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Le paddock de la f1 !!!!


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Williams - Reculer pour mieux sauter

Faire une croix sur 2008 pour mieux préparer 2009. Après une saison terminée à bout de souffle, l'écurie anglaise (8e avec 26 points) a reporté tous ses espoirs sur le changement de règlement pour retrouver son lustre d'antan (9 titres constructeurs, le dernier en 1997). Les concluants essais réalisés par Kazuki Nakajima et Nico Rosberg (Photo Reuters) semblent donner raisons aux stratèges de Grove qui ont planché avant l'heure sur la FW31. Mais la firme de Frank Williams, qui vise un retour dans le peloton de tête, n'aura pas le droit à l'erreur et est déjà sous pression : le pilote Allemand pourrait partir en cas de mauvais résultats et la légalité de la monoplace est contestée.

Il faut parfois savoir reculer pour mieux sauter. Avec 17 points, Nico Rosberg (53 GP disputés, 2 podiums) est finalement le seul membre de l'équipe de Grove à s'être plaint des résultats de 2008 : et pour cause, Williams avait choisi de mettre toutes ses ressources sur la FW31 au détriment de la FW30. «C'était notre chance de remonter la pente en 2009, a justifié le directeur technique Sam Michael. Un choix dont la fin de saison 2008 a forcément souffert.» Si l'on se réfère aux chronos claqués pendant les essais, le sacrifice était justifié.

Des essais très satisfaisants

Après une prise en main délicate, Kazuki Nakajima (9e temps à Barcelone, jour 1) et Nico Rosberg (7e temps à Barcelone, jour 3) ont rapidement perçu les possibilités de la FW31. Dès le lendemain, le Japonais s'est fendu du deuxième chrono (à une demi seconde de Räikkönen mais une seconde devant Alonso et Kovalainen) tandis que Rosberg l'imitait parfaitement le 4e jour (2e meilleur temps derrière Barrichello, plus d'une seconde devant Hamilton). Confirmation des impressions, cette fois à Jerez : toujours classée derrière Brawn GP, la FW31 a relégué mardi le champion du monde à plus d'une seconde, puis Kovalainen à une demi-seconde ce jeudi ! En outre, la fiabilité semble au rendez-vous.

Rosberg : «Le changement de règles est fantastique pour nous»

«La remise à niveau des écuries» espérée par le directeur administratif Adam Parr en raison de la crise et de la baisse des coûts pourrait donc se matérialiser d'emblée en «gros points» pour Williams. Dans ce contexte économique, le nouveau règlement peut être doublement salutaire pour une écurie habituée à compter ses sous, à «penser juste» et dont le savoir-faire n'est plus à prouver. «Le changement de règles est fantastique pour nous. On part de zéro, d'une feuille blanche, avec nos propres idées (...) Il y a la possibilité et c'est une grande chance d'obtenir des résultats», a confié Nico Rosberg qui a foi en l'inventivité des cerveaux de Grove pour exploiter «les zones grises du règlement» pour «faire quelque chose de spécial».

L'originale FW31

Et question originalité, la FW31 se distingue de bien des manières : avec un système KERS mécanique tout d'abord (qui ne sera pas utilisé en Australie, Ndlr), très différent du KERS électrique des autres écuries, une boîte de vitesses dont le système de refroidissement a été modifié, et des diffuseurs arrières qui font crier au scandale la concurrence (Brawn GP et Toyota sont aussi accusés d'être en non-conformité). «Les autres n'avaient pas pensé à cette possible interprétation du règlement. Alors ils crient à la non-conformité de la voiture. Et en fin de compte que va-t-il se passer ? Ils vont tous copier ce que nous avons fait», a prédit Adam Parr. Reste à espérer que les ambitions se convertissent rapidement car Rosberg trépigne d'impatience : «Sinon, je verrai. Au plus tard en 2010, je veux être dans une super voiture. J'espère que ce sera chez Williams ce qui serait fantastique.» Dans le cas contraire, pas sûr que Williams sache gérer ce type de crise.
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Red Bull - Vettel va-t-il confirmer ?

Dans le sport de haut niveau, il est souvent plus facile de se révéler que de confirmer. Combien d'exemples de champions en devenir qui n'ont jamais réussi à concrétiser sur le long terme, à se faire une place au Panthéon de leur discipline? Sebastian Vettel a été la révélation de 2008, en marquant 35 points et en finissant huitième du Championnat. Passé de Toro Rosso à Red Bull, une écurie a priori plus compétitive, l'Allemand va devoir convaincre qu'il a le potentiel d'un champion du monde, ce que beaucoup voient en lui.

Le 14 septembre 2008, à Monza, un jeune pilote de 21 ans et deux mois entrait dans l'histoire de la F1 en devenant le plus jeune vainqueur d'un Grand Prix. Sebastian Vettel, leader de la course de bout en bout, entrait ainsi dans un cercle assez fermé et surtout faisait éclater au grand jour son talent jusqu'alors seulement entraperçu. Après cette victoire, son statut a changé, le regard des autres aussi, et au terme de sa première saison complète en F1, il est devenu une des figures de proue de la discipline.

«Ferrari et McLaren restent favoris»

C'est donc fort logiquement qu'il a été transféré chez la grande soeur de Toro Rosso, Red Bull, Dietrich Mateschitz, le propriétaire des deux écuries, refusant de le laisser aller voir ailleurs si l'herbe était plus verte. Un nouveau défi s'offre aujourd'hui à lui, et il n'a pas peur de le relever. «L'objectif est de gagner. Evidemment, ce ne serait pas correct de dire que je veux le Championnat du monde. J'en ai envie mais nous avons besoin de voir où nous allons et de nous étalonner avec les autres. Je crois que les nouvelles règles donnent une chance aux écuries comme la nôtre pour réduire le fossé avec les meilleures. Mais Ferrari et McLaren restent sans aucun doute les favoris. Red Bull Racing a beaucoup de potentiel et il nous revient, à nous tous membres de l'équipe, de le concrétiser sur la piste. Nous travaillons très dur et nous devrions être capables de marquer des points dès Melbourne et qui sait, peut-être de monter sur certains podiums.»

Le directeur de l'écurie, Christian Horner, n'en pense pas moins : «En 2008, nous avons bien débuté la saison puisque nous étions quatrièmes en arrivant à Silverstone. Mais la deuxième partie a été très décevante. Cette saison, notre nouveau duo de pilotes s'annonce très prometteur avec Mark (Webber) et Sebastian. Ils sont tous les deux très compétitifs et ont faim de victoires. Sebastian est à l'aube de sa carrière et a un bel avenir devant lui, et Mark a l'expérience, est capable de pousser son coéquipier vers les sommets. L'émulation entre les deux va les rendre encore plus fort.»

«Ce qu'il faut pour devenir champion du monde»

S'il confirme cette saison tout le bien qu'on pense de lui, il sera ensuite peut-être temps pour Vettel d'aller voir comment ça se passe au niveau supérieur. Chez Ferrari par exemple, qu'il rêve de rejoindre un jour, pour devenir champion du monde : «On ne peut devenir champion du monde qu'au volant d'une bonne voiture et Ferrari sait comment les construire. Ils seront toujours à l'avant des pelotons, car ils disposent de ressources d'un autre niveau que celles dont nous disposons chez Red Bull».

Quoi qu'il en soit, certains de ses glorieux aînés lui prédisent déjà un avenir doré. «Vettel a l'étoffe d'un champion. Il est encore très jeune, mais il est exceptionnellement rapide. Il a des performances de vieux loup. Il deviendra certainement champion du monde dans les années à venir», a ainsi estimé l'ancien champion du monde finlandais Mika Hakkinen. «Je prends du plaisir à le regarder piloter. Il a sa propre personnalité et du talent, il a besoin de les développer et les résultats viendront. Il a ce qu'il faut pour devenir champion du monde un jour, il l'a prouvé cette année (en 2008)», résume pour sa part Michael Schumacher. Un septuple vainqueur du titre mondial auquel certains comparent déjà Vettel. Le chemin est encore long pour le rejoindre, mais le jeune Allemand a clairement pris la bonne direction.
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La FOTA engage un bras de fer avec la FIA

Lorsque le Conseil Mondial a avalisé la proposition de la FIA de décerner le titre mondial 2009 au pilote qui aura remporté le plus de victoire et non à celui qui aura marqué le plus de points, la FOTA a immédiatement marqué son désaccord.

Aujourd'hui, l'association des équipes de F1 va plus loin et déclare que cette décision est tout simplement illégale. "A la suite de la décision du Conseil Mondial de modifier le mode d'attribution du titre mondial des pilotes, les équipes se sont réunies et ont unanimement convenu de poser la question de la validité de cette décision," déclare la FOTA dans un communiqué de presse.

"La modification du règlement sportif proposé par le Conseil Mondial du sport automobile n'a pas été effectuée conformément à la procédure prévue par l'annexe 5 du règlement sportif, selon les dispositions de l'article 199 du Code Sportif International de la FIA. Il est trop tard pour la FIA d'imposer un changement pour la saison 2009 qui n'a pas obtenu l'accord unanime de tous les concurrents inscrits au Championnat 2009 de Formule 1," poursuit la FOTA.

La FOTA ajoute qu'elle veut bien modifier le système de distribution des points, comme elle l'a déjà proposé au Conseil mondial et à la FIA, mais cela ne peut être fait que pour la saison 2010. "Les équipes souhaitent réaffirmer leur volonté de collaborer avec la FIA en vue de définir en commun un nouveau système de points pour la saison 2010 au sein d'un ensemble complet de mesures visant à stimuler davantage l'attractivité de la F1."

Ce bras de fer s'engage alors que les premiers essais libres du Grand Prix d'Australie auront lieu vendredi prochain. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises...

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La FIA prête à faire marche arrière sur le nouveau système d'attribution du titre


La FIA a fait savoir aujourd'hui qu'elle était prête à repousser à 2010, la mise en place de son nouveau système d'attribution du titre mondial au pilote ayant remporté le plus de victoires sur la saison.

Un peu plus tôt dans la journée, la FOTA (association des équipes de F1) avait estimé dans un communiqué de presse que cette décision de la FIA était illégale puisqu'elle contrevenait à différents articles du règlement sportif ou du Code Sportif International.

