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Mon premier Vigeant, ou ma première gamelle .....


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Mon premier Vigeant, ou ma première gamelle .....


6h45, le réveille sonne, je le cherche à taton, le chope et lui fait sa fête ... de la main je cherche Chris37, elle est la tout va bien, ouvre un oeil, deux, une faible lumière passe au travers des cannis, signe annonciateur d’une belle journée, je me lève, cherche du regard, au coin de la porte de la chambre de l'hôtel, ma Bête sur sa remorque, puis cherche la douche, le savon qui pétille, puis c’est le p’tit dej, café-lait, croissant, enfin tout ce qui est bon pour mon estomac, le tout arroser copieusement d’un savant jus d’orange pressé avec amour.
C’est pas tout, la piste nous attend, je balance les affaire dans la caisse, saute sur le siège et en avant ..... Aîe !!!, j’ai oublier ma p’tite Christine, frein à main, ouverture fermeture des portes et à peine monté dans la voiture, j’passe la première, nous voila partie pour les cinq derniers kilomètres qui nous sépare du circuit.



A peine arrivée sur le site que déjà des ‘‘sms’’ arrivaient sur portables pour nous donner les emplacements des boxes, Aprés quelques tours sur l’aire de stationnement, je pause le 4X4 derrière un bon gars du 37 et, avec l’aide de Flo et d’autre on décharge la Bête.
8h20, Je saute dans le pantalon en cuir, met les bottes et pousse la Bête au contrôle pour les vérifications d’usage. Après l’apposition du petit ‘’T’’ de couleur jaune, je gare la bête devant les boxes, prêt à faire feu, petite mise en route pour faire le kéké, faut dire qu’avec cette configuration, elle ramone sévère, et lâche un beau bruit sourd, à faire pâlir d’envie un 1198.



le temps passe, le temps passe .....
9h45, un truc comme ça ... Mise en route de la Bête, chauffe du moulin tranquilloux, le carter moteur tiédi rapidement, vérification de la dorsale, serrage de la ceinture ventrale, positionnement du futal, ajustement de la sangle du casque, j’enjambe la Bête, chope le guidon .............



