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Messages recommandés

plus que 2 dodo :ye):

nous partons, mon pot Larose et moi vendredi en milieu d'après-midi avec Pick-up, fifth wheel et trailer à l'arrière, malheureusement on a pu de place dans le pick-up, ni sur le trailer.

Ça serait cool de voir une gang d'enduro québec à cet évènement qui sera le seul enduro au Québec cette année et non le moindre, un national :ye): :ye): :ye):

2 jours, 300 km de pur plaisir

yahou
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Voici la route à prendre...
la 640 et la 15 sont pleins de travaux et un vendredi soir vers le nord c'est assez risqué. La 125 est fort probablement beaucoup plus safe.

http://maps.google.ca/maps?f=d&source=s_d&saddr=Qu%C3%A9bec+G0A+2C0&daddr=46.061797,-74.020386+to:Labelle,+QC&hl=en&geocode=%3B%3BFRsuwgIdrqaL-w&mra=dme&mrcr=0&mrsp=1&sz=8&via=1&sll=46.293425,-72.999155&sspn=1.780062,3.532104&ie=UTF8&z=8
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Ti-Q310

Je vais décider ca demain matin si je monte à Labelle.

Monté seul c'est poche et risqué en cas de blessure, mais d'un autre côté je crois que je vais manquer une super belle fin de semaine d'enduro, la nuit porte conseil !


Réjean
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voici ce que j'ai écrit sur le forum de la FMSQ :

Que dire de Labelle.......

1. Que tout ceux qui n'était pas là ou qui ont choqué ont manqué un évènement NATIONALE, que c'était hyper hot, très difficile, mais extrêmement agréable.

2. Organisation au poil, merci à Marc, à tous les organisateurs, à tous les bénévoles, Quad Médic et merci à la FQMHR (Gilles, Yan, Ben, Alex (pour ne nommer que ceux que je connais) avec leur patrouilleur qui ont fait un super travail, merci à tous.

3. fin de semaine avec une température idéal, pas de pluie, belle température.

4. Tracé extrême et trippant avec de la roche en quantité industrielle, je n'ai jamais vu autant de roche de ma vie, je n'aime pas la roche, mais j'ai fait avec...... il y avait des côtes de 500 pieds de long, juste en roche ouf !!!!

5. Les extrèmes test étaient vraiment trippant, comme plusieurs, j'ai réussi à faire un back flip...... .... sans moi sur le bike !!!

6. Que j'y retourne l'an prochain sans faute

7. Que malgré l'épuisement de la fin de semaine, j'ai trippé comme un gamin.

3 boucle de 50 km dans un terrain comme ça, ça sépare les hommes des enfants......... samedi j'ai été un homme....... dimanche.... un gamin

J'espère que les québécois seront en plus grand nombre s'il y a une autre édition, car il n'y avait pas grand monde qui parlait français dans le bois !!!!

Ça été une merveilleuse fin de semaine, un gros merci à MARC GIROUX et à toutes sa gang, ça été vraiment hot.

Pis pour ceux qui ont gagné des trophées, vous penserez à moi pendant votre dégustation, c'est moi qui ait fournit le sirop

à+

Ti-Q310


Phil Lapointe, tu devrais être flagelé sur la place publique pour ne pas avoir été là....... toi qui passe ton temps à dire qu'il faut que ça ressemble à un champ de menhir, tu aurais été servi...... de la roche, que de la roche, encore de la roche, toujours de la roche..... de la roche roulante, des caps de roche. tu aurais vraiment trippé

Vous avez vraiment manqué un beau trip.

Merci la gang de la FQMHR , Merci Gilles Depont, merci Yan, Merci Benoît, merci au reste de votre équipe, vous avez fait un excellant travail :ye): qui a été grandement apprécié de tous, grâce à vous, nous avions de bonne indications et nous avons passé une belle fin de semaine, ça été cool de jaser avec Ben Marcotte et Yan, on se voit pas assez souvent.

à+

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je lui demandais comment de devait faire mes moulures dans la cave !?!?!?!?

finalement il va venir m'aider pour les faires, il est gentil !!!

C'est vrai qu'on est inséparable, on est parti dans la même minute et on s'est suivi tout le long, sur la photo on était dans l'extrême test, donc il faut être au fond, mais je m'étais planté et il me demandait si j'étais ok...... je lui ai dit de passer à côter et de clancher :ye):

t'aurais vraiment tripper Phil...... j'espère rouler avec toi bientôt.

en passant, tu fesais quoi dans le bois à Victo...... en spectateur ?!?!?!?
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Méchante belle fin de semaine!

j'ai fait un seul tour au total: sweep de la première moitié samedi (j'étais pu capable de continuer tellement j'étais épuisé) et dimanche j'ai fait le reste entre autre pour sortir une moto en panne et pour sweeper le dernier tier... aujourd'hui j'ai mal aux bras comme ça fait bien longtemps.
Flying Fred a fait 2 tours chaque jour avec les intermédiaires avec la petite KLX140! Il s'est même classé 12e sur 21 samedi.

