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Honda - Pas de moteur Ferrari

La semaine dernière, Ross Brawn, directeur de l'ex écurie Honda, avait annoncé être en négociations avec Ferrari pour que le constructeur italien lui fournisse des moteurs en 2009. «Nous n'avons encore rien signé mais j'ai apprécié le soutien du president Luca di Montezemolo et de Stefano Domenicali, c'est comme avec les anciens camarades de classe, j'ai toujours l'impression d'être un des leurs», avait expliqué le Britannique, ancien directeur technique de la Scuderia de 1997 à 2006. Cependant, lundi, lors de la preséntation de la monoplace 2009, Domenicali a tenu à mettre les choses au point : «Je peux vous parler des chances de fournir des moteurs à Honda, et elles sont proches de zéro.»

ce coup ci c'est vraiment mort! à moins de trois mois du début du chamionnat, l'équipe "honda" n'a plus de propriétaires, plus de pilotes, et plus de moteurs.....
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Une équipe de F1 « made in America » ?

Une nouvelle équipe de F1 serait sur le point de voir le jour aux USA sous l’impulsion de l’Anglais Peter Windsor associé à l’Américain Ken Anderson.

Windsor, 56 ans, est une figure du paddock de F1 depuis une trentaine d’année - période au cours de laquelle il a été journaliste, commentateur TV et directeur de l'équipe Williams. Il est actuellement rédacteur en chef du magazine F1 Racing.

Anderson est un ancien directeur technique de l’équipe Ligier (1988.)

A en croire la presse allemande - motorsport-total.com - l'équipe américaine, dont le logo peut être pré visualisé sur le site usf1.com - a l'intention de faire ses débuts en Grand Prix la saison prochaine (en 2010), et aurait déjà reçu la bénédiction du patron de la FOM, Bernie Ecclestone.

L'écurie serait basée au cœur même du pays de la NASCAR - à Charlotte, en Caroline du Nord et aurait l'intention d'être une vitrine pour la technologie américaine et les pilotes US !

Au chômage depuis son éviction de l’équipe Force India, l’ingénieur britannique Mike Gascoyne – 45 ans – a récemment admis qu'il était susceptible de quitter l’Angleterre pour son prochain emploi…

D’après un quotidien local - Oxford Times – la maison de campagne de la famille Gascoyne a été mis en vente pour environ 2,5 millions d’Euros.

« Je vais probablement travailler à l'étranger dans l'avenir, je n’aurai pas tellement besoin d'une grande maison au Royaume-Uni » affirmait Gascoyne !

Gascoyne a travaillé pour McLaren, Tyrrell, Sauber, Jordan, Renault et Toyota.
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Bourdais en piste avec Toro Rosso à Jerez

Sébastien Bourdais prendra le volant d’une monoplace de l’écurie Toro Rosso, la semaine prochaine à Jerez de la Frontera. La rumeur a enflé ces dernières 24 heures et a été aujourd’hui confirmée par plusieurs sources. La Scuderia Toro Rosso a notamment confirmé à Automoto365.com que Sébastien roulera les 12 et 13 Février. De la coupe aux lèvres il n’y a pas loin aiment à imaginer de nombreux observateurs qui prévoient d’ores et déjà une reconduction de contrat du Français, qui deviendrait ainsi en 2009 l’équipier de Sébastien Buemi au sein de l’écurie de Faenza.

Un nouveau tandem de Seb reconstitué ? L’hypothèse est loin d’être farfelue. Mieux, elle est frappée au coin du bon sens. Bourdais connaît l’écurie, ses us et coutumes et ses méthodes de travail. En outre, sa sensibilité technique vient en renfort de sa candidature à l’heure où la Formule 1 opère une mutation en profondeur. L’horizon de Sébastien s’est dégagé lorsque le Japon a plongé dans la récession et que le moral de ses chefs d’entreprise s’est emmuré dans des bas-fonds qu’il n’avait pas visités depuis le début du nouveau millénaire. La dépression Nipponne semble avoir englouti les espoirs de Takuma Sato avec elle. Expérimenté et rapide, ‘Taku’ était jusqu’à récemment le seul adversaire du Français, le seul à posséder le profil du pilote appelé à épauler le néophyte Sébastien Buemi. Jusqu’au dernier trimestre 2008, Sato était susceptible de drainer des sponsors. Le levier économique du Japonais effondré, Takuma n’est plus le pilote idoine pour Toro Rosso.

Bruno Senna ? Un duo de pilotes néophytes ne saurait séduire une équipe qui devra absorber une révolution technique et faire honneur à son palmarès 2008. Jenson Button ? Le Britannique attend le rachat de l’ex écurie Honda Racing – que l’on dit sur de bons rails – et aborde une étape charnière de sa carrière où il ne peut se permettre de lier son destin avec une écurie qui ne peut prétendre aux premiers rôles. Jenson préfèrera probablement prendre une année sabbatique pour mieux se positionner auprès des écuries de pointe que de prendre le risque de s’enfermer dans un rôle de ‘has been’.

« Les discussions (entre Bourdais et Toro Rosso, NDLR) vont bien », a déclaré un porte-parole de l'écurie, précisant qu' « une annonce était imminente ». Seul le Suisse Sébastien Buemi, également présent à Jerez, est pour l'instant assuré de conduire une Toro Rosso l'an prochain.
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C'est désormais officiel. Sébastien Bourdais pilotera une Toro Rosso pour la saison 2009

L'écurie de Formule 1 italienne Toro Rosso a confirmé vendredi que le Français Sébastien Bourdais serait son deuxième pilote pour la saison 2009 aux côtés du Suisse Sebastien Buemi.

Bourdais, qui fêtera ses 30 ans le 28 février, va donc disputer sa deuxième saison au sein de la formation italienne. Le Manceau a longtemps été laissé dans l'incertitude après une première année en demi-teinte mais son expérience a convaincu ses dirigeants.

"L'hiver a été très long mais l'attente est enfin terminée, s'est félicité Sébastien Bourdais. Je suis vraiment enthousiaste à l'idée de disputer ma deuxième saison avec la Scuderia Toro Rosso. Je voudrais remercier Red Bull et Dietrich Mateschitz (le propriétaire de l'écurie) pour cette opportunité de poursuivre avec une équipe qui a fait tant de progrès l'an dernier.
"
En 2008 Bourdais était entré en F1 de la plus belle des manières, inscrivant deux points à sa toute première course en Australie avant de connaître une année difficile (17e du championnat avec quatre points au final). Malgré d'évidents progrès dans le dernier tiers de la saison, avec notamment une quatrième place de grille à Monza, il n'avait pas pu concrétiser ses bonnes dispositions en course.

Sauf si l'écurie Honda était rachetée avant le premier Grand Prix, le 29 mars en Australie, tous les pilotes sont donc à présent connus pour 2009.

D'après AFP
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Bourdais : «Mettre plus de points»

Un nouveau contrat, une nouvelle réglementation, un nouveau coéquipier... A peine confirmé au sein de l'écurie Toro Rosso, vendredi, Sébastien Bourdais (Photo L'Equipe) tourne désormais sans crainte son regard sur la saison 2009 où il essaiera de «mettre plus de points que l'an dernier» (il en avait inscrit 4, Ndlr). Il estime que «viser la victoire n'est pas réaliste» même s'il espère «plus de dépassements et davantage de bagarre» grâce à la nouvelle réglementation. Le Manceau, qui ne connaîtra sa nouvelle monoplace que début mars, pilotera un bolide version 2008 aux essais de Jerez la semaine prochaine avec son nouvel équipier, Sebastien Buemi. Il juge le Suisse de 20 ans «talentueux» et «ouvert». Entretien.

«Sébastien Bourdais, vous piloterez pour la deuxième année consécutive une monoplace Toro Rosso cette saison aux côtés du Suisse Sebastien Buemi. Que ressentez-vous au terme de ces longs mois d'attente ?
Ça fait tout simplement du bien de savoir que le programme va finir par se réaliser. Ça met fin à un hiver qui a été long et incertain. On va pouvoir enfin se concentrer à nouveau sur ce qu'on sait faire : conduire des voitures de course !

Etes-vous soulagé ou étonné par cet épilogue ?
J'ai surtout été étonné par toutes ces péripéties hivernales. Le choix du pilote était d'abord lié au fait de trouver des sponsors, puis plus du tout, puis à nouveau. On est passé par tous les états. La situation a aussi beaucoup changé. Dans un premier temps, l'équipe a vu son budget réduit d'un gros pourcentage. Dans un second temps, il y a eu pas mal de mesures d'économie introduites pour la saison 2009. Les cartes ont été constamment redistribuées pour finalement arriver à la situation d'aujourd'hui. Donc au final, c'est plutôt pas mal !

Toro Rosso est, de loin, l'écurie qui a le plus tardé à annoncer son équipe. Comment avez-vous vécu cette attente et cette mise en concurrence avec le Japonais Takuma Sato ?
J'ai essayé de ne pas le prendre personnellement. Je voyais bien que c'était lié au contexte économique : un contexte à la fois compliqué pour l'écurie et pour l'économie elle-même. Mais il y a eu un moment où c'était vraiment dur. La situation était juste infernale. Ça a pris du temps, tout simplement. Au niveau de la concurrence, j'ai bien vu que l'équipe avait un réel désir de fonctionner dans la continuité et de faire une deuxième saison (avec moi). Il y a avait eu un investissement certain l'an passé. On sait toujours que la première saison peut être d'entrée de jeu payante. En ce qui me concerne, on n'a pas vraiment eu de réussite et donc ça aurait été dommage de s'arrêter là. C'était le souhait global du manager Franz Tost, des ingénieurs et des mécaniciens de faire en sorte qu'il y ait une suite à l'histoire car on a vu qu'il y avait du potentiel l'an dernier.

On a longtemps pensé que Sato apporterait plus de capitaux que vous et qu'il serait finalement choisi pour ça. Finalement, quelle était la véritable importance de ce paramètre ?
Dans un premier temps, c'était effectivement essentiel et puis quand toutes les mesures se sont accumulées pour économiser sérieusement de l'argent, il a été annoncé que Red Bull sauvait sur ses deux écuries 100 millions de dollars. D'un seul coup c'est devenu beaucoup moins un souci et je suis revenu sur le devant de la scène par rapport à leurs préférences initiales. Auparavant, Nicolas Todt (l'agent de Bourdais, Ndlr) a cherché par tous les moyens des partenaires. Mais ça ne s'est pas déroulé comme il le voulait en raison du contexte économique difficile. Aujourd'hui, l'essentiel est assuré : on se retrouve dans une position où l'on peut faire un programme sportif intéressant.

