randy de puniet

[ninja-moto-13 0]

randy comme chacun le sait est aixois
le pilote 3eme du championnat du monde 250 en 2004 sera officiel kawa l'année prochaine

moto-13 lui souhaite une saison riche en evenements et podiums

petit digest:
Palmarés de Randy
Randy de Puniet, né le 14 février 1981

Saison 1995: Vainqueur de la Typhoon Cup

Saison 1996: 5e du championnat de France Promo-Sport en 125cc
4e de la Coupe Cagiva en 125

Saison 1997: Champion de France Promo-Sport 125cc
2e du championnat de France Open 125cc
Champion de France Nationale 125cc
Vainqueur de la Coupe Cagiva 125cc

Saison 1998: Champion de France Open 125cc
9e du championnat d'Europe 125cc (1 victoire en Croatie)

Saison 1999: 18e du championnat du monde 125cc

Saison 2000: 17e du championnat du monde 125cc

Saison 2001: 13e du championnat du monde 250cc

Saison 2002: 8e du championnat du monde 250cc

Saison 2003: 4e du championnat du monde 250cc
3 victoires
2 places de second
4 places de troisième
Total : 9 podiums
5 poles

Saison 2004: 3e du championnat du monde 250cc
1 victoire
4 places de second
3 places de troisième
Total : 8 podiums
2 poles

biographie:
Sur les traces de son père
Avant Randy de Puniet, il y avait le père. Dans les années 70, de Puniet senior participe au championnat du monde d'endurance. " Il avait un bon niveau mais son rêve, c'était de faire des Grands Prix. Finalement, il a pu le réaliser avec moi " explique Randy. Le décor est planté. Fils de pilote, la voie est toute tracée. A trois ans, ses parents lui offrent à Noël sa première moto, un PW 50 Yamaha et à huit ans, il commence le motocross. " Quand j'étais petit, il fallait que je me dépense. J'étais assez turbulent mais une fois que j'ai commencé la moto, ça m'a un peu calmé. " A côté du motocross, Randy joue au football. Doué pour ce sport, il effectue les détections pour le PSG mais les entraîneurs n'acceptent pas ses absences répétées le dimanche. Foot ou moto, il faut choisir. " C'était très clair pour moi. J'ai rangé les crampons et ils ne m'ont plus jamais revu. " Touche à tout, Randy pratique également le tennis et le triathlon pendant quatre ans. Mais la moto n'a pas d'égal. Ca sera la moto et rien d'autre.

Ah les études !
Les premières compétitions en motocross se font sur le championnat de France mini-vert en 80 cc . Mais pas assez robuste, Randy rencontre des difficultés. " Au fond de moi, je savais que j'allais faire de la vitesse. Le motocross, c'était plus une étape de transition. En plus, j'aimais en faire pour le plaisir que ça me procurait, pas pour la compétition. Et j'en ai eu tellement marre que j'ai tout plaqué en pleine saison. " Avec l'aide de son père, qui arrête de travailler pour s'occuper du fiston, Randy s'engage en 1996 dans la Coupe Cagiva 125cc. Avant que la saison débute, Randy engrange les kilomètres. Les premiers tours de roues sont difficiles. " Je tournais cinq secondes moins vite que les meilleurs. Et finalement, j'ai eu le déclic lors des entraînements de la première course. J'ai descendu mes chronos de plusieurs secondes et j'ai terminé 3e. Personne ne s'y attendait. " Et Randy conclut cette première année à la 4e place. Seul petit souci, les études. L'école n'accepte pas les absences répétées du jeune pilote et décide de le renvoyer. " Pourtant, je rattrapais les cours et j'avais le niveau pour passer en première mais ils ont préféré me mettre à la porte. L'année d'après, j'ai pris des cours par correspondance mais mener les études et la moto en parallèle, ce n'était pas possible. C'est d'ailleurs un peu mon regret de ne pas avoir continué… "

Aux portes du championnat du monde
La tête sur les épaules, Randy gravit les étapes les unes après les autres. Ses modèles s'appellent Kevin Schwantz et Luca Cadalora mais le jeune de Puniet sait qu'il est en bas de l'échelle et qu'il a encore tout à prouver. " Je ne me suis jamais dit : Ca y est, tu as réussi, tu participes au championnat de France. " L'année suivante, en 1997, Randy flirte avec le grand chelem. Il remporte le championnat de France Nationale 125cc, la Coupe Cagiva 125cc, le championnat de France Promo-Sport 125cc et termine deuxième du championnat de France Open, toujours dans la même cylindrée, derrière un certain Arnaud Vincent. " Dans l'année, j'ai gagné 26 courses sur 36. Et grâce à mes succès, ça m'a permis d'être engagé en 1998 chez Honda officiel France pour participer au championnat d'Europe 125cc. " A 17 ans, Randy entre dans la cour des pilotes susceptibles d'obtenir un guidon pour le championnat du monde. " Et ça a failli arriver plus vite que prévu. Je devais remplacer William Costes de Tech 3. Mais comme j'avais 17 ans, ça n'a pas pu se faire à cause de la loi sur les cigarettes. C'était une grosse déception. Faire une saison en 250cc à 17 ans, ça aurait été super. "


250cc, le nouveau defi
Après son apprentissage aux championnats d'Europe où il gagne une course en Croatie et termine 9e au général, Randy fait le grand saut. Le team d'Arnaud Vincent est à la recherche d'un nouveau pilote pour le championnat de monde 125cc et prend contact avec lui. Avec l'aide de ses sponsors, Randy ne loupe pas l'occasion et débute en championnat du monde en 1999. " Les premières courses étaient difficiles. Je rentrais dans une nouvelle équipe, mon père n'était plus là et il a fallu que je m'accroche pour m'intégrer. Mais le bilan était positif à la fin de l'année. Je m'étais mesuré aux meilleurs pilotes du monde et surtout, le team m'avait renouvelé sa confiance pour 2000. C'était un gros soulagement. " Hélas, la saison 2000 est marquée par de nombreuses chutes qui ne permettent pas à Randy de concrétiser son objectif, une place dans les dix premiers. " J'ai fait des petites erreurs alors que j'avais la possibilité de monter sur le podium sur certaines courses. 17e au général, ce n'est pas génial… " Mais pour désarçonner Randy, il en faut plus. La 250cc lui tend les bras pour 2001 et le voici parti pour une nouvelle aventure en 2001 chez Aprilia. Son objectif ? " Faire une année correcte afin de bénéficier l'année prochaine d'une moto d'usine. Si ça se passe bien, je peux, pourquoi pas, penser au titre de championnat du monde dans deux ans. " Christian Sarron avait patienter seize ans pour avoir un successeur. Olivier Jacque attendra peut-être un peu moins longtemps….

[Invité ziboux]

c'est dommage, je l'aimais bien chez Aprilia ............ je lui souhaite bonne chance chez Kawa, et j'espère qu'il sera aussi mignon en vert qu'il ne l'était en rouge et blanc

[ninja-moto-13 0]

ziboux on parle moto ici
pas de beau mec
et nous on est quoi hein