Guy Giroux nous a dit à la moitié de son 2e tour: C'est rendu une autoroute tellement qu'il n'y a plus de bouette!
Guy: on a pas la même définition d'une autoroute Shocked

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Jano au Championnat Canadien d’Enduro

Samedi et dimanche le 12 et 13 septembre c’était le Championnat Canadien d’Enduro a Labelle, une des quatre manches ou se frottent les meilleurs pilotes d’enduro du pays. Le parcours comportait une section extrême, une section motocross sur terre battu, et une longue section enduro qui demande un niveau très avancé d’habilite. Le parcours est de 45Km et nous devons faire 2 tours à chaque jour dans ma categorie. Je suis inscrit dans la classe Super Vétéran 50+. J’aurai 55 ans la semaine prochaine.

J’ai passe la semaine à préparer ma KTM 300 XC-W. Vendredi ma moto était finalement prête. J’ai remplacé les pneus et les ressorts de suspensions et fait tous les ajustements selon les recommandations de Thierry de Stadium suspension.

Je partais pour Labelle Vendredi soir et je savais que j’allais avoir tout un défi à rencontrer sur une piste d’un tel niveau et en plus c’est ma première course cette année. Mais j’en avais vu d’autres et mon but premier était de compléter le parcours. Arrivé à Labelle, je suis allé m’inscrire avant d’aller faire inspecter la moto. Je démarre la moto mais soudainement le moteur s’arête et ne démarre plus. L’inspection des motos ferme bientôt et Michel Metcalfe me donne un coup de main pour remplacer la bougie. J’avais laissé le choke un peu trop longtemps. La moto démarre et je passe l’inspection avec succès. J’avais réserve une chambre a l’hôtel Labelle pour deux jours, alors je laisse ma voiture sur le site et me dirige vers l’hôtel, pour apprendre que l’hôtel Labelle ne loue pas de chambre. Merci a Claude Leonard et sa femme pour m’avoir offert l’hospitalité pour la nuit dans leur roulotte.

J’étais sur la minute 29 alors mon départ était a 9:29am. Je craignais la section extrême quelque peu, mais le fait qu’elle se trouvait au début du parcours, la fatigue ne serais pas un facteur. Nous étions seulement deux sur notre minute, et mon équipier de Winnipeg roulait devant. Je suivais bien le rythme et passa la section extrême sans difficulté. Puis on se retrouve dans une section motocross en terre battue en pente ou tout se passe bien. Plus tard vint la section enduro. C’était la section la plus longue et la plus pénible. Des sections extrêmement techniques avec toute sortes de passes presque impossibles, mais on avance toujours. Je me prends pour la première fois dans la ligne électrique. Je suis cale jusqu'à l’essieu avec des roches énormes devant la moto. Je sors la roue arrière de la boue en tirant la moto de cote, puis tourne la moto de travers pour finalement m’en sortir non sans effort. Je reprends mon souffle avant de repartir pour grimper et redescendre des murs de rock assez impressionnants. Finalement j’arrive face à une impasse. Une grosse cote abrupte avec des grosse roches lousses ou environs huit motos sont prises un peu partout. J’attends un peu en bas avant de m’élancer, mais ca s’éternise et d’autres coureurs arrivent derrière moi. Je m’élance donc dans la cote et passe environs la moitié des coureurs jusqu'à ce que je me prenne à mon tour. De peine et de misère je monte la moto centimètre par centimètre en me disant que je ne ferai certainement pas le deuxième tour. Arrive en haut j’étais tout simplement vidé. Je reprends mon souffle et retrouve le rythme peu à peu. Puis ce sont des descentes infernales avec des marches de rock de trois ou quatre pieds d’un coup. Soudain un mur de rock de quatre pieds de haut est devant moi. Je cherche où passer, mais il n’y a qu’une solution et c’est de foncer sur le mur en levant la roue avant…et ca passe de justesse. Au bout de deux heures le sentier semble s’élargir, mais reste très rocailleux. Soudain un trou de boue puis une longue montée vertigineuse dans la roche. Je m’élance en deuxième vitesse, mais je lâche les gaz momentanément pour éviter une autre moto prise dans la cote, mais perd la traction et reste pris a mon tour. Un autre moment très pénible dans cette cote qui semblait interminable. Je termine le premier tour très épuisé et ne pense pas repartir pour le deuxième, mais après avoir bu, je rempli le réservoir d’essence et décide de repartir.