Quelle bilan tirez-vous de votre première saison chez Toro Rosso ?
On a, je crois, une saine relation. Mais malheureusement, après un début de saison correct où j'étais régulièrement au contact soit devant soit derrière Sebastian Vettel (son coéquipier en 2008), la seconde voiture (la STR3) est arrivée. Vettel en était heureux mais moi je ne suis pas parvenu à bien me sentir, à trouver du feeling, dans cette voiture. Le seul problème a été de ne pas trouver de solution parce que ce n'était pas nous qui faisions le développement. La situation n'était simple à gérer ni pour moi ni pour eux d'autant que tout le monde avait envie que ça se passe bien. Maintenant, nous repartons sur des données bien différentes avec le changement de règlementations et une voiture totalement nouvelle. On espère que tout ira pour le mieux.»

«Sébastien Bourdais, vous poursuivez l'aventure avec Toro Rosso. Comment abordez-vous votre deuxième Championnat du monde ?
2008 a été une saison marquée par beaucoup d'occasions manquées. Chaque fois qu'on était bien installé dans les points, quelque chose nous en privait. Aujourd'hui, on entame une nouvelle saison sur des bases durement acquises en 2008. Je connais l'ampleur de la tâche. Je sais à quel point c'est difficile et j'apprécierai à leur juste valeur les résultats qu'on espère tous.

Avez-vous une obligation de résultat ou un objectif pour 2009 ?
Non. Il s'agit de faire au mieux. Pour tout le monde. C'est clair que viser la victoire n'est pas réaliste. Même si ça peut arriver comme on l'a constaté l'an dernier avec la victoire de Sebastian Vettel à Monza. Tout reste possible car ça reste du sport. L'objectif sera de rentrer dans les points. On s'en tiendra à ça tout simplement.

Avez-vous des objectifs plus personnels comme inscrire plus de quatre points, votre total de l'an dernier ?
C'est clair que je vais essayer d'en mettre plus que l'an dernier. Maintenant reste à connaître le potentiel de la voiture pour savoir à quoi on peut prétendre.

Après Sébastian vettel l'an dernier, vous serez une nouvelle fois associé à un jeune pilote de 20 ans, le Suisse Sebastien Buemi, nouveau venu en F1. Que pouvez-vous nous dire sur ce pilote que le grand public connaît peu ?
C'est quelqu'un qui a aussi beaucoup de qualités. Il a fait ses classes en Formule 3 et en GP2, où il n'a pas eu la voiture pour s'imposer. Il a du talent. On va essayer de faire du bon boulot ensemble pour marquer des points et donner les meilleurs résultats à l'écurie.

Buemi n'a apparemment pas sa langue dans sa poche. Mi-décembre, alors qu'il n'avait pas encore signé son contrat chez STR, il affirmait que s'il devait voter pour un coéquipier, il voterait Jenson Button. Cela vous a-t-il agacé ?
Oh... (soupirs). J'ai bientôt 30 ans. J'en ai entendu beaucoup dans ce milieu. J'ai aussi appris que la presse ne relate pas toujours exactement ce que les pilotes veulent faire passer comme messages. Il faut également se méfier des interprétations des uns et des autres. On verra bien comment ça se passera mais les séances d'essais que j'ai pu faire avec lui se sont très bien déroulées. J'ai trouvé que c'était quelqu'un d'ouvert, qui ne raconte pas de bêtise. Entre nous, il n'y aura pas de numéro 1 et de numéro 2. On aura une voiture identique pour essayer de donner le meilleur à l'écurie.

Lors des essais de Portimao, mi-janvier, on a vu Buemi réaliser de bons chronos avec une monoplace dotée d'un châssis 2008. Sur quelle type de voiture ferez-vous vos essais à Jerez jeudi et vendredi prochain ?
La nouvelle voiture ne sera présentée que début mars si les délais sont respectés. Donc à Jerez, nous aurons le châssis et l'"aéro" 2008 avec des charges 2009. Les voitures de l'an passé sont beaucoup plus abouties au niveau de l'aérodynamisme. Elles traînent beaucoup moins ce qui explique les bons temps de Toro Rosso lors des essais hivernaux : nous étions en moyenne deux secondes plus rapides que les autres monoplaces 2009.

Cela ne gêne-t-il pas votre préparation ?
C'est clair que ce n'est pas idéal. On aura une idées de nos performances avec l'introduction de la Red Bull (la grande soeur de Toro Rosso, Ndlr ) la semaine prochaine à Jerez. J'espère qu'il y aura de bonnes surprises.

Ce Championnat s'annonce plus indécis que le précédent. Que pensez-vous de toutes les nouvelles règles (KERS, pneus slick...) qui auront cours cette saison ?
Il y a eu beaucoup de restrictions afin que le spectacle soit amélioré. C'est difficile d'anticiper le résultat de toutes ces mesures. Il faut juste être optimiste et espérer qu'il y aura effectivement plus de possibilités de dépassements et davantage de bagarre. Avec l'ancienne réglementation, il était très difficile de rester au contact des voitures qui étaient devant. J'espère que l'objectif numéro 1 de ces règles, pouvoir suivre la voiture qui vous précède, va se vérifier.

Le journal L'Equipe suggère vendredi que vous pourriez participer aux 24 Heures du Mans avec Peugeot les 13 et 14 juin prochains. Pouvez-vous nous le confirmer ?
Je serai avec Peugeot lundi pour en parler lors d'une conférence de presse. Mais si j'y participe, ce sera forcément pour l'emporter.»

source ; l'équipe
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Quel avenir pour Bruno Senna ?

Alors qu'un volant semblait lui être promis en F1 chez Honda, Bruno Senna, le neveu d'Ayrton, a été victime du retrait immédiat du constructeur japonais. Et le jeune Brésilien se trouve sur le carreau, car le plateau de la F1 est complet et il ne veut pas retourner en GP2. Au point de susciter l'inquiétude de Paul Jackson, patron de l'équipe iSport, qui l'a aligné en 2008 et lui a déjà trouvé un remplaçant.

«Nous restions en contact et attendions des informations concernant son avenir, a expliqué Jackson. A un moment, nous avons été obligés de trouver une solution pour le remplacer alors que Bruno était toujours sans certitude à propos de son avenir en F1. La piste Toro Rosso (qui a finalement conservé Sébastien Bourdais) s'est éteinte mais honnêtement, je n'y croyais pas trop. Et aujourd'hui, il est dans une situation vraiment précaire.»

Le dirigeant comprend la volonté de Senna de ne pas faire son retour en GP2 : «Vous pouvez comprendre le point de vue de Bruno, qui estime que revenir en GP2 est risqué. Comme il a déjà terminé deuxième du championnat, s'il ne gagne pas, ce sera considéré comme un échec.»
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USF1 - L'écurie prend ses quartiers à Charlotte

USF1 sera basée en Caroline du Nord aux Etats-Unis. Ken Anderson, l'un des responsables de la future écurie USF1, a confié que le quartier général sera à Charlotte. «Nous recherchons quelques immeubles dans Charlotte dont un dans le secteur universitaire», a confié au Charlotte Observer le partenaire de Peter Windsor, ancien manager de l'écurie Williams. Anderson a aussi estimé que les installations et équipements disponibles aux Etats-Unis étaient bien suffisants pour lancer une écurie de F1 : «90% de la technologie existante en F1 vient des USA de toute façon», a-t-il déclaré.

Pour piloter les futurs bolides USF1, les copropriétaires cherchent un duo de pilotes entièrement américain. «Peu de gens le savent ici (aux Etats-Unis) mais il y a des Américains talentueux en Europe qui se débrouillent très bien en ce moment», a affirmé Anderson qui a travaillé pour les écuries Ligier et Onyx dans les années 1980 avant de devenir designer et ingénieur dans le sport mécanique américain (Chez G-Force notamment, ancien constructeur de châssis IndyCar, Ndlr). Ken Anderson est par ailleurs le propriétaire de Windshear, également basé en Caroline du Nord, l'un des meilleurs équipements pour la recherche aérodynamique.

On pourrait cependant douter du sérieux de ce projet lorsqu'on sait que cette équipe devrait être basée à Charlotte, aux USA. Aucune équipe de F1 n'est actuellement basée en dehors de l'Europe pour des raisons évidentes de logistique et ce sera donc une difficulté supplémentaire à surmonter
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Renault - Chevrier écarté

Denis Chevrier, bras droit du directeur technique à Viry-Châtillon et homme clé des moteurs Renault, était absent à Jerez lors des essais conjoints de la marque au losange et de Red Bull. L'Equipe de mercredi suggère que l'ingénieur aurait été mis à l'écart par le patron de l'écurie Flavio Briatore. Agé de 54 ans, il travaillait pour Renault depuis 1985 et pour Red Bull Racing depuis 2007.

«On regrette ce départ, assure-t-on du côté de Renault. On ne se sépare pas impunément d'un homme qui a travaillé chez nous pendant ving-cinq ans. Mais nous souhaitions faire évoluer la cellule moteurs.» selon le journal L'Equipe, son remplaçant serait Rob White, patron de Viry, relayé sur le terrain par Rémi Taffin, ancien ingénieur de Fernando Alonso
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USF1 en dira un peu plus le 24 février


Il y a quelques jours, nous vous parlions du projet de création d'une future équipe de F1 basée aux Etats-Unis et qui s'appellera USF1. Les personnes derrière ce projet sont l’Anglais Peter Windsor et l’Américain Ken Anderson.

Windsor, 56 ans, est une figure du paddock de F1 depuis une trentaine d’années - période au cours de laquelle il a été journaliste, commentateur TV et directeur de l'équipe Williams. Il est actuellement rédacteur en chef du magazine F1 Racing. Anderson est lui un ancien directeur technique de l’équipe Ligier de F1 (1988).

Pour l'instant, ce projet est des plus flous, mais d'après le site SpeedTV.com, nous devrions en savoir un peu plus le 24 février prochain puisque c'est à cette date que ce projet sera présenté aux médias.

"Il n'est bien sûr pas facile de trouver de l'argent en cette période de récession - déclare Windsor sur SpeedTV.
com - Ceci étant dit, il nous faut nous adapter à cette nouvelle situation et redéfinir les limites. C'est ce que nous allons faire avec USF1 et ce que la FIA va faire avec de nouvelles règles. Nous savons que nous allons entrer dans le monde du divertissement et tous les aspects de USF1 vont refléter cela."