Dans son communiqué de ce soir, la FIA précise "Si pour une raison quelconque, les équipes de F1 n'étaient pas favorables à ce nouveau système, il sera mis en application à partir de la saison 2010.
"


La FOTA ayant déjà exprimé sa vive désapprobation, on peut d'ores et déjà vous dire que le champion 2009 sera le pilote qui aura marqué le plus de points durant la saison, comme c'est le cas depuis 1950, date de la création du Championnat du monde de F1.
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Le nouveau système d'attribution du titre retardé

Le nouveau système d'attribution du titre mondial des pilotes sera instauré en 2010, a affirmé Bernie Ecclestone, le grand argentier de la Formule 1, dans une interview accordée dimanche à la BBC Radio 5 live.

"Ce système sera introduit l'an prochain", a déclaré Bernie Ecclestone, reconnaissant ainsi implicitement que la réforme voulue par la Fédération internationale de l'automobile (FIA), mais contestée par l'Association des écuries de formule 1 (Fota), n'entrerait pas en vigueur dès cette saison.

Vendredi, la FIA avait affirmé dans un communiqué que "si, pour une quelconque raison, les écuries de F1 ne sont pas d'accord avec le nouveau système, sa mise en application sera différée à 2010". Depuis, la FIA n'a fait aucune déclaration officielle.

Le Conseil mondial de l'automobile, une entité de la FIA, avait décidé mardi d'attribuer le titre de champion du monde de Formule 1 au vainqueur du plus grand nombre de courses dès 2009 et non plus à celui totalisant le plus grand nombre de points.

Bernie Ecclestone, qui estimait avoir l'accord des écuries, est à l'origine de cette proposition dite du "meilleur remporte tout".

"Ce projet sera soutenu par la FIA, inscrit dans le règlement et mis en place l'an prochain", a déclaré dimanche Ecclestone. "Pour modifier le règlement lorsque les inscriptions sont closes, vous avez besoin de l'accord unanime de tous les participants.
Il apparaît que certaines équipes n'appréciaient pas cette idée"
, a-t-il ajouté.

Bernie Ecclestone a également fait part de sa déception, estimant que la mise en place du nouveau système dès cette saison aurait rendue la F1 plus spectaculaire: "C'est logique. Quand vous regardez un 100 m en athlétisme, vous ne regardez pas le deuxième, mais le vainqueur. L'idée est que les pilotes se battent pour gagner lors de chaque Grand Prix et ne se contentent pas d'être deuxième ou troisième pour marquer des points... Ainsi, l'an dernier, Lewis Hamilton a pris la deuxième place dans quelques courses qu'il aurait pu remporter".

Outre celle de la FOTA, la décision du conseil mondial de la FIA avait toutefois suscité l'opposition des pilotes. "Je n'aime vraiment pas cette décision", avait notamment affirmé Hamilton, qui, avec les nouvelles règles, aurait perdu le titre 2008 au profit de son principal rival, le Brésilien Felipe Massa (6 victoires contre 5 pour le Britannique).

La FIA devra maintenant rapidement officialiser l'abandon de cette réforme: le premier Grand Prix de la saison a lieu dès dimanche à Melbourne (Australie).

D'après AFP
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Toyota - Vasselon : «Encore plus de motivation»

Alors que plusieurs constructeurs japonais ont choisi d'arrêter leur engagement dans le sport automobile, Toyota a décidé de rester en F1, même si le couperet n'est pas passé loin. A quelques jours du début de la saison, Pascal Vasselon, directeur technique châssis, évoque les performances enregistrées durant les essais hivernaux, et revient sur les nombreuses modifications qui vont toucher les monoplaces 2009. Il explique aussi que l'écurie japonaise n'a pas de pression particulière, même si elle n'a toujours pas remporté le moindre Grand Prix en sept saisons.

«Pascal Vasselon, quel bilan tirez-vous des essais hivernaux, où Toyota s'est assez souvent montré à son avantage ?
Nous sommes satisfaits, tout s'est globalement bien passé. La voiture s'est notamment montrée très fiable. Ainsi nous avons pu réaliser avec une monoplace presque autant de kilomètres (13.000 environ) que l'année dernière avec deux. Concernant les performances intrinsèques de la voiture, nous ne sommes pas inquiets. Nous avons en effet parfois été parmi les meilleurs temps mais ce n'était pas notre priorité de faire parler de nous. Il faudra attendre l'analyse technique de nos résultats en course pour se faire une idée précise. Nous ferons donc un bilan après trois courses, et pas simplement après Melbourne, qui est un circuit très particulier. On peut y être brillant et s'écrouler ensuite.

Vous avez prévu de ne pas utiliser le KERS avant la mi-saison. pourquoi ?
Cette décision a été prise suite à une évaluation des bénéfices du système et de son évolution dans le temps. Nos conclusions sont qu'en début de saison, nous ne pouvons pas attendre du KERS un gain net de performance. Certes, sur un tour, il apporte une récupération de l'énergie et un boost de quelques secondes. Mais il faut prendre également en considération ses implications sur le freinage et l'équilibre de la voiture, et dans ce cas-là, on va plus vite sans qu'avec. Nous avons développé le système, nous avons d'ailleurs été les premiers à le tester, il fonctionne, nous sommes prêts à l'installer mais nous pourrions très bien faire toute
l'année sans si nous pensons que c'est mieux.


«Il reste encore beaucoup de choses à faire»

Pensez-vous que la monoplace pourrait évoluer en cours d'année alors que les essais privés ont été supprimés ?
Certes, les restrictions budgétaires vont ralentir les évolutions mais il y en aura toujours et nous allons développer la voiture tout au long de la saison. La fin des essais privés aura une incidence sur les évolutions lourdes, concernant le chassis et la suspension, car il faut aligner les kilomètres pour les valider. Mais tout ce qui concerne l'aérodynamique ne sera pas ralenti, même si les tests vont diminuer. Et comme c'est le facteur de performance principal, les F1 vont forcément progresser en cours de saison.

Ces restrictions concernant le développement vous frustrent-elles ?
La F1 se restreint et c'est normal, mais il reste encore beaucoup de choses à faire. Et nous ne sommes pas frustrés, la discipline reste un terrain de jeu pour les ingénieurs. Cela n'a pas dénaturé l'essence de la F1.

Les nouveaux ailerons avant sont plus larges qu'avant (1m80 contre 1m40). Craignez-vous des accidents lors des dépassements ?
Nous avons prévu de construire plus d'ailerons que les saisons précédentes (rires). Le problème va certainement se poser lors du départ et du premier virage, lorsque les voitures arrivent en paquet. L'aileron étant en effet plus large, il est plus exposé et le risque d'erreur des pilotes est plus fort. Mais pour les dépassements c'est moins évident, car la largeur globale de la monoplace n'a pas évolué.

«La F1 peut être inquiète, pas seulement Toyota»

Votre duo de pilotes (Timo Glock - Jarno Trulli) semble très complémentaire. Pouvez-vous nous parler d'eux ?
En effet, ils vont bien ensemble. Jarno, c'est la référence. Lorsqu'il signe un temps en qualifications, nous savons que c'est le temps que nous devons faire. Il a beaucoup d'expérience et il est surtout très fort en mise en point. Timo, c'est la jeunesse, la fougue, il a un angle de vue différent. Son point fort est notamment son adaptabilité en cas de changement de conditions, de piste ou climatiques.

Le contexte économique est morose, plusieurs constructeurs japonais se sont retirés, en F1 (Honda), WRC (Subaru et Suzuki) ou rallye-raid (Mitsubishi). Comment se positionne Toyota? Etes-vous inquiet pour l'avenir ?
La F1 peut être inquiète, pas seulement Toyota. Toutes les équipes se posent beaucoup de questions. Mais justement, pour nous, il est important d'être le seul constructeur japonais qui poursuit son aventure, ça nous donne encore plus de motivation. Maintenant il faut continuer à trouver des voies d'évolutions réglementaires pour que la F1 reste viable tout en assurant toujours le spectacle.

Ressentez-vous une pression particulière alors que depuis son arrivée en F1, en 2002, Toyota n'a toujours pas remporté de Grand-Prix ?
La pression existe toujours, pour toutes les équipes, quels que soient leurs objectifs. Mais cette pression ne doit pas être négative, elle doit au contraire être une source de motivation. Nous sommes déterminés à délivrer de très bons résultats cette saison et nous ferons tout pour y arriver.»
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Renault - Alonso peut-il suffire ?

Gare au syndrome de Sisyphe. Sur la lancée d'une fin de saison tonitruante (49 points lors des 6 derniers GP), la firme au losange veut croire à un retour durable au sommet. Mais la confirmation ne souffrira aucun tour de chauffe pour le duo le plus hétérogène du plateau : annoncé comme déjà marié à Ferrari pour 2011 voire 2010, Fernando Alonso n'envisagera de rester que s'il se bat pour le titre dès cette année et Nelson Piquet Jr est sous le coup d'une éjection à la mi-saison s'il ne se transcende pas.

Après deux ans de disette, Renault semble enfin avoir les cartes en mains pour se placer d'entrée dans le peloton de tête. Les raisons d'y croire ? Un Fernando Alonso plus motivé que jamais qui estime qu'il a «sept chances sur dix» d'être champion en 2009 avec les nouvelles règles censées plus d'importance au pilote (Renault est aussi la seule écurie qui utilisera à coup sûr le KERS dès le GP de Melbourne, Ndlr), un moteur V8 réactualisé et des essais plus encourageants que ceux de l'an passé. Auparavant, le passage raté des pneus Michelin à Bridgestone ou le gel des moteurs avaient plombé les ambitions de l'écurie franco-britannique. Cette fois, la R29 semble moins en retard sur la concurrence.

Essais : entre catastrophisme exagéré et optimisme disproportionné

«Cette année le point de départ est meilleur, souligne la «perle» d'Oviedo. Nous ne sommes pas si loin, à une seconde et demi des meilleurs (comme au début 2008), mais à 7 dixièmes, très près. Et si nous évoluons aussi bien que l'année dernière, on aura plus d'espoir.» Et pourtant tout commence mal lors des essais de Jerez, où la R29 est à la traîne, puis avec l'annulation des essais de Barcelone, en février, qui suggère un retard dans le développement. Mais en mars, l'euphorie succède à l'inquiétude après deux sessions satisfaisantes et surtout une superbe dernière journée à Jerez qui a vu Fernando Alonso dominé la séance et la Brawn GP (pour 5 dixièmes), véritable épouvantail des essais hivernaux.