Un sourire à Chris et je passe la première, il est 10h pétante, lâcher d’embrayage de la deux, fermeture de la visière, concentration de l’homme.
10h01, passage de la première courbe, en 4 tranquilloux, petit coup frein avant (un doigt)en plein virage, trop vite peut-être, accélération, comptage des vitesses, trois, quatre, trois deux, M... trop court, re-trois, p’tain, j’suis C.., vite la quatre, qu’y qu’y fais celui-la ... j’double large, M..., niquer, si ça passe, relax, détend coul raoul , ça baigne, un tour, déjà, puis deux, les repères arrivent, les courbes s’enchainent, certaines plus propres que d’autres, mais chaque chose en son temps, je freine de moins en moins, sort des courbes plus vite, une p’tite droite de 148 je passe à 157, contant, devant les stands, galère seulement 179 en bout, ma sortie de courbe n’est pas bonne, la prochaine ce sera en trois juste pour bien relancer la Bête et c’est un 185 qui s’affiche, puis un 191, gros freinage, ça tourne, je prend confiance en la Bête, les pineux doivent être à température, j’ouvre un poil de plus, merdoum, freinage tard, rentré en courbe au frein, il faut dire que j’adore, écraser l’avant et coucher la bête, sentir la selle qui se dérobe, s’enfoncer au coeur du gel, le pied.... , lâcher progressivement le frein sur l’angle et à se moment suprême ouvrir, entendre les cornets qui aspirent et qui masquent l'échappement, l’avant se redresse, l’angle se referme, c’est beau, c’est propre, reste à faire de même à toutes les autres courbes et enfilades, je fais corps avec le Hm, il me le rend bien, adrénaline, transpiration, vouloir toujours un poil de plus, enfin maitriser les quelques bourriques rouges.... Doit rester encore Quatre virages avant de passer encore et encore devant ma P’tite Christine, je ne veux rien lâcher, le repère est là, impassible, je prend l'extérieur, je suis à un mètre à peine du bord de la piste, les yeux cherchent la trace, elle est la, s’ouvrant à moi, de quatre je passe en trois, reste ouvert, il faut des Watt pour sortir, mi régime, c’est bien, je programme exter, inter, exter et ainsi de suite, avec un court passage en quatre avant de retourner en trois pour le dernier avant la ligne droite, tout est clair , clin, mémorisé, pas de bavure, ça doit le faire, j’tombe en trois, ouvre pour garder des watts, chope les freins, soudain mon attention se dirige vers ma gauche, une Kakawette verte me passe, pas grave, je retourne dans mon jeu, la trace, elle arrive, frein, attention, bien prendre, l’angle, je scrute la piste, dégagée, nette, pas de surprise possible, je me lance, soudain mon guidon se déporte violemment sur la droite, je regarde devant moi, et voit avec stupéfaction le capot de selle de ma kakawette verte juste sous mon nez, et là, je pige, sa roue arrière viens de toucher ma roue avant ........
le guidon devient fou, passant violemment de gauche à droite et de droite à gauche, je n’arrive plus à contrôler la Bête, elle est devenue folle, les mains me font horriblement souffrir, surtout les pouces, comme un cow-boy sur sa vache, je lâche prise, et à partir de ce moment tout se passe au ralenti, je suis encore assis sur ce monstre de fer, mais il se dérobe, me laissant dans le vide ... serein et calme, je me retrouve en apesanteur, regardant les nuages, dans le ciel, là, je fus subjuguer par leurs formes variés et, attirer par eux je les traverse, moment de délire, moment de solitude, tout est coton, ouate, doux ... cet brume douce au regard me rend heureux.
En ce moment de pleinitude extrême, et tout en refusant à aborder la dure réalité, la lois de la gravité, celle-ci me rattrapa au vol, et m'expliqua que mes quatre-vingt six kilos sont fait pour rester sur le plancher des vaches et devaient se poser un jour ou l’autre.
Je tenta désespérément un atterrissage forcer et contraint sur la fesse gauche, la deuxième fesse se posa comme par enchantement, stabilisation avec le coté et le mollet gauche, guidage de l’homme avec deux trois coup de dérive, que dis-je de casque en latéral gauche.

Plus de notion de l’heure, je suis là par terre, clouer comme un punaise sur un mur.
je cherche ma mob, tourne la tête, elle est derrière moi, me regardant du museau , elle aussi est couchée sur le flanc. Je veux me lever, repartir comme l’aurait fait les grands guerriers, mais rien ne bouge, la douleur arrive à grand pas, les pouces ne fond un mal de chien, mais j’en suis heureux, ils sont là, mes doigts bougent, je les sent, je cherche mes orteils, ils bougent au fond des bottes, je pourrais presque les compter, les jambes c’est autre chose, je tire dessus, les fesses me rappellent leurs bons souvenirs, une douleur vive m’envahi, comme un coup de pied dans le fondement en centuple, un mal horrible, je n’arrive qu’ à relier mes deux jambes ensembles, mais elles sont toujours avec moi, c’est le principal, ma tête bouge, je peux la relever, difficilement, mais mon cou bouge, une voie se fait entendre, la visière s’ouvre, ... Ca va ??? tu m’entends, NON? ne bouge pas, tu t’appelles comment ???? tu m’entends ,,, t’as pas perdu conscience ????, NE BOUGE PAS !!! .... mes pieds bougent tout seul, on tire dessus, Tu peux bouger tes bras, doucement, c’est bien, met les sur la poitrine, NE BOUGE PAS LA TETE .... tu m’entends toujours ...
Je voudrais parler mais les mots ne sortent pas je le regarde d’un regard qui doit en dire long ...
Des mains se glissent sous la ceinture de mon futal et prennent prise, d’autres m’empoignent au niveau des épaules, on tire sur mes bottes, la sangle de mon casque me referme la mâchoire, je sent un bien être total, je re-vole, le mal fuit, je reviens peu à peu à moi, je me glisse dans un court délire qui m'amène dans une civière, je ferme les yeux et part me réfugier au plus profond de moi-même.....