J’entre dans la section extrême et passe tous les obstacles. Il me reste seulement la grosse cote de sable a pic avant de me rendre a la piste en terre battue. Déjà très fatigue, j’hésite un peu avant la cote et je n’ai pas assez de vitesse pour me rendre en haut. Alors je déboule avec la moto. Je sors finalement du sable et complète la section en terre battue. Puis j’entre dans la section la plus difficile pour la deuxième fois, la spéciale d’enduro. Je craignais les deux cotes très difficiles. J’arrive à la première et je l’attaque a la droite, pour m’apercevoir que la meilleure ligne était a gauche. Je perds contrôle et reste pris dans les roches. Entreprendre ce deuxième tour était une erreur de ma part. J’étais complètement épuisé et je ne voulais que retourner au stationnement. Mais il me restait au moins une heure et demi de sentier difficile, alors je reprenais mon souffle et buvait un peu d’eau avant de repartir. Plus tard, dans les sections de roches difficiles, le moteur perd soudainement la puissance et la moto n’avance plus. Je vérifie la roue arrière pour m’apercevoir qu’une branche de deux pouces de diamètre était coincée entre la roue et pignon, et que la chaine était débarquée. Je couche la moto sur le coté pour dégager la branche et réussi finalement à remettre la chaine en place.

J’avais qu’une idée en tête, arriver au prochain check point et prendre le chemin le plus court pour l’arrivée. J’étais vraiment vidé et j’avais de la difficulté à tenir la moto. Puis j’arrive à la dernière cote difficile, la plus longue. Je m’aligne et ouvre les gaz à fond en deuxième. La monté est longue et la moto tien la ligne malgré les roches. Je n’en crois pas mes yeux, je suis finalement en haut et je cris comme un malade. Puis plus tard une mauvaise chute dans le rock et je me tords de douleur. Je reste sur le dos quelque temps en me tenant la jambe droite. Puis je m’assis et me rend compte que je n’ai rien de cassé. Je remonte péniblement sur la moto et me rend finalement au check point.

Go… go… go…. Dernière petite boucle facile…lâche pas… J’étais complètement brule et cherche le chemin le plus court et le plus facile pour le retour. Pas question de retourner dans la dernière section enduro. Je reviens donc par la trail de Quad accompagné par notre ami Jackrider agent fédéré de la FMHR.

Je suis très content d’avoir rencontré plusieurs personnes de Ridaventure qui étaient présent pour aider à l’organisation. Parmi les gens que je connais il y avait Runwolf, Jackrider et Touring31. Merci pour les encouragements.

C’est lundi et j’ai encore un peu de misère à marcher, mais je devrais être prêt pour le GS Challenge. Si je refais le Championnat d’Enduro l’an prochain, c’est que j’aurai une saison de course dans le corps auparavant. Le parcours était vraiment digne d’un championnat de niveau national. Félicitations à Marc Giroux et son équipe pour cette organisation grandiose.
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Wow, super description Jano. À mon avis il fallait être un homme pour faire un seul tour!
Ceux qui en font plus sont vraiment exceptionnels.

Félicitations à tous ceux qui y ont participé!!!