Le duo le plus hétérogène du plateau

«La voiture, on l'a !» s'enthousiasme alors Flavio Briatore. «Nous avons fait un bon travail cet hiver, renchérit le pilote espagnol. La voiture est facile à conduire et performante.» C'est vrai dans les mains du champion du monde 2005 et 2006, beaucoup moins dans celles du Brésilien Nelson Piquet Jr. Entre un pilote vorace au palmarès fourni, dont les talents d'attaquant et de metteur au point sont unanimement reconnus, et le fils d'un ancien champion du monde qui cristallise la critique, qui a accumulé les contre-performances en 2008 et réalisé des essais moyens cet hiver, le tandem est le plus déséquilibré du paddock. Et c'est pourtant sur cette association que Renault mise pour tout rafler. Ou perdre beaucoup.

Piquet n'a pas droit à l'erreur

«Je m'attends à ce qu'il fasse mieux. Il a le talent, nous lui donnons une seconde chance», a reconnu le directeur général italien à propos du Brésilien, reconduit pour un an avec en option que Renault puisse briser unilatéralement le contrat, qui précise dans le magazine Global : «Nelson a énormément appris et gagné en maturité.» Avec seulement 19 points dans son escarcelle en 2008, le pilote de 23 ans sait qu'il doit faire mieux que ses coups d'éclats de fin de saison ou son podium en Allemagne : «J'attends pas mal de choses, a-t-il confié au magazine Auto-Hebdo. Que la R29 soit plus facile à mener que la R28. A chaque fois que je la provoquais ça se terminait mal (...) Si je pouvais commencer aussi près de Fernando que j'ai terminé en 2008 ce serait très bien (...) C'est la deuxième saison, je connais les circuits, j'ai plus d'expérience, j'éviterais certaines bêtises dont j'aurai pu me passer (...) Ce sera une saison plus facile pour moi.» Espérons-le. Le 12e pilote 2008 est sur une pente glissante et en cas de défaillance, il pourrait ruiner les espoirs de son écurie : changer de pilote à mi-saison s'avère rarement productif.
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euh pour son système a la con du nombre de victoire c'est comme si en foot on faisait au nombre de match gagné, en gros du n'importe quoi mais c'est ecclestone donc forcément c'est pourris, ce mec est la pire pourriture que j'ai jamais vu, c'est hallucinant tellement il pense qu'au fric et a sa gueule (et a son pays : l'angleterre)
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tupac-al_pacino29 a écrit:
euh pour son système a la con du nombre de victoire c'est comme si en foot on faisait au nombre de match gagné, en gros du n'importe quoi mais c'est ecclestone donc forcément c'est pourris, ce mec est la pire pourriture que j'ai jamais vu, c'est hallucinant tellement il pense qu'au fric et a sa gueule (et a son pays : l'angleterre)


Bernie est un mec avide de pognon, oui, c'est certain. mais il ne faut malgré tout pas oublier que si la F1 est un tel business et rapporte tellement de pognon à tous ses acteurs, c'est à Ecclestone qu'elle le doit!!
dennis, williams, briatore, jordan, et cie, sont devenus milliardaires grace au développement de la F1 sous l'égide d'eccelstone! et je ne parle même pas du salaire des pilotes!
maintenant, au foot, c'est bien l'équipe qui gagne le plus de matches qui est championne, puisque la victoire est favorisée par rapport au match nul! la f1 est devenu un championnat d'épicier, où on préfère assurer qques points plutôt que de prendre le risque de doubler, et de se planter. que l'on revienne à l'ancien barème avec une victoire vraiment favorisée au niveau points, comme ce fut le cas pendant des décennies!
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BMW - Prêt pour jouer le titre

La rigueur est toute... germanique. Ainsi BMW, lors du rachat de Sauber et par la voix de Mario Theissen, directeur de BMW Motorsport (Photo L'Équipe), avait clairement défini ses objectifs : marquer des points la première année (2006), monter sur le podium en 2007 (ce qui fût fait), gagner en 2008 - succès de Kubica à Montréal (2008) - et venir se battre pour le tire mondial en 2009. Autant dire que la saison qui commence dans quelques jours à Melbourne revêt une importance toute particulière pour l'écurie allemande.

L'an passé, longtemps, Robert Kubica a cru pouvoir venir jouer les trublions dans la course au titre. Sa monoplace, fiable et constante en performances lui a d'ailleurs permis de s'imposer au Canada et de signer avec Nick Heidfeld onze podiums avec, excusez du peu, sept deuxième places. BMW a terminé à la troisième place du championnat Constructeurs, confirmant ainsi ses ambitions. Pourtant la fin de saison a été nettement moins prolifique pour l'écurie germanique. Au sortir de l'été, Mario Theissen et la direction technique avait fait le choix de ne plus développer la monoplace (version 2008) pour concentrer les efforts de l'usine d'Inwill sur la saison 2009 et les nouveaux règlements techniques, imposés par la FIA. Kubica en avait pris ombrage et il semble qu'il y ait désormais une petite « distance » entre le pilote polonais et le staff BMW.

Un hiver très studieux

Comme toujours, BMW n'a pas perdu de temps en décembre puis en début d'année 2009, pour reprendre la piste, histoire de valider de nouvelles pièces et surtout de travailler très vite la fiabilité de la F1.09 qui, comme les autres voitures, a été profondément redessinée : réglementation oblige. Nick Heidfeld et Robert Kubica ont donc multiplié les séances d'essais. Bilan : plus de 9000 kilomètres parcourus et des chronos de bon aloi, lors des derniers tests de Barcelone. « Les choses se présentent bien, concède Mario Theissen, le patron de l'écurie. Les commentaires des pilotes et des ingénieurs sont très positifs. Nous allons dans la bonne direction avec la F1.09. » Très au fait des nouvelles technologies, BMW a développé très vite le KERS (système de récupération d'énergie cinétique) et devrait l'utiliser dès l'ouverture de la saison à Melbourne.

Une équipe homogène

Avec Robert Kubica et Nick Heidfeld, l'écurie allemande est pourvue en talent et en expérience. Vainqueur au Canada, Robert Kubica a pris un ascendant psychologique évident sur Nick Heidfeld. Rapide, insensible à la pression, le pilote polonais est sans doute l'un des hommes les plus forts du paddock. Par trop d'impatience en fin de saison dernière, parce qu'il voulait jouer le titre pilote jusqu'au bout, Robert s'est un peu « froissé » avec l'équipe technique, voyant par ailleurs le soutien absolu de son écurie pour Nick Heidfeld. Il faut dire que le petit allemand talonné puis régulièrement « dépassé » par son équipier a semblé un ton en dessous en 2008. Heidfeld rapide et fiable ne devra pas faillir, en 2009. A son actif pourtant, l'an passé, les dépassements les plus audacieux du peloton (Malaisie, Silverstone ou Spa). Enfin l'équipe dispose d'un pilote essayeur, ayant déjà couru en F1 : l'Autrichien Christian Klien.

Jouer le titre

L'objectif est clairement affiché : BMW joue dans la coure des grands et veut se battre pour le titre mondial. Le constructeur allemand soutien son département F1 qui dispose donc de gros moyens. Dirigé par un homme extrêmement compétent en matière de sport automobile et de technique, BMW faire confiance à Mario Theissen de plus en plus influent aussi dans les groupes de travail de la FOTA. BMW est prêt, comme prévu. « Nous voulons nous battre pour le titre mondial, assure Mario Theissen. Nous savons avec certitude que vous pouvez prévoir votre niveau de performance, mais pas vos résultats. »
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au foot ça dépend pas du nombre de victoire c'est au nombre de point ! et pis c'est a cause de lui que pour aller voir une course de f1 ou tu ne vois rien tellement ça va vite bin c'est cher et pis ne parlons pas des licences !! je détesterais toujours ce mec jusqu'au bout et sur ce point la je suis catégorique rien ne me fera changer d'avis !!!
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j'en serai bien incapable compte tenu des gros changement dans la donne technique...je pense ferrari, et bmw chez les gros, on l'air pas mal. mc laren semble en retrait, mais ne pense pas à un gros boulversement dans les classement.

tupac-al_pacino29 a écrit:
au foot ça dépend pas du nombre de victoire c'est au nombre de point ! et pis c'est a cause de lui que pour aller voir une course de f1 ou tu ne vois rien tellement ça va vite bin c'est cher et pis ne parlons pas des licences !! je détesterais toujours ce mec jusqu'au bout et sur ce point la je suis catégorique rien ne me fera changer d'avis !!!


dis moi crème d'asperges! au foot, l'équipe qui gagne le titre ce n'est pas celle qui s'est battue pour remporter le plus de matches? ou celle qui préfèrera assurer les points du match nul??
le prix des licences, je me marre.... c'est tellement triste pour tous les multimillionnaires d'avoir de tels montants pour leur licences.... surtout que dans 9 écuries sur 10, le paiement des licences est contractuellement versé par les écuries! ça leur coute quedale!
le prix des places.... si des gens sont assez fellés pour aller voir un gp durant tout un we, et payer le prix demandé, pourquoi le baisserait'il puisque malgré tout, les circuits sont remplis!? me dérangerait pas moi de lâcher 400€ pour me faire un bon gros we sur les 24h du mans! c'est pas plus une arnaque que de payer 130€ pour aller à un concert genre les stones, U2, madonna et cie!
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McLaren - Avec des doutes...

McLaren-Mercedes repart au combat, avec le numéro 1 sur la monoplace de Lewis Hamilton. Le jeune pilote anglais remet donc son titre en jeu, dimanche à Melbourne. Mais où sera la McLaren sur la grille de départ. Difficile de le savoir précisément. Les chronos, établis face à la concurrence lors des essais hivernaux, n'ont pas été très convaincants lorsqu'on les compare à ceux de cette même concurrence. Hamilton s'est rassuré à Jerez il y a quelques jours, pourtant Mc Laren se cherche un peu. Ron Dennis est parti. Une page se tourne. Martin Whitmarsh prend l'écurie en main. Mais avec Hamilton et Mercedes pour « moteurs », l'écurie reste puissante.