Page blanche ou somnolence, je ne sais plus, j’ouvre les yeux, je suis dans une pièce, le plafond est blanc neige, un peu éblouissant, on me parle toujours je regarde autour de moi, je n’ai plus de casque, plus de bottes, on tire délicatement sur mon bas en cuir, les fesses me font souffrir le martyr, on me dégage un bras puis le deuxième , plus de blouson et c’est le tour de la dorsal, puis du polo Ducati qui est plus dure à enlever, j’ai du mal à me contorsionner, et je me retrouve quasi nu sur la table, on me recouvre d’une couverture, plein de monde autour de moi, et j'aperçois enfin Christine, toujours là quand j’ai besoin d’elle ou quand je ne vais pas bien, regards rempli de complicité, un petit sourire, le sheck-up est fait, je vais bien. je la regarde avec plaisir, toujours aussi belle ma Chris, j’explique ce qui c’est passé, elle le savait déjà, on lui avait tout raconté, je me mélange, je ne sais plus, je perd la respiration, le coeur s’emballe, je sanglote, les nerfs lâchent ...... larmes de joies, de douleurs, ou tout simplement mélange des deux.
Puis c’est le tour des pompiers, plus grands, plus entreprenant, me regarde dans tous les sens, me parlent, me posent des questions idiotes; Quel jours sommes nous ??? Tu connais ton mon, Tu peux me confirmer ta date de naissance, que t’est -il arrivé ???, tu roulais vite, la vitesse combien ??? ... Sourires, j’ai du dire une connerie, tout se mélange, un visage, une mains tendue, un sourire, un guidon tourner à droite, un dosseret vert, un nuage blanc .... une tape sur la joue, on me soulève encore et encore, me repose dans un bac qui se referme sur moi, je suis bien, dorloté, Chris me parle, je ne comprend pas ce qu’elle me dit, mais c’est super, je comprend qu’elle m’aime, la gorge se noue et des larmes coulent de mes yeux, je réalise que je viens de me planter, que je referais peut-être plus de mob, que la vie est courte, que j’ai échappé à quelque chose, je n’explique pas la chose, il faisait beau, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, la mémoire est ‘’out’’, l’angoisse monte, je ne sais pas ce que j’ai, je panique, la respiration est saccadée, je pleure, une main serre la mienne, je ferme les yeux, cette chaleur me calme, je reprend le dessus, on me passe une minerve autour du cou en m’expliquant que c’est pour mon bien, j’imagine alors le pire, je panique, les nerfs sont durs avec moi, moment d’absence, montée dans le véhicule de secours, Chris est partie chargée la Bête avec les copains du Fofo37, on l’attend à la sortie du circuit, on part en convoi direction le CHU de Poitier, périple d’une heure, mes yeux admirent le plafond du fourgon, la confiance revient, je reprend le dessus, la peur s'éloigne, je parle avec un des pompier, un jeune d’une vingtaine d’années qui veut s'acheter une mob, un six cent et qui est en train de passer son permis deux roues, en moi je pensais en le regardant, il a le moral ce p’tit, il me parle de mob, alors que je viens de me coucher, soit prudent mon gars, soit prudent tu es bien jeune encore.....
Poitier, Poitier, le véhicule sanitaire ralenti et stop, un des pompiers descend pour guider et aider Chris à garer la voiture.
On repart, p(tite manoeuvre, les portes s’ouvrent, on ne hisse à l'extérieur, transite de chariot, changement de drap, les questions de tous genre fusent, je me plante dans les réponses, je rigole, je rigole, je reprends gout à la vie, séance photos me dit Chris, se sera pour ton album souvenir, je ne suis pas dans mon meilleurs jour mais bon.
On vient me chercher, toujours coucher sur le dos, je vois les plafonds de l'hôpital défilés, et j’arrive en radiologie, quelques clichés dessus-dessous, droite-gauche la colonne n’a rien, les articulations sont tip top, je suis heureux, seul le pouce gauche est luxé, et j’attend avec impatience l'ostéopathe de service.