Il ne nous reste plus qu'à attendre le 24 février pour que USF1 commence à nous divertir...
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Contreperformances de Renault : Tactiques ou inquiétantes ?

Le travail de fond opéré par une écurie lors des premiers jours du développement d’un nouveau package est essentiel et passe par plusieurs phases dont la finalité en sport automobile – le chronomètre – est totalement absent. La colonisation assidue de la dernière ligne des feuilles de temps par Renault n’est donc pas foncièrement inquiétante pour l’heure, même si Pat Symonds avait récemment avoué que l’écurie Anglo-Française avait du pain sur la planche et plusieurs problèmes à régler.

Plus inquiétant est le kilométrage abattu par Renault depuis le début de la semaine : 372 en 2 jours contre 752 pour McLaren Mercedes, sur le même circuit et dans les mêmes conditions. S’agit-il d’une tactique de Renault qui ne souhaite pas vendanger son capital km (15.000 dans l'année) tant qu’elle n’a pas a certitude d’avoir réglé les petits pépins d’exploitation de son package ? La fin de semaine le dira, avec l’arrivée au volant de Fernando Alonso, et la nécessité, à une quarantaine de jours du 1er Grand-Prix 2009, de passer la vitesse supérieure.

« Renault a entamé sa seconde journée de travail dans de bonnes conditions météorologiques. Nelson était toujours au volant de la R29 sur une piste sèche et a ainsi pu continuer à travailler avec ses ingénieurs sur la fiabilité et l'évaluation des systèmes embarqués de la nouvelle monoplace du Losange. Une des priorités de cette séance d'essais est aussi de se concentrer sur l'évaluation et le développement du système KERS (SREC) » explique l’écurie au losange.

Nelson Piquet explique « Les conditions de piste étaient bien meilleures aujourd'hui ce qui nous a permis de continuer le travail entamé hier. Nous avons pas mal appris de la nouvelle voiture et avons également commencé à travailler sur quelques mises au point. Nous n'avons malheureusement pas fait autant de kilomètres que prévu et nous avons perdu un peu de temps à la mi-journée mais nous avons enregistré des données intéressantes. On annonce du beau temps pour le restant de la semaine, l'équipe va donc pouvoir continuer à engranger des données capitales demain et vendredi. »

Christian Silk, Chef Ingénieur Essais, a déclaré « Les conditions sur le circuit étaient bien meilleures aujourd'hui et nous avons fait de bon progrès avec la voiture. Nous avons travaillé sur les mises au point et avons enregistré de bonnes données que nous allons valider cette semaine. Nous avons soufferts de quelques problèmes de fiabilité aujourd'hui mais nous avons tout de même fait une bonne séance de roulage cet après-midi, ce qui fut très encourageant. »

Fernando Alonso prendra le volant de la R29 Jeudi et Vendredi pour poursuivre et terminer une semaine d'essais que Renault devra conclure avec un bilan chronométrique plus probant afin d’illustrer son optimisme par des résultats concrets.
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Red Bull - Mateschitz vise le Top 5

Le propriétaire de l'écurie Red Bull vise le Top 5 au classement constructeurs à l'issue de la saison. Il attend de ses troupes qu'elles bataillent en tête du milieu de grille, ce qui constituerait une avancée par rapport à l'an passé où Red Bull avait terminé 7e du classement constructeurs... soit une place derrière Toro Rosso, l'autre écurie, supposée plus faible, de Dietrich Mateschitz.

Red Bull et Toro Rosso sans KERS jusqu'à mi-saison
«Nous sommes optimistes pour notre quinzième année en F1 (15e année en tant que sponsor en F1, 5e année en tant que concurrent, Ndlr), a-t-il lancé mercredi sur le site autosport.com. Nous avons de très bons pilotes qui devraient nous permettre de réduire l'écart avec les deux-trois meilleures écuries du plateau. Etre sous le Top 5 ne peut pas constituer notre objectif. Nous devons être aux avant-postes en milieu de grille.» Dietrich Mateschitz a également précisé que ses deux écuries ne débuteront pas la saison avec le KERS : «Je ne m'attend pas à ce que beaucoup d'écuries courent avec cette année et je ne peux pas imaginer que les nôtres démarrent avec. C'est bien trop tôt. Mais je suis d'accord avec Max Mosley (le président de la FIA, Ndlr) qui considère comme un bienfait de l'introduire en F1. La discipline doit être leader en matière de technologie pour que cela se diffuse ensuite vers la production de masse. J'imagine que nous utiliserons le KERS en seconde partie de saison.»

Bourdais, «la seule véritable option»
L'Autrichien a par ailleurs dit que retenir Sébastien Bourdais chez Toro Rosso était la seule véritable option pour maintenir le niveau de performance de l'an passé. «Il n'y avait pas vraiment d'autre alternative, a-t-il expliqué. Sato se débrouillait bien en essais mais il aurait commencé la saison au même stade que Sébastien en 2008. Bourdais a fait de bonnes courses et de très bonnes qualifications la saison dernière même s'il a eu de la malchance. Quand vous investissez un an dans un pilote qui se débrouille raisonnablement bien, il est sensé de travailler avec lui une autre année. Il a le potentiel pour donner son meilleur pour sa seconde saison.» Bourdais, qui n'a pas piloté le 10 décembre, fera des essais dès jeudi.
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Force India : 8 jours d’essais avant Melbourne

La préparation sur le terrain est une phase capitale pour toute écurie qui veut se donner les moyens de briller dès les premiers Grand-Prix d’un championnat. Celle de Force India se limitera à 8 jours de roulage – un cap que beaucoup d’écuries atteindront dès la mi-Février…

Les coupes claires effectuées dans les essais privés (15.000km hors saison régulière, moitié moins qu’en 2008) ne sont pas responsable du programme allégé de l’écurie qui bat pavillon Indien. Son partenariat avec McLaren et Mercedes la contraint à attendre que l’intégralité des pièces soit produite par Woking et Brixworth (moteur, boîte de vitesses et train arrière) avant de les intégrer dans son châssis. L’attente est d’autant plus longue que McLaren et Mercedes ont dû partir d’une feuille blanche pour concocter un package 2009 qui épouse les nouvelles réglementations techniques et les exploite au mieux.

Si Force India doit prendre son mal en patience, en contrepartie elle aura l’assurance de disposer d’un matériel qui aura passé les fourches caudines du développement McLaren Mercedes. L’étape critique sera donc la recherche d’une harmonie entre les différentes entités, châssis Force India et train roulant (moteur + boîte de vitesses) McLaren Mercedes. « Giancarlo roulera 4 jours et je roulerai les 4 autres » a expliqué Adrian Sutil, actuellement en Espagne comme la majorité du plateau… pour des vacances aux Baléares et non pour limer le bitume à Jerez de la Frontera. « Ça se présente bien. Nous travaillons pour que la voiture soit prête à la fin du mois de Février. »

D’après les sources d’Automoto365.com, Force India procèdera à un shakedown à la fin du mois de Février, dans la foulée de l’assemblage de la VJM02, avant de prendre la direction de Jerez de la Frontera (1-4 Mars) pour un premier véritable verdict de la piste.
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Essais - Renault n'ira pas à Barcelone

Renault, qui teste sa nouvelle monoplace R29 cette semaine à Jerez, a annulé des essais prévus la semaine prochaine à Montmelo, près de Barcelone. Cette annulation serait motivée par la nécessité de travailler sur la R29, dont les premiers essais, selon les médias espagnols, se seraient révélés décevants. «Notre programme d'essais est toujours sujet à des changements suivant le programme technique de l'équipe. Nous avions pris la décision de ne pas assister aux prochains essais de Barcelone il y a plusieurs semaines déjà», a commenté un porte-parole de l'écurie. oui, et la marmotte met le chocolat dans le papier alu! ça sent pas bon tout ça! annuler une séance d'essais quand on connait l'importance de rouler avant la saison, et encore plus cette saison, où les essais privés seront interdits. ça sent plutôt le loup dans la R29.

Un porte-parole de l'équipe française a confirmé aujourd'hui que la séance d'essais de Barcelone sera remplacée par une autre sur le circuit de Jerez, du 15 au 17 mars. peur d'affronter Barcelone? on dit qu'une voiture à l'aise là bas, l'est partout! de toute façon on verra bien à Melbourne! mais déjà je ne sens pas la saison de l'écurie Britannique....
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ING quittera la F1 fin 2009

C’est désormais officiel, ING mettra un terme à ses activités de sponsoring F1 à la fin de l’année civile en cours. Sponsor-titre de Renault depuis 3 saisons mais aussi partenaire officiel de plus Grand-Prix, l’institution financière a senti le vent du boulet avec la crise financière mondiale et a déjà réduit sa voilure de 40% en 2009. Le gouvernement Néerlandais a renfloué ING en entrant dans son capital, mais l’exercice 2008 reste déficitaire et 2009 ne présente pas d’amorce de redressement significatif.

« A la lumière de l’annonce récente de la réduction des coûts de son programme, ING confirme qu’elle ne renouvellera pas son contrat de sponsoring de trois ans (2007-2009) avec Renault et qu’elle mettra un terme à sa présence en F1 au-delà de 2009 » a déclaré ING dans un communiqué officiel. Tenue au courant de la politique d'ING, Renault a déjà diversifié son portefeuille, en accueillant notamment Total, qui figure en bonne place sur les formes de la R29.
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Une annonce imminente pour Honda ?

En Grande-Bretagne, il y a une rumeur par jour et parfois plus, quant à l'avenir de l'ex-équipe Honda. La dernière en date, c'est l'intérêt du milliardaire Richard Branson pour cette équipe de F1...

Richard Branson est le patron de Virgin (Compagnie d'aviation, chaîne de distribution, téléphonie, etc...) Le Britannique est considéré comme l'un des hommes les plus riches du monde.

Dans son édition du jour, le Daily Telegraph confirme l'intérêt d'une grande marque pour l'équipe de F1 basée à Brackley, mais sans citer Richard Branson.

"La F1 ferait une bonne affaire en ayant cette marque avec elle," déclare une source anonyme à ce journal.
Cette personne affirme encore que la société intéressée par la reprise de l'équipe de F1 est très réputée à travers le monde...
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L’équipe USF1 s’intéresse à Danica Patrick

L'homme en charge de la partie technique du projet USF1 – Ken Anderson a confirmé l’intérêt que portait l'équipe à l’Américaine Danica Patrick, engagée dans les séries Indy Car.