Hiver laborieux

Comme tout le monde, les concepteurs de la McLaren MP4-24 ont planché dur pour poser sur la piste, une monoplace totalement nouvelle selon les exigences du nouveau règlement. Jonathan Neal, Team Manager et Paddy Lowe, directeur de l'ingénierie châssis, ont rapidement mis la voiture, sur la piste. Présentée mi-janvier, la Flèche d'Argent version 2009, n'a pas toujours eu le comportement espéré. Les pilotes ont montré des difficultés à maîtriser la bête. Parfois revêche. En Andalousie pourtant, lors de l'ultime séance de Jerez avec un aileron arrière modifié et un fond plat étagé la MP4 24 a montré de nets progrès sur le plan des performances. Hamilton et Kovalainen se sont envolés pour Melbourne avec le sourire.

Hamilton reste sous pression

Des pilotes qui ont cet hiver, un peu moins roulé que leurs adversaires : un peu plus de 3000 km chacun quand Rosberg en couvrait 4700 Massa et Alonso étant les plus assidus avec plus de 4800km. Mais le duo maison est solide. Hamilton est champion en titre, virtuose parfois fragile sous la pression, il a forcément gagné en expérience. On peut compter sur lui pour animer les Grands Prix. Le gaillard reste ambitieux, la défense du tire l'impose. La position d'Heikki Kovalainen est moins enviable. Le Finlandais est rapide, il a signé trois podiums l'an passé dont un succès, son premier, en Hongrie. Il doit cependant se contenter d'évoluer dans l'ombre de Lewis Hamilton, le fils de la maison. Pas si simple à gérer. A lui de se hisser au niveau du champion du monde. Il a été très à l'aise a Jerez avec la monoplace modifiée. Meilleur chrono le dernier jour.

Ron Dennis prend du recul

Martin Whitmarsh est donc le nouveau boss de l'écurie McLaren-Mercedes. Le passation de pouvoir était préparée et organisée. Ron Dennis est officiellement président de McLaren Group. C'est dire s'il reste totalement concerné et impliqué. L'écurie de formule 1 est la pierre angulaire de McLaren Group. Mais les « tracas » de 2007 - accusation d'espionnage et amende de 100 millions d'Euros - ont forcément fait réfléchir le patron d'écurie et chiffonné son esprit. Reste qu'il épaulera forcément son successeur, cette saison encore. Et vu le bazar qui règne encore sur l'avenir et les règlements futurs de la discipline, l'expérience, le flegme et le caractère trempé de Ron Dennis vont s'avérer utiles et déterminants dans les prochains mois. Mais sur la piste... des doutes subsistent, jusqu'au weed-end prochain.
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Brawn en difficulté financière ?

Avant même d'avoir finalisé le rachat de l'équipe Honda, Ross Brawn avait reçu l'autorisation de la FIA de changer le nom de l'équipe. Ce qui fut fait dès l'annonce du changement de propriétaire.

Etant donné que son équipe n'est rien d'autre que l'équipe Honda rebaptisée, Ross Brawn espérait recevoir l'argent dû au constructeur japonais par la FOM de Bernie Ecclestone...

Il semble toutefois que Bernie Ecclestone ne l'entend pas de cette oreille. La FIA a en effet inscrit l'équipe Brawn en tant que nouvelle équipe. "Le contrat que l'équipe avait avec la FIA était au nom de Honda et ce constructeur n'est plus en mesure d'assurer la poursuite de cet accord," déclare la FIA.

Pour la FIA, Brawn est donc une nouvelle équipe et c'est pour cette raison que Jenson Button et Rubens Barrichello recevront respectivement les numéros 20 et 21, les derniers sur la liste des inscriptions au Championnat du monde de F1.

Pour Bernie Ecclestone, cette décision est du pain béni puisqu'il n'est plus obligé de verser les 22 millions d'euros de droits télévisés qu'il devait à Honda. Ces 22 millions vont cruellement manquer à Brawn GP qui n'a toujours pas le moindre partenaire commercial.

"Ils auraient dû prendre ce que je leur avais proposé - déclare Bernie Ecclestone qui fait allusion à sa proposition de rachat de l'équipe - C'était une très belle offre pour toutes les personnes concernées. Je leur assurais une protection complète, mais ils ont voulu faire les choses à leur manière. Maintenant, il ne nous reste plus qu'à espérer et à prier."
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euh d'accord mais a la fin de la saison celui qui est champion au foot n'est pas forcément celui qui a le plus de victoire a son palmarès !!! et pis il n'y a pas que en f1 que les licence son chères !! rien que pour les particulier qui veulent faire un peu de compet dans l'année doivent racler pour casi pas grand chose....si t'as 400 euro a mettre pour aller voir des proto diesel, bin tu dois avoir que ça a foutre de ton fric, moi je le placerais autre part....
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ça s'appelle être passionné! moi le sport auto, l'enduranceet la photo, , c'est mes passions! je vais pas souvent sur les circuits, donc quand je peux, autant me faire plaisir! j'ai bien mis 1000€ dans un appareil photo il y a 3 ans!
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Ferrari - Un fauteuil pour deux

Cette année encore, Ferrari sera quasiment la seule écurie du plateau à présenter un duo de pilotes de talent égal : Felipe Massa et Kimi Räikkönen. Entre un Brésilien qui a manqué le titre 2008 pour un petit point, et un Finlandais qui est passé à côté de sa saison, le duel risque d'être serré, d'autant plus que la couronne mondiale pourrait se jouer entre eux.

Il est déjà loin le temps où la Scuderia possédait un seul leader en la personne de Michael Schumacher, auquel les dirigeants de l'écurie adjoignaient un coéquipier qui ne pouvait l'inquiéter pour la conquête du titre pilotes. Depuis 2007 et l'arrivée de Kimi Räikkönen aux côtés de Felipe Massa, les deux coéquipiers sont placés sur la même ligne de départ, et aucun n'est (officiellement) favorisé. Ils peuvent donc s'en donner à coeur joie sur la piste. Ainsi, pour sa première saison dans l'écurie italienne, le Finlandais avait été sacré pour la première fois de sa carrière (110 points contre 94). Et en 2008, c'est le Brésilien qui avait dominé son coéquipier (97 points contre 75), échouant à un point derrière Lewis Hamilton (McLaren).

Quel sera le scénario pour la saison à venir ? A priori, les deux hommes sont aussi motivés l'un que l'autre, Massa à cause de l'issue pour le moins cruelle de sa saison, avec cet incroyable dénouement au Brésil ; Räikkönen car il a une revanche à prendre après une année marquée par de nombreux incidents de course, certains dont il était responsable, d'autres dûs à la malchance ou la maladresse de ses adversaires. Ainsi, lors de la reprise, début janvier, Stefano Domenicali, le team manager de l'écurie, avait donné son avis sur ses deux pilotes : «J'ai rencontré un Felipe Massa frais et motivé. Il a beaucoup mûri la saison dernière. Son point fort est qu'il a toujours cru en lui-même. Je pense qu'il est mentalement prêt et assez mâture pour gérer la pression, de l'intérieur et de l'extérieur.» «Kimi Räikkönen est impatient de remonter dans la voiture. Il veut montrer qu'il est à nouveau lui-même, après la plaisanterie de Montezemolo (le patron de Ferrari, ndlr), qui disait que son frère jumeau pilotait l'an dernier. Kimi a et a toujours eu une faculté énorme : savoir prendre du recul. Cela lui permet de ne sentir aucune pression de l'extérieur.»

«Je n'ai qu'une philosophie, c'est de gagner»

Chez les pilotes aussi, la motivation est palpable, mais énoncée de manière plus affirmée par le Brésilien. «C'est très simple, je n'ai qu'une philosophie, c'est de gagner, des courses et le Championnat, annonce Massa. Je me sens prêt à me battre, je me sens fort. Bien sûr je dois voir ce que font les autres pilotes pour me comparer à eux selon les conditions de course, mais j'y crois.» «La saison dernière ne s'est pas vraiment déroulée comme je l'espérais, mais c'est du passé aujourd'hui et j'attaque la nouvelle année avec beaucoup d'espoirs, réplique Räikkönen. Il est difficile de dire ce qu'on peut en attendre. Bien sûr avec les changements de réglements, la conduite va changer également et cela pourrait être dangereux sous la pluie. J'ai hâte de reprendre la compétition.» Si le Finlandais pourrait être désavantagé à cause de son poids supérieur, qui pourrait lui faire perdre quelques centièmes à cause du KERS (Système de Récupération de l'Energie Cinétique), il aura peut-être moins de pression que la saison dernière car il n'a plus de titre mondial à défendre.

Mais quoi qu'il en soit, le boss de Ferrari ne craint pas que la situation se dégrade entre les deux hommes, comme ce fut le cas chez McLaren en 2007 entre Fernando Alonso et Lewis Hamilton : «L'an dernier, nous n'avons pas perdu le moindre point à cause d'une mauvaise gestion de nos pilotes : l'équipe travaille pour les deux pilotes et si nous pouvons leur donner une bonne voiture, ce que nous espérons, nous n'aurons pas la moindre pression psychologique en interne.»

Et au-delà de la compétition interne, Domenicali n'oublie pas qu'il y aura également d'autres pilotes sur la piste, et qu'il faudra aussi se montrer meilleurs qu'eux pour espérer aller chercher le titre : «Il sera indispensable d'être compétitif dès le début de la saison et de travailler particulièrement sur la fiabilité. La compétition s'annonce très serrée : nos principaux adversaires seront certainement McLaren et BMW, mais aussi Renault.» «Nous ne nous sentons pas comme les favoris, confirme Massa. Nous sentons que nous sommes en forme, que nous sommes capables d'être compétitifs. Je ne suis pas le genre de personne à dire que nous sommes les meilleurs. Nous ne le sommes pas, nous travaillons juste pour gagner des courses et le Championnat.» Un leitmotiv qui revient cependant souvent dans la bouche du Brésilien.
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Brawn GP annonce ses premiers sponsors

Les monoplaces de Jenson Button et de Rubens Barrichello ne seront pas vierges de sponsors en Australie puisque l'équipe Brawn annonce ce matin qu'elle a signé son premier partenariat commercial avec la société Henri Lloyd.