Les secondes, les minutes , les heures passent, le temps devient long, un grand homme arrive, blouse blanche, l’allure vive, sourire aux lèvres, me prend la min, la regarde dans tous les sens et dit d’un ton très sérieux, belle luxation du pouce, après les divers préparatifs, et manipulations, mon puce retrouve sa position, il me lâche la main, et Wlam !!!!, mon pouce se barre, le professeur, me regarde est dit, Aie!!!!, il ne veut pas reste en place, il va falloir passer au bloc ......
Les engrenages du temps s’arrête, je regarde, débité, le visage de Chris qui se referme un peu et je commence a me demander comment cette histoire va se terminer.
pendant, ce temps, on me fait un jolie plâtre le temps que je passe sur la table d'opération .....
Apres avoir pris la décision de me faire opérer sur place, à Poitier, ma P’tite Chris se sauva pour rentrer à la casa, me laissant seul, mais en très bonne compagnie, il faut dire que toutes mes infirmières avaient étés préalablement triées et choisies pour leur physique ...
j’eux droit à une piaule avec un lit super confortable, un voisin de chambrée motard, une vus super sur la cours et le parking, de quoi s’occuper les yeux ...
Sur les coup de 18h30, le restaurent ouvri ses portes, et on me servi un délicieux repas, accompagné de petites pilules sympatoches et choutantes ......
21 heures, extinction des yeux, et je parti pour une nuit de rêve, de questions, de sursauts .....
6 heures, ‘‘réveil’’ au son de la fanfare, douche, avec une perf et une main plâtrée, c’est le top, un mal de chien à se laver et à se sécher, mais on fait avec.
9 heures départ pour la salle d’opération, en lit à roulettes, bien plus stable qu’en mob., quatre roues, un pousseur accompagné d’un tireur, ascenseur, porte de couloir, salle blanche, endormissement de la main gauche uniquement, après une p’tite heure d’attente, entrée sous les projecteurs, changement de plume, pour un lit plutôt dur, bois, recouvert de plastique, là, je me suis fait crucifier, recouvert d’une couverture chaude, pres d’une dixaines de personnes tournicotaient dans tous les sens, branchement de plusieurs appareilles, pour suivre les battement de mon moteur.
ma main était entièrement engourdie, vois même endormie, je ne la sentais plus, drole d’impression, car pour moi, je pouvais toujours la bouger, mais rien ne se passait, elle ne voulais plus répondre à mes demande.
je la regardais en me disant, P’tain, c’est impressionnant ce qu’il fond maintemant, endormir juste une main .....
Un drap de couleur vert nous sépara, ma main et moi, et l'opération pouvais commencer, juste mon épaule me signalait de temps en temps que quelque chose se passait à l’autre bout de moi même, tandi que sur ma droite deux jeunes internes s'habillaient pour la dite intervention, blouses, gants ‘’mappa’’, protection sur le visage .....
Je ne sentais, rien, je ne voyais rien et c’est la que votre imagination travaille, juste pour vous, elle vous décrit avec soin la dissection d’un pouce, vous imaginez à votre facon ‘’l'opération’’ . Puis ce fut l'apothéose, un bruit de moteur électrique, plutot un bruit de perceuse, et la vous vous dites «Celui la, il pourrait allez bricoler ailleurs .....», des voies distincte décrivent le perçage, pas trop prêt, plus profond, pas assez de dégagement, le tout accompagné du bruit de la perceuse, et votre imagination dérape, vous montrant le jeune infirmier debout sur la table d'opération, avec en main, une splendide ‘’Black & Decker’’ flambant neuve, monté un foret à béton de dix, qui vous fait des trous dans toute la main ..., la gorge se noue, vous regarder à gauche, à droite, tout est normal, pas de bruit, pas de crie, un calme plat .... on vous tape sur l'épaule pour vous dire que c’est fini, que les infirmier vous fond un pansement, un très gros pansement ....
Le lendemain, quand l'infirmière me changea le pansement, je m'aperçut que j’avais seulement trois minuscules incisions sur le dessus de la main ..... vraiment pas de quoi en faire tout un roman.
Puis vient le temps de la radio de contrôle, le pose d’une attelle en résine, les retrouvailles avec le sourires de ma p’tite Chris, des gros bisous et enfin le retour dans les penattes ....

Voili-voiloux une expérience dont je me serais bien passée, mais avec le recul me montre la dure réalité des accident. Je suis conscients d’avoir eu de la chance, pas comme mes voisins de chambre, à qui je souhaite un bon rétablissement.
Je vous remercie toutes et tous pour vos message de sympathie et soyez prudent sur la route.
A+
PAT37.