La jeune femme de 26 ans a remporté en 2008 sa première course dans le championnat IRL – sur l’ovale de Motegi au Japon – et pris la 6ème place du classement des pilotes.

« Elle est formidable, elle a beaucoup de retombées dans la presse » affirmait-il à l'Associated Press. « Le président du circuit d’Indianapolis, Tony George et les organisateurs du championnat seraient probablement mécontents après moi si je l’enlevais du championnat, mais nous verrons ! »

« Je ne sais pas si la F1 est quelque chose qu'elle veut faire, mais nous aimerions incontestablement lui offrir un test et envisager la suite à partir de là » ajoutait Anderson.

L’équipe USF1 a fixé la date du 24 Février pour en savoir plus sur son projet.
Néanmoins, selon le rapport de l'Associated Press, l’écurie miserait sur un budget de 64 millions de dollars, un staff d'environ 100 personnes, et compte engager deux pilotes américains !

Ken Anderson a réaffirmé que l'écurie, qui sera officiellement située en Caroline du Sud, cherche également une base en Europe, probablement en Espagne, peut-être dans les ateliers de l'équipe Epsilon Euskadi, à Gipuzkoa.

« Nous sommes en pourparlers avec l’ancien ingénieur de F1, Sergio Rinland » confirmait « Gipuzkoa est une belle ville, et elle figure en tête de notre liste. L'Espagne accueil également de nombreuses séances d’essais durant l’intersaison. »

Andersson a aussi admis qu'il y avait un sens à voir les USA s’engager en F1 : « C'est le plus grand sport mécanique au monde et la plus grande audience de télévision. Le NASCAR est un sport national qui n’a jamais eu d’ambition internationale. »
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Honda - Négociations confirmées avec Virgin

Si rien n'est encore finalisé, loin de là, Honda a toutefois confirmé mercredi être en négociations «avec plusieurs acheteurs potentiels dont le groupe Virgin». «Nous poursuivons les négociations actuelles afin d'être dans les délais pour le début de la saison en mars», a expliqué un porte-parole du constructeur japonais, refusant de citer leurs autres repreneurs intéressés. Seule certitude, Richard Branson, patron de Virgin, figure bien parmi les potentiels acheteurs. Mais le milliardaire britannique ne serait donc pas seul. Le directeur exécutif de l'écurie notamment, Nick Fry, serait également en train de monter une offre d'achat. tout en étant juge et partie, ce qui est interdit par la législation britannique. En effet, la loi interdit à une personne chargée de vendre une entreprise, de monter soit même une offre de rachat pour cette même entreprise, et ce pour d'évidentes possibilités de favoritisme pour sa propre offre.

Selon le porte-parole qui s'est exprimé mercredi, les discussions menées sont «intenvises», histoire de mettre tous les moyens en oeuvre pour sauver l'écurie. La possibilité que celle-ci soit finalement démantelée n'est malgré tout pas à exclure en cas d'échec des négociations. Arrivé sur les circuits de F1 en 1964, Honda avait annoncé son retrait en décembre dernier en raison de la crise financière. Le constructeur se donne jusqu'au 29 mars, date du premier Grand Prix de la saison à Melbourne pour trouver une solution.
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Date limite pour Honda : le 23 février !

Au plus le temps passe et au plus on se dit que cette saison 2009 sera très difficile pour l'ex-équipe Honda, toujours engluée dans d'interminables négociations en vue de son sauvetage.

Nick Fry et Ross Brawn, les dirigeants de cette équipe, semblaient être en mesure d'attendre jusqu'au 28 février avant de prendre une décision ferme et définitive quant à leur participation à la saison 2009, mais leur partenaire motoriste Mercedes ne veut pas attendre aussi longtemps.

Mercedes a en effet exigé que Nick Fry et Ross Brawn se décident le 23 février au plus tard, c'est-à-dire que le premier payement soit effectué à cette date.

Si la vente de l'équipe Honda n'est pas conclue avant l'expiration de cet "ultimatum", Nick Fry et Ross Brawn ne pourront pas payer Mercedes et leur équipe n'aura tout simplement plus de moteur pour disputer la saison 2009.
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Honda - L'offre d'Ecclestone rejetée

Les patrons de Honda ont rejeté la main tendue par Bernard Charles Ecclestone qui envisageait de les aider à racheter l'écurie japonaise. Le grand argentier, dont le plan de reprise de 112 millions d'euros prévoyait que Nick Fry et Ross Brawn ne détiennent que 17,5% du capital, l'a regretté dimanche dans News of the World : «J'ai essayé d'aider et ils auraient dû prendre ce que je leur offrais, a lâché celui qui espérait ainsi mettre un pied dans l'association des écuries de Formule 1 (FOTA). C'était une bonne offre pour toutes les personnes concernées. Cela leur offrait une protection complète mais ils ont voulu faire les choses de leur côté. Maintenant, tout ce qu'il nous reste à faire est d'espérer et de prier.»

La principale raison qui a poussé Ecclestone à faire cette offre fut le désir d'aligner Jenson Button aux côtés de Bruno Senna, le neveu du triple champion du monde : «Ce serait fantastique de voir le nom de Senna revenir en F1», a fantasmé Ecclestone qui ne croit pas que la disparition de Honda soit catastrophique. «Si nous perdions McLaren, Ferrari ou BMW cela interpellerait les gens mais je ne pense pas que ce soit le cas avec Honda. Ils n'ont pas fait grand chose l'an dernier. Enfin je crois», a-t-il râillé. Alors que les spéculations vont bon train sur un éventuel rachat de l'écurie japonaise par le groupe Virgin, l'hypothèse la plus plausible reste aujourd'hui un démantèlement pur et simple de l'écurie.
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Honda - Fukui : «Pas d'offre sérieuse»

La poussière qui s'amoncelle dans les garages et bureaux de Brackley depuis l'annonce du retrait de l'écurie Honda en décembre n'est pas près d'être balayée. Les dirigeants du constructeur japonais d'automobiles ont déploré lundi l'absence de pistes solides dans le rachat de l'équipe. Par ailleurs le PDG Takeo Fukui, 64 ans, a annoncé lundi qu'il laissait son poste à Takanobu Ito, 55 ans. Fukui, qui exerçait cette fonction depuis 2003, restera membre du conseil d'administration en tant que directeur et conseiller.

«Il y a plusieurs offres de rachat pour l'écurie mais nous n'en avons encore vu aucune de sérieuse, a confié Takeo Fukui, passionné de sports mécaniques, lundi en conférence de presse. Nous trouvons ce processus de vente très difficile.» Une déclaration qui sonne le glas des espoirs de ceux qui espéraient voir les monoplaces japonaises sur la grille de départ du GP de Melbourne le 29 mars prochain. Samedi déjà, les rumeurs de rachat de l'écurie par le groupe Virgin ont pris du plomb dans l'aile après que le patron Richard Branson a avoué qu'il ne s'impliquera dans la discipline que lorsqu'elle sera plus rentable et plus respectueuse de l'environnement. Dimanche, on apprenait dans News of the World que l'offre de rachat (112 millions d'euros) formulée par Bernie Ecclestone, le principal promoteur de la F1, avait été rejetée par Nick Fry et Ross Brawn, les deux directeurs de Honda Racing.

Il faudrait désormais un miracle pour voir Honda débuter un neuvième Championnat du monde (après les saisons 1964-1968 et 2006-2008) d'autant que le fournisseur de moteur Mercedes-Benz avait dit vouloir obtenir des garanties financières sur le rachat de l'écurie avant la fin de ce lundi.
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L'équipe Honda à Melbourne ?

Selon une source citée par la BBC Sport, l'écurie Honda devrait bel et bien participer à la saison 2009 de F1.Tout serait désormais en place pour que Ross Brawn puisse relancer cette équipe.
"Les contrats sont approuvés et signés. Ils ont été envoyés aux avocats," déclare cette source anonyme, mais proche de l'équipe.
L'écurie Honda devrait participer à une séance d'essais privés en Espagne avant de s'envoler vers Melbourne."Nous ne pourrions pas participer à une séance d'essais sans un contrat avec un motoriste.Si nous allons à Jerez, c'est que le contrat est signé," ajoute la source.

Tout cela demande maintenant une confirmation officielle, mais cela ne saurait tarder...
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RBS quittera la F1 à la fin 2010

L'écurie de Formule 1 Williams a subi un coup dur après l'annonce du retrait à partir de fin 2010 de la Royal Bank of Scotland (RBS), un parraineur majeur qui lui apportait 10 millions de livres (11,3 millions d'euros) par saison, selon la BBC mercredi.

RBS va en effet mettre fin à son partenariat en raison de la crise financière, indique la BBC. La RBS serait sur le point d'annoncer jeudi environ 28 milliards de livres (31,8 milliards d'euros) de pertes, un record en Angleterre.

Malgré ce retrait, la patron de l'écurie éponyme, Franck Williams, a affirmé que son équipe continuerait à se battre. L'écurie existe depuis 30 ans (elle a célébré son 500e Grand Prix la saison passée) et a remporté sept titres mondiaux des pilotes, le dernier en 1997 avec le Canadien Jacques Villeneuve. Elle n'avait cependant pris que la huitième place au classement des constructeurs en 2008.

"RBS a été un grand partenaire pour notre équipe et nous lui sommes reconnaissants pour la manière dont ils ont géré cette situation difficile, a déclaré Sir Franck. Nous sommes malgré tout en bonne position pour passer au travers des obstacles inévitables qu'on va rencontrer ces deux prochaines saisons."

Le partenariat entre Williams et RBS avait commencé en 2005. Il prendra fin au terme du contrat, fin 2010.

Ce retrait fait partie du plan d'économies de RBS, qui va diviser par deux ses investissements dans le sport britannique d'ici 2010. RBS va ainsi revoir ses accords avec plusieurs sportifs, dont le joueur de tennis écossais Andy Murray.

"Nous reconnaissons que nous évoluons aujourd'hui dans un environnement économique très différent et nous sommes en train de revoir toutes nos activités depuis octobre", a ainsi avoué à la BBC le directeur du groupe RBS, Dr Andrew McLaughlin.

Ce dernier a toutefois insisté sur le fait que RBS allait tenter d'honorer jusqu'à leur terme les contrats en place.