Henri Lloyd est une société britannique qui fabrique des vêtements pour les sports nautiques et pour la vie de tous les jours. Cette société fournira bien sûr les vêtements de travail nécessaires aux membres de l'équipe Brawn GP.

Les logos de cette société apparaîtront sur les vêtements des membres de l'équipe, mais aussi sur la carrosserie des monoplaces de Button et Barrichello.

Il reste maintenant à Brawn GP à trouver d'autres partenaires afin de boucler son budget 2009, ce qui ne devrait pas être trop difficile à faire, surtout si les Brawn se montrent aussi compétitives en Australie que lors des dernières séances d'essais privés en Espagne.

Et après avoir annoncé son premier partenariat commercial ce matin, Brawn serait sur le point de dévoiler un autre accord de commandite avec Virgin, la société du milliardaire britannique Richard Branson.

C'est du moins ce que révèle aujourd'hui le journal britannique The Times qui ajoute que Richard Branson est actuellement en route pour Melbourne où se disputera ce week-end le Grand Prix d'Australie.

Toujours d'après le Times, Virgin deviendrait un sponsor majeur de l'équipe de Ross Brawn, mais peut-être pas le principal de l'équipe qui serait donc encore à la recherche d'autres partenaires.

Bernie Ecclestone confirme pour sa part qu'un accord a bien été trouvé entre Brawn GP et Virgin, mais que certains détails financiers doivent encore être réglés avant que ce partenariat soit officialisé.
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ben tu va pouvoir te marrer kiki!!

Je pense que dans le siège de Honda au Japon ils doivent être en train d'essayer de se suicider....

En tout cas, cette histoire de diffuseurs (si c'est vrai) effectivement peut donner un avantage... quelque soit l'issue de la course, y'a des patrons qui vont gronder a la FIA en tout cas!!
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ces diffuseurs ont été à de multiples fois controlé par le commissaires et ils ont tjrs dit qu'ils étaient légaux. mais comme d'hab en f1, dès que qqu'un trouve une faille dans un règlement, les autres portent plainte pour tricherie; parce qu'eux n'ont pas vu cette faille.
en tout cas voilà la grille :

1 Jenson Button Brawn-Mercedes
2 Rubens Barrichello Brawn-Mercedes
3 Sebastian Vettel RBR-Renault
4 Robert Kubica BMW Sauber
5 Nico Rosberg Williams-Toyota
6 Felipe Massa Ferrari
7 Kimi Räikkönen Ferrari
8 Mark Webber RBR-Renault
9 Nick Heidfeld BMW Sauber
10 Fernando Alonso Renault
11 Kazuki Nakajima Williams-Toyota
12 Heikki Kovalainen McLaren-Mercedes
13 Sebastien Buemi STR-Ferrari
14 Nelsinho Piquet Renault
15 Giancarlo Fisichella Force India-Mercedes
16 Adrian Sutil Force India-Mercedes
17 Sebastien Bourdais STR-Ferrari
18 Lewis Hamilton McLaren-Mercedes*
19 Timo Glock Toyota*
20 Jarno Trulli Toyota*

les écuries "avec le duffisueur", Brawn, willima et toyota.
* : voir articles suivants
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L’équipe Toyota déclassée !

Les commissaires sportifs de la FIA ont sanctionné l’équipe Toyota et ses deux pilotes après les vérifications techniques – au terme de la séance qualificative – où il s’est avéré que les deux TF109 disposaient, sur l’aileron arrière, d’éléments flexibles.

Une infraction à l’article 3.15 du règlement technique 2009 du championnat du monde de F1.

L’article 3.15 du règlement technique précise que : « l’aileron arrière ne doit pas avoir un degré de liberté et rester immobile par rapport à la partie suspendue de la voiture à tout moment. »

D’après le communiqué de la FIA : « Les commissaires ont reçu un rapport du délégué technique selon lequel la partie supérieure de l'aileron arrière, des éléments des voitures n°9 et n°10, présentaient une extrême souplesse, en violation de l'article 3.15 du règlement technique.
Les commissaires ont entendu les explications d'un représentant de l’équipe Toyota et ont examiné les voitures en question. Les commissaires valident l'avis du délégué technique et ont ainsi décidé d’exclure les voitures incriminées de la séance de qualification. »

Timo Glock – 6ème – et Jarno Trulli – 8ème – se voient ainsi renvoyés en fond de grille.
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Hamilton change de boîte de vitesses… et partira dernier à Melbourne !

Le champion du monde en titre, le Britannique Lewis Hamilton s'élancera en dernière position sur la grille de départ du Grand Prix d'Australie, dimanche à Melbourne, son écurie McLaren-Mercedes ayant annoncé qu'elle changeait sa boîte de vitesse.

Selon le règlement de la Formule 1, les boîtes de vitesse doivent avoir une durée de vie de quatre courses. Tout pilote changeant sa boîte prématurément subit une pénalité qui lui fait perdre cinq places sur la grille.

Hamilton, qui devait partir de la 15ème place, recule donc au 20ème et dernier rang.

Le Britannique avait terminé 15ème et dernier qualifié en Q1 mais un problème de boîte l'a empêché de prendre part au reste de la séance de qualification. Il ne pouvait plus utiliser la quatrième vitesse de sa boîte, a expliqué un porte-parole de l'écurie.

L'heure de qualifications est divisée en trois parties. Dans la première (Q1), toutes les voitures sont en piste durant 20 minutes. Seules les 15 meilleurs temps restent en piste pour la deuxième phase (Q2), qui dure 15 minutes. Enfin, les 10 meilleures voitures luttent pour la pole position durant 10 minutes dans la troisième phase (Q3).

D’après AFP
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L'équipe Brawn va-t-elle changer de nom ?

Ross Brawn a donné son propre nom à son équipe, mais son nouveau partenaire Richard Branson, patron de Virgin, aimerait bien changer ça et rebaptiser l'équipe du nom de sa propre société.

Richard Branson a en effet déclaré aujourd'hui à Melbourne que l'accord signé avec Ross Brawn n'est que la première étape vers une collaboration plus étroite, beaucoup plus étroite...

"Je pense que nous aimerions tous que cette relation évolue en quelque chose de plus complet, probablement d'ici trois ou quatre semaines. Nous allons examiner cette possibilité," affirme Branson.

Le changement du nom de l'équipe est l'une des pistes à explorer. "Je ne pense pas que l'équipe désire avoir un nom qui ne fait la promotion de rien du tout. Tout le monde sait que Ross Brawn est un grand ingénieur et il n'est donc pas nécessaire que cette équipe porte son nom.
Le nom de l'équipe pourrait donc changer, mais nous verrons bien,"
ajoute Branson.

Brawn GP voudrait donc changer la décoration de sa monoplace d'ici le GP de Malaisie, afin de rendre les logos de Virgin plus visibles, mais aussi changer de nom. Tout cela devra faire l'objet d'une demande auprès des autres équipes et auprès des autorités sportives.
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tu m'étonne!!! Avec ce qui vient de leur arriver, ils vont pas rester avec une voiture toute blanche les gars de chez Brawn...

Ah au fait kiki, je viens de me rendre compte d'un truc là, a la FIA ils avaient pas dit que les équipes avec un petit budget (pas plus de 40 millions je crois) bénéficiaient de largesses règlementaires???? Les diffuseurs étaient pas compris dedans???? C'est surement pour ça alors qu'ils sont "légaux" pour ces trois équipes là....
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D!d a écrit:
Ah au fait kiki, je viens de me rendre compte d'un truc là, a la FIA ils avaient pas dit que les équipes avec un petit budget (pas plus de 40 millions je crois) bénéficiaient de largesses règlementaires???? Les diffuseurs étaient pas compris dedans???? C'est surement pour ça alors qu'ils sont "légaux" pour ces trois équipes là....


la limitation de budget, et les largess allant avec, c'est prévu pour 2010, le diffuseur "respectant la règle mais pas l'esprit", c'est tout simplement que trois équipes ont interprété les faiblesses du règlement. chaque année le règlement technique de la f1, c'est le grand flou artistique, et les ingénieurs cherchent tous et tout le temps à l'interpréter au mieux. 3 l'ont interprété différemment, et forcement ça ne plait pas à ceux qui ne l'ont "pas fait". chez renault par exemple, un diffuseur est déjà prêt (alors qu'ils ont porté plainte contre...) si l'interprétation est confirmée comme légale

maintenant au regard du gp, certes 3 voitures avec le diffuseur incriminés figurent sur le podium, mais ça ne reflète pas la course. kubica et vettel s'accrochent à 3 tours de la fin, alors qu'ils étaient en lutte pour la victoire avec button. les trois se tenaient en moins de 3 secondes. sur la durée d'un gp, c'est ridicule. donc l'avantage, s'il existe, c'est minime.

enfin, je suis super content du résultat pour l'équipe de ross brawn. enfin du point de vue humain. cette équipe, au bord de la liquidation il y a à peine un mois, qui se sauve in extremis. Button qui dès l'annonce du retrait de honda a confirmé qu'il resterait là et ne discuterait avec personne d'autre, avec un salaire divisé par 2, par confiance dans l'équipe et la voiture que concevait Brawn depuis fin 2007, c'est beau.
pareil pour barrichello, que tout le monde envoyait au jardinage du retraité, qui a tjrs cru en ses chances de rester dans son écurie, ben il est là! 2nd, sur la grille, et second du gp! comme quoi ces deux gars tant décriés depuis des années, qu'on les mettent dans une bonne bagnole, et ils seront là.

D!d a écrit:
tu m'étonne!!! Avec ce qui vient de leur arriver, ils vont pas rester avec une voiture toute blanche les gars de chez Brawn...


là je serai assez machiavélique, je pense que malgré le fait qu'il ait dit qu'il ne reprendrait pas "honda", et ne serait pas en f1 avec virgin tant que la F1 ne serait pas plus écologique et rentable. je suis moi plutôt d'avis qu'avant de mettre ses billes dans l'écurie, il a préféré s'assurer que ce ne serait pas une grosse bouse! sachant le voiture bonne, il a accepté d'y coller ses logos pour offrir à sa boite une bonne visibilité. la F1 n'est pas un sport! c'est un média!
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GP d'australie : les résultats!


