, pis 1 degrés, le témoin de température clignote, aarghl, j’ai froid au genoux, ah ça j’ai repéré le bouton des poignées chauffante illico ,stoïque, en plein massif central, je m’arrête sur une air de service ,j’arrive pas à marcher, alors là, incroyable, croyant voir personne, il fait nuit maintenant, je me gare à coté d’une sorte de Clio avec deux minettes à l’intérieur, qui discutent, se marrent ,au loin un camion de service tous feux allumés éclairent un gars qui nettoie les toilettes, à 19 heures le soir ,bizarre, et des 38 tonnes tous feux éteints ou ya pas une oreille qui bouge … et moi là je marche, enfin j’essaye parce que j’arrive pas à déplié les genoux pis les hanches…. Alors je monte, pis je descend, je remonte pis je redescends l’espèce de trottoir, pendant 10 minutes histoire de me réchauffer, les minettes babillent…
Allez plus qu’une heure je me dis, flattant d’une main non-chalante la croupe de ma monture (objet inanimé avez-vous donc une âme )….
Pour une première, cela devient un peu duraille, je repart, température 0° 0,5° , avec un peu de crachin qui s’y met, c’est pas mal, manque plus qu’un peu de brouillard ou de neige et mon compte est bon….
C’est le brouillard qui s’invite, prochaine station dans 30 kilomètres, donc je résume : nuit,(le moindre mal),crachin, température quasi 0°,brouillard, j’ai ralenti, chuis à 90, sur l’autoroute, putain j’y vois rien à 10 mètres, je tombe à 80…..c’est quoi ce bruit derrière moi ,putain de putain, j’y vois rien et le 38 tonnes qui fonce derrière n’y vois rien non plus….bon là je vous avoue que j’avais plus de génitoires du tout, alors j’ai détendu les miches (enfin j’ai essayé),pis la main droite parce qu’à force de serrer la poignée, je ne sentais plus mes doigts…pour enfin arriver à la station prés de Riom, redescendant sur Clermont, le brouillard se dissipant…. Re re sonné trompette, C’est le meilleur chocolat chaud du monde que j’ai jamais bu !!! mmmmhh chaleur aux odeurs bon marchés exquises des stations d’autoroute….je revis petit à petit….me sachant maintenant plus qu’à 20 minutes de ma destination, je vais beaucoup, beaucoup mieux,(surtout plus de brouillard et les températures remonteront d’environ 5 ° et ça change tout).
Il est 20 heures quand j’arrive enfin ….un dernier petit effort pour garer la bête, le pote me fait passer entre deux murs, je dois avoir 2cm de chaque coté des cylindres….je crois qu’il est démoniaque et qu’il le fait exprès…. !!!!
21 heures 30 mn, rideau, au pieu, je me souviens même pas si la tête à touchée l’oreiller. (sans doute). Après avoir dormi comme un loir, debout 7heures, petit dej très cool, je m’habille tout comme il fo, et repart après avoir remercié chaleureusement mes amis….
Alors là je te raconte pas, descente sur la vallée du rhone, pas de brouillard, pas de crachin, pas de nuit, température presque 10°,les conditions quasi idéales quoi, et gaz ,mon premier 140,150,160,170,180 kmh, je m’accroche, je surveille, je couine, gaz man, je kiff ,j’exulte, ça vibre, ça souffle fort, c’est pas compliqué j’entends que le vent dans mes oreilles, j’ai eu la mauvaise idée de me prendre un modulaire par inexpérience, m’en fout, roule, ouahhh, qu’est ce que ça pousse fort, ouahhh qu’est ce que c’est cool…..ouahhh qu’est ce que j’aime ça… !!!!
Le reste de mon aventure se passera tranquillement, avec simplement quelques petites accélérations style chirurgical, pour doublé l’impudent qui ose rouler en dessous des vitesses autorisées….ahh les papies, à casquette ou autre couvre chef, attention risques maximales…..
Le seul fait notoire qui mérite d’être rapporté, c’est qu’il a bien fallu aller chercher titine à la gare, donc , 14 heures 30mn,15 heures, après avoir piloté le plus fabuleux des engins que j’ai eu la chance d’avoir entre les jambes (enfin presque parce que j’ai quand même eu aussi 2 loupiots), j’ai donc pris mon vtt, pour ¾ d’heures de grimpette, et un vtt après une R1200R bleu et tout un troupeau de bourrins…. C’est, comment dire,………………… !!!!!!!
Merci à vous de m’avoir lu, je vous enverrai une ptite photo de la bête……

SAPETOKU vieux motard que jamais Bien !
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Merci et encore merci, bravo pour ce texte digne des meilleurs romans romanesques motardisant, T'es passé à deux doigts et une phalange de chez moi Clin d\\'oeil.

On attends les photos de la belle.
à Bientôt et au plaisir de te rencontrer, ou à défaut, de te relire Applause

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Le jour où tu commenteras ta première Flatapak (celle de 2012, par exemple), y'a de grandes chances que tu passes dans le top ten des meilleurs posteurs Tourne

J'ai savouré ton récit, qui m'a rappelé une aventure presque identique et qui m'est arrivé le lendemain de l'obtention de mon permis. J'ai pris aussi le tgv à Grenoble pour Paris gare de Lyon --->transport en commun --->gare Montparnasse ---> St Quentin en Yvelines, où j'ai pris possession de ma première moto, une R 1150 R.

Il m'en reste un souvenir ému Clin d\\'oeil

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Ca fait 1000 ans que je suis pas venu. je commence par là et je suis pas déçu. Je cours à la partie 2 (j'ai vu qu'y avait ! mais, rusé j'ai commencé par le début). Je sais pas ce que ça va donner en saison 2 mais ,de dieu, tu mérite une superbe 1200 Sapet.

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Je prends ce topic en cours de route et opère le flash back indispensable pour en comprendre la genèse

Si la présentation fut brève, le Sapet s'est largement rattrapé avec ces deux récits historiques de "la rencontre" avec sa belle

Chose promise, nous attendons les photos avec impatience

Je cumule alors la bienvenue

et mes pour cette belle acquisition

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Ha, c'était toi le type en bécane !
On m'a demandé entre la rue St amable et la tour de l'horloge "c'était qui le type en BM ?" Ben je peux répondre dés demain:"c'était Sapet, un copain qui connait rien en trains." CoucouBien !

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Laurence a écrit:


Même que j'ai tout lu d'une seule traite...

Vite une 1ère fois.... et la seconde beaucoup plus lentement pour apprécier !! de la belle prose

Si tes photos sont aussi réussies que ton récit ....


Ah !!! Parce qu' en plus y a des photos ??? Monsieur a tout les talents !!! Mort de rire !
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