RBS a quand même annoncé le mois dernier la prolongation de son partenariat avec le Tournoi des six nations de rugby pour quatre ans, un accord qui porte sur 20 millions de livres (22,7 millions d'euros).
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Sauvetage en interne en vue pour Honda

Le constructeur automobile japonais Honda n'a pas trouvé de repreneur pour son écurie de Formule 1 mais aurait accepté un sauvetage en interne afin que ses voitures puissent prendre le départ à l'ouverture du Championnat fin mars, annoncent vendredi des médias britanniques.

Selon le Daily Telegraph, le directeur exécutif de l'écurie Honda, Nick Fry, et plusieurs autres responsables de l'équipe ont convaincu le conseil d'administration du groupe de débloquer une somme estimée à plus de 100 millions de dollars (79 millions d'euros) pour maintenir l'équipe au moins pour la saison 2009.

En contre-partie, l'écurie accepte de supprimer environ 300 emplois à son siège de Brackley, dans le centre de l'Angleterre, et son pilote numéro 1, le Britannique Jenson Button, voit son salaire diminué de 7,5 millions de dollars (5,9 millions d'euros), précise le quotidien.

Dans le même temps, selon l'agence anglaise PA, l'écurie Honda prévoit de faire des essais avec une nouvelle voiture à Silverstone la semaine prochaine, avant de participer à la dernière séance d'essais de l'hiver à Barcelone du 9 au 12 mars.

Honda avait annoncé début décembre qu'il quittait la F1 en raison de ses difficultés liées à la crise économique.

C'est jeudi prochain, sur le circuit de Silverstone, que la nouvelle monoplace de l'équipe encore connue sous le nom de Honda, devrait faire ses premiers tours de roue.

Selon de nombreuses sources concordantes, Ross Brawn aurait donc réussi à sortir son équipe de l'ornière, grâce à de l'argent venant de la FOM (droits TV), de quelques sponsors et de Honda qui aurait préféré faire un petit geste financier plutôt que de démanteler l'équipe et payer les licenciements de tous les employés.

Pour l'heure, seul Jenson Button semble assuré de son volant pour la saison 2009. Son équipier pourrait être Bruno Senna ou... Rubens Barrichello. Le neveu d'Ayrton Senna aurait en effet du mal à réunir un budget pour obtenir ce volant. Le journal suisse Blick annonce d'ailleurs Senna au départ du championnat allemand DTM cette année...

Après ce premier roulage à Silverstone, l'équipe de Ross Brawn devrait se diriger vers Barcelone où elle pourrait participer à la séance d'essais privés qui se tiendra du 9 au 12 mars.

Pour le moment, toutes ces informations sont à prendre avec les pincettes d'usage, en attendant une confirmation officielle venant de Brakley.

D'après AFP

NB: Le nouveau nom de l'équipe de Brackley pourrait être Brawn Racing. L'avocate Caroline McGrory, qui compte l'équipe de Brackley parmi ses clients, a en effet enregistré deux noms de domaines: brawnracing.co.uk (le 24 février) et brawnracing.com (le 25 février).
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Les pilotes cèdent et paient leur super licence

Les pilotes du championnat du monde de Formule Un ont cédé. La FIA a remporté le bras de fer engagé il y a 12 mois : après avoir tenté de repousser l’assaillant, la citadelle GPDA capitule : les pilotes paieront leur super licence et son inflation stratosphérique. Contrairement à leurs aînés qui, en 1982 n’avaient pas hésité à boycotter la 1ère séance d’essais libres de la saison et à se mettre en grève jusqu’à obtention d’une révision de leur statut auprès de la FISA et de la FOCA, les 20 pur-sang du plateau ne sont pas allés jusqu’au clash, dans un souci de ne pas nuire au sport et aux fans affirme, Autosport qui relaie l’information.

Probablement par raison également, dans une conjoncture économique difficile ; en s’arcboutant sur ce qu’ils estiment être leur bon droit, les pilotes n’auraient pas eu bonne presse auprès du public. Le champion du monde en titre, Lewis Hamilton, est le plus taxé par la nouvelle grille tarifaire : €10.000 + €2.000 par point marqué en 2008. Il devra s’acquitter d’une gabelle de €206.000. Une coquette somme qui ne représente qu’un pourcentage infime de ses revenus.

Par conscience, sûrement, que leur statut est privilégié et a atteint des sommets insoupçonnés. En 1982, les pilotes risquaient leur vie au quotidien pour un maigre butin ; ils s’étaient réunis dans l’hôtel Sunny Side de Kyalami où ils ont fait bloc contre les autorités sportives.

« Cette inflation a été décidée par la FIA sans aucune consultation et les pilotes en ont eu connaissance lorsqu’ils ont reçu les factures via leur écurie respective, ainsi que via les médias, en Janvier 2008. Les augmentations pratiquées sont bien évidemment injustes à la fois par la manière dont elles ont été introduites et par leur impact sur les pilotes » expliquaient récemment le GPDA [Grand Prix Drivers Association, Association regroupant les pilotes]. « Le tarif de la Super Licence devrait couvrir les frais nécessaires à la gestion administrative et aux coûts spécifiques aux Super Licences. Les pilotes ont donc offert de payer sur la base de 2007 en adaptant le tarif à l’inflation 2008 ainsi qu’à celle de 2009. »

Les faits rappelés par le GPDA :

- En 2007 la Super Licence était déjà la licence sportive la plus chère au monde

- En une année et sans préavis, son tarif a déjà augmenté de 20% (tarif de base) et de 350% (par point marqué)

- Le vainqueur du championnat du monde de Formule Un 2008 devra payer $270.000

- Le tarif de licence le plus proche au monde est celui de la NASCAR, où les pilotes paient $4.000 par saison

- La contribution des pilotes au fonctionnement de la FIA est de €1,7 millions par an grâce à la Super Licence
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Honda proche de vendre son écurie

Le constructeur automobile japonais Honda serait sur le point de trouver un accord avec un repreneur, dont le nom n'a pas été révélé, pour vendre son équipe de Formule 1 à temps pour le début de la saison fin mars, a indiqué mardi le Yomiuri Shinbun, premier quotidien du Japon.

"Honda a réalisé d'énormes efforts pour éviter le pire des scénarios qui serait de démanteler son écurie. Notre société et notre écurie seront en mesure de faire une annonce dans un futur proche", a déclaré un officiel d'Honda au Yomiuri Shinbun.

Honda va commencer les préparatifs de la vente afin que l'écurie puisse effectuer des essais avec sa nouvelle voiture jeudi, lui permettant de prendre part au championnat du monde 2009 de Formule 1, indique le journal japonais.

Un porte-parole d'Honda a refusé de commenter l'article qui annonce également que le pilote britannique Jenson Button et le patron de l'écurie Ross Brawn resteront dans l'équipe.
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Honda - Barrichello devrait rempiler

Rubens Barrichello devrait disputer une nouvelle saison en F1, au sein de la nouvelle structure Honda, selon le site d'Autosport, qui se base sur des sources émanant de l'équipe installée à Brackley. Le Brésilien, dont le contrat n'a pas encore été signé formellement, détient déjà le record de participations en F1, avec 270 départs. Il sera le coéquipier du Britannique Jenson Button, confirmé.

Le maintien de Barrichello, qui compte 9 victoires en F1, et fêtera ses 37 ans en main, enterre les derniers espoirs de son jeune compatriote Bruno Senna de faire ses débuts en F1. Le neveu d'Ayrton était pourtant donné grand favori, à l'automne, au point d'avoir abandonné toutes les pistes pour poursuivre sa carrière en GP2.

Et Barrichello pourrait même prolonger le plaisir une saison de plus puisque Peter Windsor songe même au Brésilien pour le team USF1, qui devrait intégrer le Championnat du monde en 2010.
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Les propositions de la FOTA pour 2010

Après avoir accepté la réduction du kilométrage en essais privés et l'augmentation de la durée de vie des moteurs, parmi d’autres mesures pour la saison 2009, la FOTA a poursuivi son travail visant à réduire encore les coûts en F1, dès 2010.

Voici les mesures sur lesquelles les dix membres de la FOTA (associations des constructeurs de F1) sont tombés d'accord. Ross Brawn, directeur de l'ex-équipe Honda, a participé à ces discussions.

Propositions de règles techniques pour la saison 2010:

- Fourniture de moteurs aux écuries privées pour 5 millions d'euros par saison

- Fourniture de boîtes de vitesses aux écuries privées pour 1,5 million par saison

- Fourniture du système KERS aux écuries privées pour 1,2 million par saison (discussions encore en cours)

- Objectif de réduction de 50% des dépenses de développement aérodynamique

- Limitation du nombre de modifications par saison au niveau du châssis, de l'aérodynamique et de la carrosserie

- Interdiction de certains matériaux, métalliques ou composites

- Standardisation des systèmes radio et de télémétrie

Propositions de règles sportives pour la saison 2010:

- Nouveau format pour les qualifications

- Nouvelles opportunités de marquer des points (par exemple pour l'équipe qui réalise les ravitaillements les plus rapides)

- Réduction des essais privés (quatre fois quatre jours d'essais hivernaux, plus une journée pour tester la nouvelle voiture)

- Réduction de la durée et de la longueur de la course (250 km et/ou 1h40 au maximum). Cette dernière mesure qui doit obtenir l'accord des détenteurs des droits commerciaux sur la F1.

A signaler encore que la FOTA propose aussi de modifier la distribution des points afin que le vainqueur d'un Grand Prix soit mieux récompensé de ses efforts. La FOTA propose donc que les huit premiers de chaque Grand Prix marquent respectivement 12-9-7-5-4-3-2-1 points contre 10-8-6-5-4-3-2-1 jusqu'à présent.
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Feu vert pour Brawn Grand Prix!! L'équipe Honda a un nouveau propriétaire

Le constructeur automobile japonais Honda Motor a annoncé vendredi la vente de son écurie de Formule 1 à son directeur, le Britannique Ross Brawn, qui gardera les pilotes Rubens Barrichello et Jenson Button pour le prochain Championnat qui débute le 29 mars en Australie.

"La propriété de l'écurie a été transférée à M. Brawn, qui a l'intention de faire en sorte que la nouvelle écurie soit sur les rangs pour le Championnat du monde 2009", qui démarre fin mars à Melbourne (Australie), a expliqué Honda dans un communiqué.

Le montant de la vente n'a pas été dévoilé. L'écurie a été immédiatement rebaptisée "Brawn GP Formula One Team" et a annoncé dans la foulée un partenariat avec Mercedes-Benz pour la fourniture d'un moteur de 2,4 litres.