1 Jenson Button (Brawn) 1:34:15.784
2 Rubens Barrichello (Brawn) à 0.807
3 Lewis Hamilton (McLaren) à 2.914
4 Timo Glock (Toyota) à 4.435
5 Fernando Alonso (Renault) à 4.879
6 Nico Rosberg (Williams) à 5.722
7 Sébastien Buemi (Toro Rosso) à 6.004
8 Sébastien Bourdais (Toro Rosso) à 6.298
9 Adrian Sutil (Force India) à 6.335
10 Nick Heidfeld (BMW) à 7.085
11 Giancarlo Fisichella (Force India) à 7.374
12 Jarno Trulli (Toyota) à 26.604 *
13 Mark Webber (Red Bull) à 1 tour
14 Sebastian Vettel (Red Bull) à 2 tours
15 Robert Kubica (BMW) à 3 tours
16 Kimi Räikkönen (Ferrari) à 3 tours
17 Felipe Massa (Ferrari) out
18 Nelson Piquet (Renault) out
19 Kazuki Nakajima (Williams) out
20 Heikki Kovalainen (McLaren) out

les écarts entre les 10 premiers ne sont pas significatifs, l'arrivée à eu lieu sous safety car suite à l'accrochage vettel-kubica.
* trulli ecope de 25s de pénalité pour dépassement derrière le safety car, il avait fini 3è
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raikkonen, c'est mis à cette place tout seul comme un grand!
pas pb technique; pas de pb aux ravitos. il s'est juste sorti tout seul à la manière d'un nakajima ou d'un piquet, après une course totalement merdique. a bousculé un caméramn qui le génait, et envoyé valser par terre un mome dans le paddock. charmant garçon...
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GP d'Australie - Trulli n'est plus troisième

Le classement final du Grand Prix d'Australie est remis en cause. En effet, Sebastian Vettel (Red Bull), Robert Kubica (BMW Sauber), Jarno Trulli (Toyota) et Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) ont été convoqués par les commissaires de course.

Vettel et Kubica se sont accrochés à trois tours de l'arrivée suite à une tentative de dépassement du Polonais. Les deux hommes sont sortis de la route quelques mètres plus tard après avoir perdu de nombreux éléments de leurs monoplaces. Trulli, troisième de la course, aurait lui dépassé Hamilton (4e) alors que tous les pilotes suivaient justement la voiture de sécurité, ce qui est contraire au règlement.

Jarno Trulli est fixé. Il écope de 25 secondes de pénalité et termine finalement douzième de la première course de la saison. Conséquence : tous les coureurs classés au-delà du troisième rang gagnent une place. Le premier bénéficiaire de ce déclassement est le Britannique Lewis Hamilton (McLaren Mercedes) qui monte sur le podium. Sébastien Bourdais, neuvième à l'issue du Grand Prix, rentre donc dans les points. Les commissaires reprochent à l'Italien d'avoir dépassé le champion du monde en titre en fin de course, alors que tous les pilotes suivaient la voiture de sécurité. Ce qui est contraire au règlement.

Sebastian Vettel a été jugé coupable d'avoir forcé Robert Kubica (BMW-Sauber) à sortir de la piste lors de la tentative de dépassement du Polonais à trois tours de l'arrivée du Grand Prix d'Australie, dimanche. Les deux pilotes avaient abandonné suite à l'incident. L'Allemand a été condamné à perdre 10 places sur la grille de départ lors de la prochaine course, le week-end prochaine en Malaisie, tandis que son écurie, Red Bull, a écopé d'une amende de 50.000 dollars.
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Une étrange pénalité qui motive l'appel déposé par Toyota

La seconde et dernière neutralisation du Grand-Prix d’Australie a été fatale au podium de Jarno Trulli, conquis à la force du poignet après un départ depuis l’allée des stands. L’incompréhension se lisait sur le visage du pilote de Pescara à l’annonce du verdict du collège des commissaires de course, qui décidaient de déchirer sa feuille de route et de l’exclure des points.

La FIA a justifié le déclassement du pilote Toyota par un dépassement opéré sur Lewis Hamilton alors que la course avait été neutralisée à la suite de l’accrochage Vettel/Kubica. Au sortir de son ultime pit stop (43è tour), Hamilton s’intercalait entre Trulli et Massa, auquel il tenait tête avant que le Brésilien ne soit trahi par sa mécanique. En chasse derrière l’Italien, le champion du monde en titre n’était pas parvenu à prendre le dessus sur le pilote Toyota lorsque Vettel et Kubica entraient en collision (55è tour). Comment a-t-il pu venir à bout de Jarno ? « Lorsque a voiture de sécurité est entrée en piste, Lewis Hamilton m’a passé mais il a ensuite soudainement ralenti et s’est écarté sur le côté de la piste » explique Jarno en décrivant une manœuvre qui ressemble en tous points aux prémices d’un abandon ou à celle d’un pilote qui rend sa place à un adversaire, par peur d’être sanctionné, « Je pensais qu’il avait un problème et je l’ai dépassé car je ne pouvais rien faire d’autre. »

Des propos corroborés par Norbert Haug de la manière la plus maladroite qui soit. Le vice-président de Mercedes Motorsport laisse en effet entendre que la première infraction au règlement était le fait de son pilote, qui a intelligemment tenté de rattraper son erreur, trop conscient du risque qu’il encourait, lui qui avait perdu la victoire sur tapis vert en Belgique l’année dernière. « Durant la seconde période de neutralisation, Trulli est sorti de la piste, Lewis l’a dépassé et a pris la 3è place, mais il a ensuite laissé repasser Trulli » relate Haug.

Toyota a fait appel de la décision du collège des commissaires, dans le laps de temps qui lui était imparti pour procéder.
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Brawn GP va licencier

Malgré le doublé, l'écurie Brawn GP va licencier environ un tiers de ses effectifs. Le directeur de l'équipe, Nick Fry, l'a annoncé ce dimanche, quelques heures après le grand Prix d'Australie, remporté par son pilote Jenson Button, devant son coéquipier brésilien Rubens Barrichello. Explication du directeur de l'écurie : «Notre écurie comporte 700 personnes actuellement, et nous allons réduire nos effectifs afin d'arriver à 430 personnes. Soit le nombre que nous étions en 2004 du temps de l'écurie BAR [le nom de l'équipe avant son rachat par Honda, ndrl]. Environ 270 personnes vont donc nous quitter. Ce n'est pas vraiment le meilleur moment pour annoncer cela, mais nous sommes obligés de procéder ainsi, puisque nous sommes une écurie privée maintenant.» Fry a précisé que le personnel de Brawn GP, l'ancienne écurie Honda, qui travaille près de Silverstone avait été prévenu le semaine dernière par courrier.
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GP d'Australie - La défaillance des cadors

Pendant que les Brawn-Mercedes réalisaient le premier doublé d'une nouvelle écurie depuis le Grand Prix de France en 1954 (Juan Manuel Fangio et Karl Kling avec Mercedes-Benz), les équipes présumées de pointe du Championnat, Ferrari, McLaren, BMW-Sauber et Renault, connaissaient des fortunes diverses mais se retrouvaient assez, voire très éloignées des avant-postes. Retour sur un week-end d'ouverture difficile qui laisse augurer une saison passionnante.

Ferrari : la débandade

Tout avait plutôt pas trop mal débuté pour la Scuderia, avec des essais libres honorables, et des qualifications satisfaisantes (Massa 6e, Räikkönen 7e). Mais la course n'a pas été à la hauteur des espoirs de l'écurie italienne, qui connaît son plus mauvais départ depuis 17 ans. Felipe Massa a eu assez rapidement après l'entame du GP des problèmes avec les pneus tendres, comme la totalité des pilotes, et a dû anticiper son premier arrêt. Il s'est ensuite retrouvé dans le peloton sans jamais parvenir à s'en extraire. Il aurait pu finir à l'orée de points mais un problème hydraulique l'a contraint à l'abandon à 13 tours de l'arrivée. Le Finlandais était lui, encore, selon ses propres mots, en course pour la deuxième place, lorsqu'une légère sortie de piste l'a obligé à un troisième arrêt aux stands au 44e tour, mettant un terme à ses espoirs de podium. «Cette première course est loin de notre valeur, à tous les points de vue, a résumé Stefano Domenicali, le directeur de l'écurie. Nous avons manqué de fiaibilité, nos performances n'étaient pas au niveau de nos essais hivernaux. Pour résumer, c'est une journée à oublier.»

McLaren-Mercedes : un podium en trompe-l'oeil

«Nous marquons bien plus de points que nous pouvions réellement espérer. J'essayais d'inscrire un point, alors en avoir six est une grande réussite. Nous n'avons définitivement pas oublié comment gagner : notre stratégie était parfaite et l'équipe a fait un travail fantastique. J'ai réalisé l'une de mes plus belles courses. J'ai piloté à coeur ouvert. Je suis tellement satisfait.» Si l'on s'en tient à la réaction de Lewis Hamilton, il n'y a rien à redire de la performance des McLaren à Melbourne. Il est vrai que le champion du monde, parti 18e et finalement troisième, a une nouvelle fois démontré son talent et sa vista au volant d'une monoplace. Pour autant, cette performance ne doit pas faire oublier les essais libres désastreux et la séance de qualifications compliquée. D'ailleurs, Martin Whitmarsh, le patron de l'écurie, ne s'y trompe pas : «La voiture que nous avons fourni à Lewis n'était pas aussi compétitive que nous l'aurions souhaité, nous ne l'avons jamais caché, mais nous travaillons d'arrache-pied, jour et nuit, pour changer ça.» Heikki Kovalainen, qui s'est élancé de la 12e place, a subi les conséquences de l'accrochage du premier virage et a abandonné après trois tours. Un désagrément de plus pour l'écurie, qui va rapidement devoir trouver des solutions.