Quand j'aurais un peu plus de temps, je raconterai mon aventure pour aller chercher 2 motos en panne à l'autre bout du circuit...
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Dimanche 2e tour des pros, Guy Giroux arrête pour nous dire qu’il y a une moto dans la grosse côte de roche qui n’a plus de shifter et la clutch est brulée. Un quad avec un attelage est envoyé, et Richard (un bénévole) qui sait conduire un quad part avec moi. C’est tellement rough que l’attelage débarque à tous les 250 pieds, parfois couché dans la bouette, Richard réinstalle la patente quelques fois avant que l’on se tanne et qu’on l’accroche sur le rack en avant. On est informé qu’il y a une 2e moto qui est morte pas très loin de la première. Je suis derrière le quad, on roule dans du extra rough et je regarde constamment dans mon miroir pour voir les coureurs arriver et que l’on se tasse pour ne pas nuire. J’arrive dans une section ou le quad ne passe pas entre les arbres et je ne vois plus le quad…un peu plus loin je vois Richard sur le quad, je lui demande par ou il a passé : il a transformé le quad en bulldozer et s’est fait un chemin en couchant quelques arbres de 2 pouces de diamètre! C’est pesant un quad dans une côte en descandant…
On arrive non sans peine dans la fameuse côte de roche avec la moto 1 abandonnée, le pilote est parti à pied, il a dû marcher environ 4-5 km et franchir des côtes de malades. Comme on s’apprête à attacher la moto 1, le pilote de la moto morte #2 arrive à pied et nous dit que la moto #1 peut rouler. Je réussi à la mettre en 2e vitesse. Comme la batterie est morte, je descends la côte de roche pour bloquer les coureurs pendant qu’il essaie de la démarrer sur la compression en sens inverse. Elle démarre, on réussit à la mettre en première vitesse et le pilote de la moto 2 part avec la moto 1 abandonnée. Je remonte la côte de malade et hop on part pour sortir la moto 2. Elle est un peu plus loin encore dans une côte. On réinstalle le towing et on attache la moto. Super, oups il y a un problème : le poids de la moto suspendu à l’arrière du quad fait lever le devant. Dès que Richard donne un peu de gaz ou que ça monte légèrement, les 2 roues avant du quad sont à 2 pieds dans les airs! Imaginez la scène, Richard monte les côtes debout penché sur le devant le guidon accoté dans les cuisses et les roues avant 2 pieds dans les airs, le quad valsant de gauche à droite allant s’accoter dans les arbres d’un bord à l’autre de la trail, le tout à environ 4km/h. Dans les plus grosses côtes je dois laisser ma moto en bas, je m’assoie sur le devant du quad et les roues touchent à peine au sol, une fois rendu en haut je débarque du quad et descend la côte à pied pour remonter ma moto. Une fois le quad est coincé dans une côte en bouette avec des immenses sillons. On zigonne un bon 10-15 minutes…il n'y a qu'une seule solution pour franchir cet obstacle : Richard et moi assis sur le devant, en avant du guidon pendant que je pèse sur le gaz en arrière de moi!
En tout, ça nous a pris environ 2h pour ce remorquage, mais j’ai jamais autant ri dans une trail, c’était pissant, du gros fun noir!
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Fred je partais sur la minute 39 avec toi, les deux jours je t'ai regardé passer l'extrême, as-tu fini par la monté la grande côte de sable ? Le dimanche tu l'as monté au 3/4 et tu as redescendu back assez rapidement merci, de l'équilibre le jeune! Une chose est certaine c'est pas le pilote le problème, avoir complété les deux jours avec une mule, chapeau !! Je suis certain que ton niveau de pilotage a monté en flèche, bravo !

Yan, tu peux dire que tu l’as fait aussi cet enduro, en plus à l’endroit comme à l’envers ! Pour dire que j’ai offert mes outils (vis-grip long nose) au pilote en panne. J’aurais jamais pensé qu’un quad pouvait se rendre là, toute une aventure !
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Quand je lis vos aventures avec toutes les misères que vous avez rencontrées et sans doutes toutes les courbatures du lendemain et que Yan dit: j'ai jamais autant ri pendant une trail!!!
Wow! C'est du moral pas à peu près. Moi quand je reste pris dans des situations semblables de bouette jusqu'aux essieux, pas besoin de stand et le bike tiens tous seul, je le regarde et je me dis plutôt: qu'est-ce qui a de fun là-dedans, je pourrais être en train de sirroter une bière tranquille sur le bord d'une plage à regarder des bikinis. Pis à chaque fois qu'on sort de là, on a juste envie d'y retourner. ( dans la bouette, pas aux bikinis. Malgré que dans la bouette avec des bikinis...)
Félicitations les gars.
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Étant au point de contrôle du départ dimanche, j'ai vu arrivé un jeune avec son KLX140 pour prendre la deuxième boucle de la journée. Le hic était son retard de plus de 30 minutes... À voir son enthousiasme et sa détermination, j'ai confirmé avec l'arbitre s'il pouvait repartir. Il a finalement pu faire sa dernière boucle de la fin de semaine en me faisant honneur: il a fini par ses propres moyens! Bravo! Je suis content pour lui et je suis soulagé de ne pas porter le fardeau de l'avoir abandonné à sa perte!

Félicitation mon grand! Plusieurs hommes ont abandonnés mais pas toi!

stef
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Merci Stef,

FlyingFred a de la détermination, en passant il était à ta randonnée de la rouge au printemps mais avec son KDX200 qui a laché il y a 2 semaines, C'est pour ça qu'il roulait avec la moto de sa mère. Quand j'ai sweepé et sorti la moto en panne, j'ai vu des côtes que je pensait que mon KLX250 ne serait pas assez puissant pour les monter, et il a tout fait avec cette petite moto, c'est assez remarquable.
En passant, l'année passée il a fait les 2 jours de Mékinac avec le groupe rapide avec la KLX140 à coller au cul de Fernand et François.
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