M. Brawn a également annoncé qu'il conservera dans son écurie les pilotes Jenson Button et Rubens Barrichello. Bruno Senna, neveu du légendaire Ayrton Senna, n'a quant à lui pas été retenu. "Il semble que (Brawn) ait voulu jouer la sécurité, car il est plus facile pour lui de prendre Rubens (Barrichello) avec qui il travaille depuis longtemps", a déclaré Senna, 25 ans, sur le site internet autosport.com. "J'ai plusieurs options, en Formule 1 et ailleurs, a ajouté Senna pour qui il s'est déclaré "très important de rester en contact avec la Formule 1, cette saison et dans le futur", après une saison 2008 où il fut sacré vice-champion de Formule GP2.

Ross Brawn, 54 ans, avait rejoint Honda en 2007 après avoir notamment travaillé pour Ferrari, Benetton, Jaguar et Arrows.

"Les mois qui ont précédé ont été difficiles", a reconnu M. Brawn dans un communiqué. Mais la reprise de l'écurie "est le dénouement très heureux des efforts considérables qui ont été accomplis pour lui assurer un avenir".

Honda avait annoncé le 5 décembre son retrait de la F1 en raison de la crise économique mondiale, qui met à mal ses performances financières. En 2008, l'écurie japonaise s'était classée 9e du classement des constructeurs, avec 14 points.

Du coup, le Brésilien Rubens Barrichello, le pilote le plus expérimenté du circuit avec 271 Grand Prix, dont neuf victoires, et qui venait de réaliser la meilleure performance de Honda en 2008 en terminant troisième à Silverstone en Angleterre, s'était brusquement retrouvé sans contrat pour la saison 2009. De même que le Britannique Jenson Button, vainqueur du Grand Prix de Hongrie en 2006.

"La grande expérience et les connaissances que les deux pilotes apportent à notre équipe ont une valeur incalculable, alors que nous voulons nous mettre en marche le plus vite possible pour être prêts pour la première course de la saison, le 29 mars à Melbourne", a expliqué l'écurie dans son communiqué.

Brawn GP a précisé qu'elle participerait aux dernières séances d'essais prévues avant le début du Championnat, à Barcelone du 9 au 12 mars, et à Jerez des 15 au 17 mars, avant de se rendre à Melbourne.

Cette vente marque la fin de l'écurie Honda, qui avait fait ses débuts en F1 en tant que constructeur en 1964 dans le Grand Prix d'Allemagne.

Elle avait remporté sa première victoire au Mexique en 1965 et une deuxième en Italie en 1967, mais avait dû se retirer l'année suivante afin de permettre à la société de concentrer ses ressources sur le développement d'un véhicule de tourisme compact.

Honda était revenu à la F1 comme fournisseur de moteur de 1983 à 1992, enchaînant les victoires avec des pilotes comme Nelson Piquet, Ayrton Senna et Alain Prost. Toutefois, après l'interdiction des systèmes turbo, le constructeur japonais s'était à nouveau retiré de la F1.

Honda avait fait son retour en compétition en 2000, en s'associant avec le constructeur anglo-américain BAR pour la conception d'une monoplace équipée d'un moteur Honda. Le partenariat avait duré six ans, jusqu'à la création de l'écurie Honda Racing F1 Team en 2006, couronnée par une troisième victoire au GP de Hongrie la même année.
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La Brawn a roulé à Silverstone





Comme prévu, le Brawn GP, nouveau nom de l'équipe Honda, a pris la piste aujourd'hui sur le circuit de Silverstone avec sa nouvelle monoplace dotée du moteur Mercedes.

C'est Jenson Button qui s'est chargé du premier roulage de la BGP001. La monoplace vue à Silverstone aujourd'hui est principalement de couleur blanche avec un filet jaune et noir.

Pour le moment, cette monoplace n'arbore aucun sponsor et elle était chaussée de pneus rainurés pour ce premier roulage.

"Le plus grand défi auquel nous avons dû faire face était d'être en position de disputer la course de Melbourne et nous avons relevé ce défi - déclare Ross Brawn - Nous avons eu quelques problèmes de fiabilité, étant donné notre manque d'essais sur piste, mais nous sentons que nous disposons d'une bonne voiture et que nos performances seront respectables."

L'équipe Brawn GP participera à la séance d'essais privés de Barcelone la semaine prochaine et à une autre à Jerez, la semaine suivante.
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Alonso se voit champion à 70%



Fernando Alonso a consulté les astres et voici ses prédictions. Le pilote espagnol a estimé qu'il avait sept chances sur dix d'être champion du monde cette saison, dans un entretien à la télévision espagnole La Sexta repris dans la presse ibérique de samedi. A une question sur ses «possibilités d'être champion», sur une échelle de dix, le pilote a répondu «sept». Il a également estimé à cinq sur dix ses chances de remporter le premier Grand Prix de la saison, à Melbourne en Australie le 29 mars.

«Je suis beaucoup plus optimiste que l'année dernière, sans aucun doute, a déclaré le double champion du monde 2005 et 2006, qui avait vu juste en estimant au début de l'an dernier qu'il n'avait aucune chance d'être champion cette année-là. Cette année, le point de départ est meilleur. Nous ne sommes pas à une seconde et demie des meilleurs, mais très près, à 7 dixièmes», a-t-il déclaré mercredi à Barcelone, où se déroulaient des essais de Formule 1. Lors de ces essais sur le circuit de Montmelo, Alonso s'est montré satisfait de sa nouvelle monoplace, la Renault R29, «facile à conduire» et «performante», fruit d'un «très bon travail cet hiver».
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je me souviens que durant la dernière intersaison à laquelle Prost GP a participé, ils atomisaient tout le monde pendant les essais hivernaux! tout simplement parce qu'ils roulaient volontairement SOUS le poids autorisé! afin d'attirer des sponsors!
alors, on verra dans 15 jours! la semaine prochaine, c'est les 12h de sebring! mieux que la f1!
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Toyota hésite sur son avenir en F1

Le directeur de Toyota Racing Tadashi Yamashina a révélé ce week-end qu'il a dû batailler cet hiver pour que l'écurie japonaise reste en Formule 1 cette saison. Le géant de l'industrie automobile avait annoncé les premières pertes financières de son histoire en décembre dernier, quelques semaines après que Honda a annoncé son retrait de la discipline, ainsi que Suzuki et Subaru en WRC.

«J'ai insisté encore et encore auprès du conseil d'administration de la compagnie pour que nous ne retirions pas même si nous devions réduire drastiquement nos coûts, a confié Tadashi Yamashina au journal nippon The Daily Yomiuri. Evidemment, les rapports sur nos affaires infructueuses ont semé le doute.» Outre la ténacité de Yamashina, un autre facteur s'est avéré crucial dans le maintien de Toyota en F1 : l'engagement pérenne du principal sponsor Panasonic.

«J'ai été extrêmement heureux que Panasonic ait décidé de renouveler son contrat avec nous même si des problèmes financiers les ont aussi touchés. Leur compréhension de ce que nous essayions de faire nous a permis de continuer à faire des courses», s'est remémoré le Japonais qui reste convaincu du bienfait que Toyota peut retirer de la F1. «Nous avons concouru en F1 ces sept dernières années ce qui, je crois, a revigoré notre compagnie dans son ensemble et contribuer aux ventes de notre production. Nous devons gagner, a enfin conclu Yamashina en référence au palmarès vierge de Toyota. Je suis sûr que notre écurie a le potentiel pour gagner un titre au vu des essais de jeudi (et le 3e temps de Timo Glock). Notre écurie est définitivement meilleure que l'an passé.»

donc des victoires rapidement où toyota se retirera de la F1 à plus ou moins court terme...
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Toyota - Menaces de réductions budgétaires

Pas un jour sans une déclaration de Tadashi Yamashina, le directeur de l'écurie Toyota. Au lendemain de sa déclaration concernant sa bataille pour le maintien de son écurie cette saison, il a expliqué ce lundi que le dernier constructeur japonais encore en lice en F1 sera amené à «réduire son budget en 2010» si ses résultats sportifs ne s'améliorent pas.

Présent en Formule 1 depuis 2002, le constructeur japonais n'a en effet jamais réussi à remportrer le moindre Grand Prix. Toyota a terminé à la cinquième place, sur 11 écuries engagées, au championnat constructeur en 2008, tandis que Jarno Trulli et Timo Glock occupaient respectivement les neuvième et dixième place du classement pilotes. «Nous subissons une pression, non pas parce que nous sommes la dernière équipe nippone mais surtout parce que nous n'avons jamais décroché une victoire» en Grand Prix, a dit Yamashina. Avant de poursuivre : «Si les résultats demeurent ce qu'ils sont, notre engagement [en Grand Prix, ndrl] n'aura plus de valeur. Si la situation n'évolue pas l'an prochain, nous aurons à réduire encore un peu plus notre budget, mais, en tant qu'entrepreneur, je suis déterminé à poursuivre l'expérience en F1 quelle qu'en soit sa taille.»

Chez les constructeurs japonais, la crise économique et financière a obligé Honda à vendre son écurie de F1 à son ancien directeur technique, Ross Brawn, et Super Aguri, en grosses difficultés financière, a renoncé à la compétition cette saison faute de moyens financiers.
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Le titre attribué au nombre de victoires



Révolution en Formule 1 : le conseil mondial de la FIA a validé mardi à Paris une réforme qui fera que, dès cette année, le champion du monde sera le pilote qui aura remporté le plus de courses. Si ce système avait été utilisé en 2008, Felipe Massa (6 victoires) aurait été titré au détriment de Lewis Hamilton (5).

Le système de points (10, 8, 6, 5 etc...) est conservé en l'état mais il ne servira que dans deux cas de figure. Premièrement si deux pilotes terminent avec le même nombre de victoires. Celui qui aura le plus de points sera titré. Deuxièmement, pour établir le classement général des pilotes de la deuxième à dernière place. La proposition de Bernie Ecclestone de donner des médailles aux trois premiers pilotes de chaque course a été rejetée, tout comme celle de la Fota (Fédération des écuries de F1) de modifier le barême des points (12, 9, 7 etc.).

Des budgets plafonnés en 2010

Autre grande décision prise par la FIA, celle du plafonnement éventuel des budgets à 30 millions de livres (33 millions d'euros) dès 2010 en échange d'une plus grande liberté technique. «Toutes les équipes auront l'option de courir avec des voitures conduites et gérées rigoureusement au moyen d'un budget plafonné (...) de 30 millions de livres (33 millions d'euros) ou de poursuivre avec les règles actuelles jusqu'à 2012», a annoncé la FIA dans un communiqué.