BMW-Sauber : Kubica trop pressé

Dans le sillage de Jenson Button et Sébastian Vettel durant toute la course, Robert Kubica aurait même pu s'imposer, tant il était le plus rapide lors des derniers tours, équipés de pneus durs alors que les deux pilotes qu'il poursuivait étaient chaussés de pneus tendres qui perdaient de leur efficacité. Et puis à trois tours de l'arrivée, le Polonais a tenté une attaque sur l'Allemand. Les deux hommes ne pouvaient éviter le contact et perdaient des éléments de leur monoplace dans l'accrochage. Kubica se retrouvait avec un aileron avant partiellement arraché et finissait dans un mur quelques centaines de mètres plus loin. «Quelle déception ! J'avais une chance de gagner la course parce que Jenson Button et Sébastian Vettel luttaient avec leurs pneus tendres, alors que j'avais des pneus plus durs et que je pouvais aller bien plus vite qu'eux. Nous (Vettel et moi) avions tous les deux passé un superbe week-end et nous quittons Melbourne sans rien. C'est vraiment dommage !», a confirmé le Polonais. Les commissaires lui ont donné raison, en punissant Vettel, mais s'il avait su se montrer un peu plus patient, l'issue aurait pu lui être bien plus bénéfique. Son coéquipier, Nick Heidfeld, impliqué dans l'accident du premier tour, a dû rentrer aux stands pour changer d'aileron avant et a réalisé une course anonyme, conclue à la 10e place.

Renault : Alonso s'en contente

La saison dernière, Fernando Alonso avait profité d'une course chaotique pour empocher la quatrième place. L'Espagnol a failli rééditer la même performance cette année, mais il s'est finalement contenté de la cinquième position, grâce à la pénalité infligée à Jarno Trulli (Toyota). Incapable de se mêler à la lutte pour la victoire, le double champion du monde se contente de ce résultat : «Une sixième place n'est pas un résultat fantastique, mais nous devons en être satisfaits. J'ai débuté la course dans des conditions très difficiles. J'ai été poussé en dehors de la piste dans le premier virage, je suis passé dans l'herbe, et j'ai repris la course bon dernier. A partir de là, les choses sont devenues difficiles et marquer des points est remarquable. Grâce aux faits de course et aux neutralisations, nous terminons en sixième position. Vu les résultats de nos rivaux, nous pouvons être contents». Pour le directeur de l'écurie, Flavio Briatore, «les trois points marqués par Fernando ne sont pas une grande consolation après un week-end très décevant. Nous n'avons pas été assez compétitifs et nos résultats en qualifications (Alonso 10e, Piquet Jr 14e, et sorti de la piste au 24e tour à cause d'un problème de freins) nous ont pénalisés. Ce n'est que la première course, nous avons encore le temps de progresser.» Il ne doit pas être le seul à le penser
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Vijay Mallya s'intéresse à Bruno Senna "C'est un candidat pour 2010"

Annoncé cet hiver comme étant l'un des futurs pilotes de l'équipe Brawn GP, Bruno Senna a dû déchanter au dernier moment pour laisser place à Rubens Barrichello. Mais le neveu d'Ayrton Senna n'en a probablement pas encore fini avec la F1...

Vijay Mallya, le patron milliardaire de l'équipe Force India avoue en effet que Bruno Senna représente une option intéressante pour son équipe, lorsque Giancarlo Fisichella en aura terminé avec la F1.

"Je sais que Giancarlo arrive à la fin de sa carrière, il ne sera peut-être plus là l'année prochaine. Il y a de jeunes pilotes qui attendent de déployer leurs ailes et l'un d'eux est Bruno Senna. Nous pensions tous qu'il allait rouler pour Brawn GP cette année, mais cette équipe a finalement choisi Barrichello. Nous nous intéresserons aux jeunes pilotes qui sont sur le marché au moment opportun," déclare Mallya, dans les colonnes de l'Observer.

Le patron de Force India ajoute que s'il n'a pas engagé un jeune pilote à la place de Giancarlo Fisichella cette année, c'est parce que le bon moment n'était pas encore arrivé. "Il y a eu de trop nombreux changements dans l'équipe. Il y a notamment eu des changements dans le management et je voulais de la stabilité et une certaine continuité," ajoute Mallya.

Bruno Senna participera cette année aux 24 Heures du Mans avec l’équipe Courage-Oreca ainsi qu'aux cinq courses de 1000 km du championnat d'endurance Le Mans Séries (LMS).
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Virgin pour deux courses ?

Selon les dernières informations, Richard Branson n’aurait signé que pour deux courses avec l’écurie Brawn GP pour un montant d’un demi-million de dollars.
De nouvelles négociations devraient avoir lieu rapidement entre Ross Brawn et le fondateur du groupe Virgin pour poursuivre la belle aventure après le Grand Prix de Malaisie. quand je vous disais que branson n'avait mis des billes dans brawn, après avoir voulu vérifier que la voiture n'était pas une bouse....
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Toyota retire son appel

Toyota a décidé de retirer l’appel qu’elle avait déposé au soir du Grand-Prix d’Australie qui avait vu Jarno Trulli dégringoler du podium en dehors des points pour une manœuvre illicite sous safety car. Automoto365.com a narré l’incident par le menu dans ces colonnes ; pour mémoire, le scénario de l’incident implique autant Lewis Hamilton que Jarno Trulli et il semblait inopportun aux observateurs de condamner sèchement l’Italien pour un dépassement qui fut provoqué par le Britannique alors que ce dernier craignait d’être lui-même sanctionné par la FIA après avoir débordé la Toyota au début de la neutralisation (un dépassement effectué lorsque Jarno a commis une faute et un écart de trajectoire).

Las, comme McLaren Mercedes à Spa l’année dernière, Toyota s’entendra dire que son appel est purement et simplement irrecevable et l’écurie de Cologne a donc décidé de le retirer. « Après avoir étudié les récents jugements du Tribunal d’Appel International et en faisant référence au Code Sportif International, nous pensons que tout appel sera rejeté pour un détail de procédure défini par l’article 152, paragraphe 5 du code sportif » explique Toyota dans un communiqué.

Le code sportif prévoit en effet que mes pénalités de type drive through ou stop and go ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’un appel.

Article 152 Paragraphe 5 du Code Sportif International :

Les pénalités de passage et d’arrêt dans la voie des stands ainsi que certaines pénalités, telles qu’expressément stipulées dans les règlements des Championnats FIA, ne sont pas susceptibles d’appel.
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classement des championnats avant la Malaisie

constructeurs:

01 Brawn-Mercedes 18
02 Toyota 11
03 Renault 4
04 Williams-Toyota 3
05 STR-Ferrari 3
06 Force India-Mercedes 0
07 BMW Sauber 0
08 RBR-Renault 0
09 Ferrari 0
10 McLaren-Mercedes 0

Pilotes :

01 Jenson Button 10
02 Rubens Barrichello 8
03 Jarno Trulli 6
04 Timo Glock 5
05 Fernando Alonso 4
06 Nico Rosberg 3
07 Sebastien Buemi 2
08 Sebastien Bourdais 1
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Honda rachète Brawn GP!

La nouvelle vient de tomber et elle fait déjà l'effet d'une bombe: le constructeur japonais Honda a fait jouer une clause du contrat de vente de son équipe de F1 à Ross Brawn pour en reprendre le contrôle.

Honda a d'ores et déjà introduit une demande de changement de nom auprès de la FIA et celle-ci sera examinée après le Grand Prix de Malaisie. Chez Mercedes, fournisseur du moteur de l'ex-équipe Brawn, on est à deux doigts de l'apoplexie.

"Monsieur Ross Brawn ne nous a jamais parlé d'une telle clause, nous sommes stupéfaits - déclare Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport - nous allons étudier la situation, car je ne vois pas comment nous pourrions continuer à fournir des moteurs Mercedes à l'équipe Honda!"

D'après certaines indiscrétions, le constructeur Honda avait imposé une clause à Ross Brawn et cette clause prévoyait que si Brawn GP remportait la victoire en Australie ou en Malaisie, il pouvait reprendre le contrôle de l'équipe sans aucun préavis. C'était l'unique condition de Honda à l'octroi d'un généreux financement de l'équipe de Brackley pour la saison 2009.

Ross Brawn était conscient du risque de perdre le contrôle de son équipe, mais il était persuadé que cela ne se produirait jamais.
"Cela ressemble à un mauvais poisson d'avril! En signant avec Mercedes pour la motorisation de nos monoplaces, j'étais persuadé que Honda n'allait pas faire jouer cette clause et je n'allais quand même pas empêcher mes piloter de gagner en Australie pour que Honda ne soit pas tenté de le faire!"

Richard Branson, patron de Virgin, était l'un des seuls à connaître cette clause particulière et c'est ce qui l'avait poussé à ne signer un contrat de partenariat que pour les deux premières courses de la saison.

"J'avais de grands projets avec Brawn GP, notamment sur les carburants écologiques, mais je ne suis pas sûr que Honda partagera mon enthousiasme," déclare un Richard Branson abattu.

Le rêve de Ross Brawn s'écroule, mais il s'en remettra. "Cette équipe, je l'avais porté à bout de bras, que ce soit sous le nom de Honda ou plus tard lorsque son avenir était menacé. Pour tout dire, je suis épuisé et je ne compte pas m'éterniser en F1. Je vais probablement partir à la pêche et il me semble que le 1er avril est le jour idéal pour prendre une telle décision."...
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non, celui qui se fait arnaquer, c'est celui qui gobe cet ENORME baleine d'avril!!!!

j'avais juste enlevé une partie des propos tenus par branson dans cette niouze bidon du jour!

"J'avais de grands projets avec Brawn GP, notamment sur les carburants écologiques, mais je ne suis pas sûr que Honda partagera mon enthousiasme. Avec Ross Brawn, nous comptions introduire dès le Grand Prix d'Espagne des carburants parfumés à la lavande ou au muguet. Nous avions aussi testé un parfum brise du large très efficace. C'était ma contribution à moi aux efforts de la FIA de rendre la F1 écologique,"


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Hamilton est déclassé du GP d’Australie

La FIA a déclaré avoir convoqué Jarno Trulli et Lewis Hamilton pour une nouvelle audition motivée par la collecte d’éléments nouveaux dans l’incident qui a provoqué la chute du podium de Jarno Trulli, et l’ascension du champion du monde sur ce même podium de Melbourne. le pilote Toyota a débordé son alter ego de chez McLaren Mercedes en 2è intention, après que le Britannique soit d’abord passé devant lui. Soucieux de pouvoir tomber sous le coup d’une sanction – il n’a pas oublié l’incident de Spa 2008 – Lewis Hamilton a fortement ralenti pour rendre son bien à sa victime.