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newmotard37 a écrit:
Superbe cr sa me rappel un mauvais souvenir pas si vieux que sa...franchement sa ma touché ton cr bon rétablissement a toi Sad


+1 J'ai retrouve dans ton topo des sensations que j'ai ressenties en d'autres temps... ! :siffle

Manque juste l'inoubliable bruit de ferraille de la meule qui racle le macadam.... affraid
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je ne vais pas faire de CR mais imagine nous dans les stands a compté si tout le monde est reviendu au moment du drapeau rouge...et la panique un des pilotes nous dit c'est PAT...et ta petite femme qui regardé impatiente de te voir arrivé tu aurai vu sa téte au moment où on lui a dit que c'était toi!!!et aprés l'énervemet quand on appris qu'on avait coupé la traje et touché...une envie soudaine d'aller la voir et de la ruiné!!!!mais toi ça va c'est le principal bon rétablissement a toi!
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bah mon message n'a pas été enregistré ce matin...

"tain c'que c'est bien écrit!!!!! j'm'y serais crue!!!
dommage pour la chute! grrr! mais apparemment tu vas te venger... sur une autre session!!!
prompt rétablissement man Smile "

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c'est de plus en plus prenant !!! je connaissait la 1ère partie mais là !!! ça met un coup !

c'est C.., que tu ne soit pas resté jusqu'a la fin de la journée car sinon cela aurait été terrible, si sean cherche quelqu'un pour relater une histoire en film ya pas de soucis tu es là !!

allez vivement la suite
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Tu as bien retranscrit les faits Pat, je n'ai rien à rajouter. MAIS j'aurai bien meme aimé changer la version pour en dire des choses postives par contre Mad
Par contre c'est vrai qu'en voyant la scène arriver et se passer devant ses yeux, ça fait très bisard... ça met un certain froid par la suite...
Cest impensable ce qu'elle a fait et ne pas venir prendre des nouvelles est lamentable et très décevant. Aucun respect, sans parler de l'esprit motard, enfin bref..
Remets toi bien Pat, tranquilement mais surement afin que tu retrouves la forme.
A bientot parmis nous et bon rétablissement.

J'espère que ça n'a pas été trop dur quand meme le moment où tu as retrouvé ton Hypermotard Neutral

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Non, il n'a pas grand chose, et très bonne assurance, je le met cette semaine chez Ducat-Tours pour lui refaire une santé.

1 protection tube de fourche en carbone
1 selecteur de vitesse
1 béquille
1 silencieux (termi)
1 protège réservoir gauche
1 axe de roue arrière
1 guidon
1 poignée d'embrayage
1 casque
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PAT37 a écrit:
Non, il n'a pas grand chose, et très bonne assurance, je le met cette semaine chez Ducat-Tours pour lui refaire une santé.

1 protection tube de fourche en carbone
1 selecteur de vitesse
1 béquille
1 silencieux (termi)
1 protège réservoir gauche
1 axe de roue arrière
1 guidon
1 poignée d'embrayage
1 casque


alors oui tu as une tres bonne assurance,si tu galères et que je peux d'aider n'hesite pas
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Rossifumi_46 a écrit:
Remets toi bien Pat Wink, tres bon Cr malgré le fait que ce qu'il rzconte on ne veut pas le vivre ..

Tu auras du temps pour trouver comment booster encore l'hyper ^^


je le boost, je le boost, termignoni + puce qui va bien ..... il est chez chez Ducat, l'expert passe mardi.

Pour le Cr, je sais que vous n'êtes pas partant, je l'ai rédigé pour vous faire part de mes angoisses, de mes peurs, on pense toujours au pire, on va le dire comme ça, pour la fin j'y ai juste mis les formes, et fait absence de tous les détails. j'espère avoir fait sauter des tabous, car c'est bien connu, ça n'arrive qu'aux autres.

plus que 39 jours de plâtre .....

Demain fin de matinée, je serais à Amboise si vous y passer .....
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Bon courage pour les jours de platre et la re-education qui va derrière !

J'ai eu les 2 poignets dans le platre en même temps suite à une chute au Vigeant. Ce circuit est mangeur de pouce ...
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