Ce budget plafonné couvrira toutes les dépenses, les produits ou services «subventionnés ou fournis gratuitement» aux écuries étant comptabilisés «à leur valeur commerciale», selon le conseil mondial de l'automobile, qui a ajouté que des audits stricts seraient menés. Afin de permettre aux écuries jouant le jeu de la réduction des coûts d'être compétitives face à des voitures qui ne choisissent pas le budget plafonné, leurs voitures «jouiront d'une plus grande liberté technique» en terme d'aérodynamique et de moteur.

Pour Max Mosley, cette décision va dans le bon sens malgré la réduction des coûts. «Keith Duckworth (l'ingénieur qui a révolutionné la F1 en désignant sa voiture, la Cosworth DFV, ndlr) a dit un jour : "Un ingénieur c'est quelqu'un qui peut faire avec un dollar ce que n'importe quel idiot fait avec cent dollars". Avec ces nouvelles règles, j'espère que les meilleures écuries seront celles qui auront les idées les plus ingénieuses et pas celles avec les plus gros budgets», a ainsi justifié le président de la FIA. (Avec AFP)
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Todt et Ferrari, la fin d'une histoire

Jean Todt, qui a mené l'écurie italienne vers les sommets avec six titres de champion du monde constructeurs en F1, n'a désormais plus aucune fonction au sein de Ferrari. Une annonce faite ce mardi par le président de la Scuderia Luca di Montezemolo devant l'assemblée des actionnaires.

Depuis mars 2008, Jean Todt n'était plus que membre du conseil d'administration. Il avait en effet renoncé à son poste d'administrateur-délégué, une casquette qu'il portait depuis fin 2007 après son départ de la direction sportive. Di Montezemolo a tenu à remercier le Français pour tout le travail accompli avec Ferrari et «sa grande contribution aux succès de la Scuderia ces dernières années, ainsi que pour son implication et le dévouement qu'il a toujours manifesté depuis son arrivée à Maranello en 1993. Jean Todt a été un acteur fondamental de l'histoire de Ferrari au cours de ces quinze dernières années. Toutes ces années passées ensemble, avec les victoires mais aussi les moments difficiles, ont crée un lien entre Jean Todt et Ferrari qui demeurera pour toujours.» Un bel hommage pour sceller la fin d'une très belle aventure commune. (Avec AFP)
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kiki7266 a écrit:
Des budgets plafonnés en 2010

Autre grande décision prise par la FIA, celle du plafonnement éventuel des budgets à 30 millions de livres (33 millions d'euros) dès 2010 en échange d'une plus grande liberté technique. «Toutes les équipes auront l'option de courir avec des voitures conduites et gérées rigoureusement au moyen d'un budget plafonné (...) de 30 millions de livres (33 millions d'euros) ou de poursuivre avec les règles actuelles jusqu'à 2012», a annoncé la FIA dans un communiqué.


franchement je me marre! 33 millions d'€ de budget! c'est juste le budget des pilots chez ferrari! les grosses ecureies comme mclaren, Ferrari, Toyota, dépensaient aux alentours des 300 à 350 millions en 2008! toyota a dépassé les 450 dans leurs premières saisons! audi et peugeot en protos, ont des budget de l'ordre de 80 millions! et l'autre branquignol de mosley estpère une F1 technologiquement à la pointe pour 30 millions?!et la marmotte met le chocolat dans le papier alu!


budget 2009 des écuries (prévisionnels)

toyota 265M
McLaren 260M
Ferrari 250M
BMW 220M
renault 152M
redbull 105M
williams 100M
toro rosso 75M
Force india 80M
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La FOTA marque sa désapprobation

En adoptant plusieurs règlementations révolutionnaires (techniques et sportives) sans concertation avec les écuries du championnat du monde de Formule Un (lire nos articles du jour), la FIA aurait pu faire croire qu’elle avait soit commis une erreur de jugement soit avait procédé de telle sorte qu’elle montrait la porte de sortie aux constructeurs automobiles. Il s’agit au contraire d’une position mûrement réfléchie destinée à asseoir son autorité à l’heure où les écuries ont fait cause commune sous l’égide de la FOTA. Alors qu’elles pensaient pouvoir peser sur la destinée de la F1, la FIA les a renvoyées à leurs chères études.

« La FOTA voudrait exprimer sa déception par rapport aux décisions prises aujourd’hui par le Conseil Mondial de la FIA. Elle s’inquiète du fait qu’elles aient été adoptées de manière unilatérale » expliquent les 10 écuries du championnat du monde dans un communiqué conjoint, « Le cadre des réglementations tel que défini par la FIA et qui serait appliqué en 2010 comporte le risque de modifier l’essence même de la F1 et ce qui en fait un sport aussi populaire et apprécié. »

« Etant donné le laps de temps durant lequel ces modifications ont été adoptées, ainsi que la manière dont elles ont été adoptées, nous pensons nécessaires d’étudier la situation et de faire notre possible, surtout en ces temps difficiles, pour maintenir une certaine stabilité dans les règlements et pour éviter un changement perpétuel qui n’apporte que confusion et perplexité aux constructeurs, aux écuries au public et aux sponsors. »

Le (nouveau) bras de fer entre écuries et FIA étant engagé à l’initiative de cette dernière, il appartient désormais aux équipes de prendre des décisions tranchées pour être admises à la table des négociations, ou de tirer les conclusions de la politique de la FIA.
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Brawn GP - Jusqu'où s'élèvera le phénix ?

S'agit-il du soubresaut d'un moribond ou d'une cure de jouvence des plus spectaculaires ? Laissée pour morte après le retrait de Honda et les tentatives de rachats avortées (Virgin, Ecclestone, David Richards, Carlos Slim...), puis sauvée in extremis de la déroute grâce au rachat orchestré par Ross Brawn, l'ex-directeur de Honda Racing, la firme basée à Brackley a fait plus que renaître de ses cendres en explosant les chronos lors des essais de mars. Jusqu'où s'élèvera le phénix qui suscite autant l'admiration que la controverse ?

Oubliés le champion du monde surdoué Lewis Hamilton (McLaren), le génial Fernando Alonso (Renault) ou les flèches rouges de Ferrari et son duo Massa-Räikkönen : début mars, à la surprise générale, ce sont des rapaces d'une blancheur immaculée, vierges de tout sponsor, qui ont fait leur nid au sommet des feuilles de temps. Meilleurs temps des essais sur le circuit catalan de Barcelone lors des jours 3 (une seconde devant Massa) et 4 (une seconde et demi devant Alonso, deux secondes devant Hamilton), puis sur le circuit de Jerez lors des jours 1 (1'19''236) et 3 (1'17''844 contre 1'19''121 à Hamilton), les monoplaces Brawn GP ont épaté les observateurs. A leur bord ? Pas de champion du monde ou de jeune prodige, «juste» le chevronné Rubens Barrichello (36 ans et 270 GP disputés) et Jenson Button (18e pilote de l'exercice écoulé avec 3 points).

«Le fait de voir ici que nous avons une voiture vraiment compétitive me remplit de bonheur ! Je me sens plein d'énergie. Après deux ou trois saisons pas très faciles, je revis. Et je reviens pour gagner», avait lancé le Brésilien avant d'étrenner sa Brawn GP 001. Mais alors que tous les pilotes ont l'habitude de faire des déclarations fracassantes, comme lors de chaque intersaison, l'ancien pilote de Ferrari a rapidement joint le geste à la parole. Lors de sa «plus mauvaise sortie», à Jerez (jour 2), Barrichello n'a ainsi terminé qu'à 0''055 de Fernando Alonso et plus d'une seconde devant Hamilton ! «Si la tendance se maintient, les (monoplaces) Brawn GP seront les seules devant à Melbourne», s'était alarmé Sebastian Vettel (Red Bull) dans les colonnes du magazine Auto Motor und Sport. «Tout en haut, très au-dessus, pour moi, il y a Brawn Grand Prix, ce qui est assez comique, avait préféré sourire Nico Rosberg (Williams) le 11 mars en Catalogne. (plus sérieusement) En fait, ils ont l'air vraiment bien.» Bernie Ecclestone lui-même y est allé, ce mardi, de son petit pronostic : «Si Brawn a vu juste, alors il y a une chance pour que les trois premières courses reviennent à Jenson (Button).» Oui, les résultats sont là, en pagaille, et ils font souffler un vent de panique chez la concurrence.

Brawn GP est-elle mieux préparée ou a-t-elle triché ?

La première réaction à de tels résultats a été de les saluer. Le premier geste chevaleresque a été à l'initiative de Fernando Alonso : «Ils sont un pas devant nous, avait reconnu l'Espagnol. Il n'est pas normal qu'ils aillent si vite pour de premiers essais (la voiture est seulement sortie de Brackley le 6 mars, Ndlr) même si, en analysant bien la situation, c'est possible. Nous savons que Honda préparait la voiture de 2009 en 2007 (...) Ce n'est pas une monoplace qui sort de l'usine et arrive à ses premiers essais.» Une déclaration fair-play, lâchée lors de la première perf' de Jenson Button. C'était avant que d'autres ne suivent. Du coup, le formidable travail réalisé dans l'antre de Brackley par l'équipe de Ross Brawn, ancien ingénieur chez Ferrari, a vite été jalousé et attaqué par les autres écuries : essais réalisés avec le minimum d'essence pour traquer les sponsors, voiture sous le seuil des 605 kg, illégalité du diffuseur arrière... Rien n'a été épargné à l'écurie ressuscitée. Et Barrichello de philosopher : «Quand quelqu'un est derrière, il lui est plus facile de dire que l'adversaire enfreint les règles que de reconnaître qu'il a fait un meilleur travail», avait-t-il déclaré à Marca.

Le diffuseur arrière légal selon Mosley

Brawn GP a en effet rapidement vu la conformité de ses monoplaces mise en cause, à l'instar de Williams et de Toyota. Pour le patron de Renault, Flavio Briatore, les diffuseurs arrières sont tout simplement illégaux même si Max Mosley, le président de la FIA, a coupé court aux médisances en qualifiant d'«intelligente» l'interprétation du règlement par Ross Brawn. Quant au poids, supposé trop léger, de la monoplace le patron de l'écurie dont tout le monde parle a préféré répondre par l'ironie : «Les autres écuries mettront du temps à copier nos idées, si seulement elles y arrivent», a lâché l'ingénieux stratège dans les colonnes de Bild avant de certifier que les performances de ses bolides n'étaient pas un feu de paille destinées à attirer les sponsors à la va-vite : «Je cherche des partenaires à long terme et non des sponsors qui voudraient nous acheter un espace au rabais grâce à nos chronos.»

Barrichello : «Nous serons la surprise de l'année»

Reste que le feuilleton Brawn GP cristallise les espoirs des fans de F1 cette saison. Si l'on s'en tient aux derniers essais, la révolution réglementaire et sa cohorte de nouveautés qui épouseront le Championnat cette saison portent déjà leurs fruits et semblent redistribuer les cartes. Est-ce vraiment la fin de la domination des Ferrari et des Mclaren ? Barrichello veut y croire. Une fois les essais terminés, le Brésilien a surenchérit dans ses déclarations d'avant-saison : «Je crois que moi-même et Jenson seront au sommet de la liste des pilotes -même s'il y a plein de bons pilotes- et l'équipe a fait un travail fantastique pour produire une bonne voiture (...) Tout ce que je peux dire c'est que c'est une bonne voiture avec un bon moteur (Mercedes-Benz, plus puissant que le V8 Honda, Ndlr), bref un ensemble de choses qui font, je pense, que nous serons la surprise de l'année.» Mais cette fois, ça fait peur.
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Force India - L'appétit vient en mangeant

Vijay Mallya a les dents longues. Si l'an dernier les observateurs n'ont vu que le sourire, flamboyant, du magnat du business et de l'industrie s'intéressant à la F1, beaucoup risquent de se rendre compte cette saison que le "Professeur Mallya" apprend vite et surtout, qu'il peut mordre : en témoigne le nouveau partenariat technique signé cet hiver avec McLaren-Mercedes et les chronos réalisés par l'écurie lors des essais de pré-saison. Cette fois, Giancarlo Fischella et Adrian Sutil, 0 point à eux deux l'an passé, ont surpris en faisant bonne figure dans le classement des feuilles de temps à Barcelone. L'an II de Force India, qui pourrait tirer profit du nouveau règlement, peut commencer.

Car le propriétaire d'UB Group (3 milliards de dollars) n'est pas en F1 pour faire de la figuration. Quand il a racheté Spyker, l'homme aux 60 sociétés (dont la compagnie aérienne Kingfisher Airlines, les alcools Kingfisher, un club de football à Calcutta, une équipe de cricket, une écurie de chevaux...) avait un plan : ne pas «flamboyer» en 2008, c'est réussi, puis jeter des bases solides pour 2009 et prétendre au top 5 dès 2010, c'est-à-dire quand l'Inde aura son Grand Prix. Certes l'objectif est loin d'être atteint mais l'homme qui a investi 128 millions de dollars en 2008 progresse à pas de géant. Cet hiver, dans la foulée de la signature de son partenariat technique avec Mercedes, qui propulse désormais la VJM-02, et McLaren, qui fournit les boîtes de vitesse, les systèmes hydrauliques et le KERS, Vijay Mallya s'est donné les moyens de rentrer dans les points. «Il n'y aura pas d'excuse», avait-il prévenu peu après la présentation de sa monoplace. «Pour être sacrément honnête, je ne serai pas heureux si nous ne nous montrons pas beaucoup de progrès et si nous ne sommes pas performants, n'a pas caché l'homme un brin mégalomane dont les bolides portent ses initiales. J'aimerais voir un bon départ, prendre quelques points d'ici au milieu de la saison (...) Terminer régulièrement dans les points doit être l'objectif.»

Vijay Mallya a un plan

Des paroles qui ont revigoré le vétéran Fisichella (213 GP disputés, 18 podiums, 3 victoires) qui, lui, n'a pas dissimulé son intention de profiter à plein du savoir-faire de McLaren : «L'an passé c'était difficile mais je suis enthousiaste pour celle-là (...) Le principal objectif, c'est pourquoi pas un podium ?», s'était risqué à prétendre le pilote de 36 ans qui ne peut se permettre de renouveler le schéma de la saison passée sous peine de mettre un terme à sa carrière. Et les essais réalisés ce mois-ci lors des essais groupés à Barcelone ont rasséréné ses ambitions. Fini le temps où Force India figurait au nadir des feuilles de temps. Dès le premier jour, son coéquipier Adrian Sutil a réalisé un chrono honorable (8e meilleur temps sur les dix pilotes engagés), reléguant la MP4-24 de Heikki Kovalainen (McLaren) à une demi seconde !

La confirmation a eu lieu dès le lendemain puisque l'Allemand de 26 ans a progressé d'une place (1'21''834) et recalé l'ancien champion du monde Fernando Alonso (1'21''937). Et que dire du troisième jour où, dans les mains de Fisichella, la VJM-02, a mis un dixième dans la vue du champion du monde Lewis Hamilton (McLaren) ? Evidemment, on peut arguer et supposer qu'à l'instar des Brawn GP, les écuries du fond de grille jouent l'intox pendant les essais, en roulant par exemple avec le minimum d'essence, mais c'est oublier que la VJM-02 n'a plus rien à voir avec son aînée et que Vijay Mallya a un plan qu'il suit à la lettre afin de se hisser au niveau de son modèle et ami Flavio Briatore. Nul doute que le faste des deux premiers sacres de Michael Schumacher (1994 et 1995) dont il a été témoin en sponsorisant l'écurie Benetton (avec sa marque Kingfisher), lui a appris la culture de la gagne. Oui, mettre des points cette saison ne sera qu'une étape.
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Toro Rosso - Bourdais, acte II

Après une première saison en F1 en demi-teinte (4 points), Sébastien Bourdais a vécu un hiver plus qu'agité, n'apprenant que début février qu'il serait bien à nouveau un pilote Toro Rosso en 2009. Pour l'ancien quadruple champion du monde de ChampCar (un record), cet épilogue heureux n'est cependant que la première scène de son deuxième acte en F1, qu'il espère bien plus épanouissant que le premier.

«L'hiver a été très long mais l'attente est enfin terminée.» C'est par ces mots empreints de soulagement que Sébastien Bourdais commentait le 6 février dernier la signature de son nouveau contrat avec Toro Rosso. Le Manceau va donc rempiler pour une deuxième saison en F1, et pourtant durant une grande partie de l'hiver, il semblait que le Japonais Takuma Sato lui serait préféré. Le principal intéressé reconnaît d'ailleurs avoir eu du mal à comprendre tout ce qu'il se passait en coulisses : «J'ai surtout été étonné par toutes ces péripéties hivernales. Le choix du pilote était d'abord lié au fait de trouver des sponsors, puis plus du tout, puis à nouveau. On est passé par tous les états. La situation a aussi beaucoup changé. Dans un premier temps, l'équipe a vu son budget réduit d'un gros pourcentage. Dans un second temps, il y a eu pas mal de mesures d'économie introduites pour la saison 2009. Les cartes ont été constamment redistribuées pour finalement arriver à la situation d'aujourd'hui.»

Au-delà du soulagement, le Manceau est également heureux d'avoir une deuxième chance, estimant n'avoir pas pu démontrer tout son potentiel en 2008 : «Après un début de saison correct où j'étais régulièrement au contact soit devant soit derrière Sebastian Vettel (son coéquipier), la seconde voiture (la STR3) est arrivée. Vettel en était heureux mais moi je ne suis pas parvenu à bien me sentir, à trouver du feeling, dans cette voiture. Le seul problème a été de ne pas trouver de solution parce que ce n'était pas nous qui faisions le développement. La situation n'était simple à gérer ni pour moi ni pour eux d'autant que tout le monde avait envie que ça se passe bien. Maintenant, nous repartons sur des données bien différentes avec le changement de règlementations et une voiture totalement nouvelle. On espère que tout ira pour le mieux.» D'ailleurs, son patron, Franz Tost, ne dit pas le contraire, comptant sur l'expérience accumulée par le Français pour épauler le novice suisse, Sébastien Buemi, issu de la filière Red Bull : «Nous sommes contents que Sébastien reste avec nous une année de plus. Après une saison avec Toro Rosso il va profiter de son expérience emmagasinée l'an dernier. Il connaît la F1, son environnement, les circuits et l'équipe. En plus avec le retour des pneus slicks cette année, cela devrait mieux convenir à son style de pilotage.»

«En mettre plus que l'an dernier»

Alors que la saison démarre dans quelques jours en Australie (le 29 mars), où Bourdais avait réussi son début de saison 2008 avec la septième place, le pilote a laissé cette intersaison chahutée derrière lui et s'est reconcentré sur l'année à venir. A commencer par les essais hivernaux, que Toro Rosso a disputé pour la majeure partie avec la monoplace 2008, la nouvelle STR4 n'ayant été présentée que le 9 mars. Comme l'an passé elle a été dessinée par Adrian Newey, et comme en 2008 elle disposera d'un moteur V8 Ferrari. La voiture sera équipée d'un KERS (Système de récupération d'énergie cynétique) mais fabriqué par Ferrari. «Il y a eu beaucoup de restrictions afin que le spectacle soit amélioré, a commenté le Français. C'est difficile d'anticiper le résultat de toutes ces mesures. Il faut juste être optimiste et espérer qu'il y aura effectivement plus de possibilités de dépassements et davantage de bagarre. Avec l'ancienne réglementation, il était très difficile de rester au contact des voitures qui étaient devant. J'espère que l'objectif numéro 1 de ces règles, pouvoir suivre la voiture qui vous précède, va se vérifier.»

Des changements, comme les pneus slicks, qui pourraient lui être bénéfiques et lui offrir de meilleures perspectives. Même s'il ne s'est pas fixé d'objectif comptable précis, Bourdais compte faire mieux que l'an dernier et ses quatre points : «Je vais essayer d'en mettre plus que l'an dernier. Maintenant reste à connaître le potentiel de la voiture pour savoir à quoi on peut prétendre. C'est clair que viser la victoire n'est pas réaliste. Même si ça peut arriver comme on l'a constaté l'an dernier avec la victoire de Sebastian Vettel à Monza. Tout reste possible car ça reste du sport. L'objectif sera de rentrer dans les points. On s'en tiendra à ça, tout simplement. Je connais l'ampleur de la tâche. Je sais à quel point c'est difficile et j'apprécierai à leur juste valeur les résultats qu'on espère tous.» Et puis, si jamais tout ne va pas pour le mieux avec Toro Rosso, Sébastien Bourdais aura également l'occasion de briller aux 24 Heures du Mans, qu'il disputera au volant d'une Peugeot 908, et dont il avait pris la deuxième place en 2007.
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