L’élément nouveau et qui pourrait s’avérer décisif est une conversation radiophonique entre le champion du monde et son écurie. Si ordre a été transmis à Lewis de freiner et de se ranger sur le bas-côté – comme l’a rapporté Trulli au soir du GP d’Australie – l’Italien ne peux plus être accusé de manœuvre illicite.

« Nous disposons d’un nouvel élément concernant l’incident impliquant les voitures 9 (Jarno Trulli) et 1 (Lewis Hamilton) pendant la seconde neutralisation du GP d’Australie » a expliqué la FIA dans une missive envoyée à McLaren Mercedes, « En conformité avec l’article 179bis du Code Sportif International, le pilote de la voiture 1 et l’un des représentants de l’écurie sont convoqués devant les Commissaires ce Jeudi à 13h. »

De son côté, Jarno Trulli a réaffirmé sa probité en expliquant au Malaysia New Strait Times « La FIA a tout fait de travers en prenant cette décision. Nous avons tous la preuve, Hamilton y compris, que je ne l’ai pas dépassé, il m’a laissé passer. »

Une nuance qui devrait logiquement débouter le champion du monde du podium de Melbourne, réinstaller Trulli dessus, et priver Toro Rosso de 2 points… à moins que la FIA ne sanctionne Hamilton pour avoir le premier dépassé Trulli (en perdition et qui a fait un écart de trajectoire) alors que le peloton était sous les commandes de la voiture de sécurité.

Article 179bis. Droit de révision

Dans les épreuves d'un Championnat de la FIA, en cas de découverte d'un élément nouveau, les commissaires sportifs ayant ou non statué, ceux-ci, ou en cas de défaillance, ceux qui seront désignés par la FIA, devront se réunir à la date qu'ils arrêteront en convoquant la ou les parties en cause pour recevoir toutes explications utiles et juger à la lumière des faits et éléments exposés.

Le droit d'appeler de cette nouvelle décision est réservé à la ou les partie(s) concernée(s) conformément au dernier alinéa de l'Article 180 et aux Articles suivants du présent Code.

Au cas où la première décision aurait déjà fait l'objet d'un appel devant le Tribunal d'Appel National ou devant la Cour d’Appel Internationale, soit successivement devant ces deux juridictions, celles-ci se trouveront de plein droit saisies pour réviser éventuellement leur précédente décision.

Le délai pendant lequel un recours en révision peut être introduit expire le 30 novembre de l'année en cours


Finalement Lewis Hamilton a donc été rayé des tablettes du GP d’Australie 2009 ! Après avoir entendu cet après-midi (et pour la 2è fois après l’audition de Dimanche soir dernier) le champion du monde et son écurie, la FIA a estimé, à la lumière de nouvelles pièces (des conversations radios entre le pilote et son équipe et l’appui de la vidéo et du chronométrage) que le Britannique avait été coupable et non victime en Australie.
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Une sanction supplémentaire pour Hamilton? La FIA y pense...

Lewis Hamilton a été exclu du classement du Grand Prix d'Australie pour avoir fourni des informations erronées aux commissaires de Melbourne après l’incident qui l’a opposé à Jarno Trulli, mais la FIA pourrait ne pas en rester là.

En Malaisie, on parle en effet de la possibilité que la FIA inflige une sanction supplémentaire au champion du monde. "A ce stade, nous ne pouvons exclure que nous ne prenions pas d'autres sanctions contre lui," déclare un porte-parole de la FIA en Malaisie.

Interrogé sur les informations erronées que son équipe aurait fournies aux commissaires, Martin Whitmarsh fait mine de ne pas comprendre. "Je ne sais pas ce qu'ils veulent dire lorsqu'ils affirment que nous les avons volontairement induits en erreur. Il faudrait que vous leur demandiez. Ils pensent que notre omission à propos des conversations radio entre Lewis et l'équipe a été volontaire et c'est pour cette raison qu'ils pensent avoir été trompés.
"

Un peu plus tôt dans la journée, l'équipe McLaren avait déclaré qu'il lui semblait évident que les commissaires avaient écouté les conversations radio et qu’ils allaient logiquement se rendre compte que Lewis avait reçu l'ordre de rendre la 3e place à Jarno Trulli; c'est pour cette raison que McLaren n'avait pas soulevé ce "détail" auprès des commissaires qui allaient ensuite sanctionner le pilote Toyota avant de le blanchir...
Ils devraient faire attention chez McLaren! 2007 sanctionnés pour espionnage industriels, spa 2008 Hamilton déclassé pour conduite anti sportive, et Melbourne 2009 mensonge aux commissaires quand à une pénalité infligée à un adversaire pour récupérer au bout du compte un podium. la mule commence à se charger, et l'intransigeance de la FIA peut être très lourde quand on la cherche.
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cocorico a écrit:
quel enfoir* ce mec, gagner par tout les moyens, meme avec mensonge, c'est le pire de tout à mes yeux, ca me fait penser à un certain schumi fut un temps face au williams renault


dans le style "belle salope", en 2007 mclaren avait la paire avec alonso! c'est alonso qui a balancé son écurie à la FIA dans l'affaire d'espionnage après avoir obtenu l'immunité. balancer l'employeur qui vous paie des millions de dollars, et pouvait vous offrir à ce moment là un second titre de champion du monde, faut le faire....
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McLaren Mercedes regrette…

McLaren Mercedes a pris connaissance de la décision de la FIA de déclasser Lewis Hamilton du Grand-Prix d’Australie et reconnaît tacitement une erreur stratégique et politique, sans entrer dans le détail des écoutes radiophoniques qui sont à l’origine du châtiment de Lewis Hamilton.

« McLaren Mercedes comprend que la décision des commissaires [l’exclusion de Lewis Hamilton du classement du Grand-Prix d’Australie] a été basée sur l’écoute de transmissions radios entre le pilote et l’écurie. L’équipe a cru à tort que ces transmissions avaient été analysées par la FIA le Dimanche 29 Mars, et n’a donc pas jugé nécessaire d’en discuter avec les commissaires à cette date-là. McLaren Mercedes regrette de ne pas l’avoir fait, accepte la décision des commissaires et ne fait pas appel » explique les hommes de Martin Whitmarsh dans un communiqué officiel qui ne manquera pas de venir garnir la colonne des passifs du successeur de Ron Dennis. McLaren Mercedes avait juré, mais un peu tard, qu'on ne la prendrait plus la main dans le pot de confiture, il y a 18 mois...
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La FIA contredit fermement McLaren

Si l'équipe McLaren et son pilote Lewis Hamilton se défendent d'avoir volontairement trompé les commissaires du Grand Prix d'Australie, la FIA affirme exactement le contraire.

La bataille des communiqués fait rage depuis plusieurs heures entre la FIA et McLaren. La dernière salve vient de la Fédération qui réaffirme que McLaren n'a pas joué franc-jeu à Melbourne.

"Le pilote et le team manager (David Ryan) ont affirmé qu'aucun ordre n'avait été donné par radio. Le directeur de course a spécifiquement demandé à Lewis Hamilton s'il avait volontairement laissé passer Trulli et Hamilton a affirmé que ce n'était pas le cas," affirme la FIA dans son dernier communiqué.

Pour rendre ses affirmations encore plus percutantes, la FIA a rendu public l'enregistrement audio des échanges entre Hamilton et son équipe.
Dans cet enregistrement, on entend un membre de l'équipe McLaren dire à son pilote: "Laisse Trulli passer tout de suite."

La FIA ajoute enfin que les commissaires de Melbourne ont le fort sentiment de s'être fait rouler dans la farine par Hamilton et McLaren "ce qui a provoqué une pénalité injuste envers Jarno Trulli," conclut la FIA. et à la fédération, ils ont horreur de se faire prendre pour des cons! le retour de baton pourrait être sévère...
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McLaren Mercedes limoge Dave Ryan

McLaren Mercedes a confirmé l’information que nous vous donnions au conditionnel avant l’ouverture de la seconde séance d’essais libres du Grand-Prix de Malaisie : Dave Ryan, directeur sportif de l’équipe et responsable des auditions de l’écurie auprès de la FIA dans le cadre de l’incident Hamilton/Trulli au GP d’Australie – qui a valu à l’écurie et au champion du monde en titre la perte de 6 points – a été limogé de McLaren Mercedes.

« Depuis 20 ans que je travaille chez McLaren Mercedes, je doute d’avoir rencontré une personne plus impliqué que Davey. Il était un membre de l’équipe depuis 1974 et a joué un rôle crucial dans tous les succès de l’écurie. Cependant, son rôle dans les évènements de Dimanche dernier, en particulier sa gestion des faits auprès des commissaires de la FIA a eu des répercussions sérieuses pour l’écurie et nous nous en excusons. Je l’ai donc suspendu de ses fonctions ce matin ; il a accepté la décision » a déclaré Martin Whitmarsh, directeur de McLaren Mercedes.
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Ferrari reconnaît son erreur

La Scuderia Ferrari a été prise en flagrant délit d’arrogance, cet après-midi sur le circuit de Sepang. Pire, elle n’a pas su réagir au moment opportun, une vertu qui est généralement l’apanage des grandes écuries. La 1ère erreur de l’équipe de Maranello a été de s’élancer en Q1 avec une feuille de route figée : 1 seul tour lancé pour Massa et Räikkönen, fermez le banc !

L’intention était louable : l’économie d’un train de pneus tendres pour la dernière phase des qualifications, et pour la course. Mais en voyant les temps au tour tomber comme des mouches étourdies par la chaleur moite de Sepang, le cheval cabré aurait dû réagir. Il le pouvait. Les deux monoplaces rouges étaient sagement parquées dans leur garage lorsque le chronomètre a commencé à s’affoler, à 4 minutes de la fin de la Q1. Les 18 autres pilotes ont effectué au moins une seconde tentative, voire 2. Si Räikkönen a échappé au pire, Felipe Massa paie cher l’erreur de ses stratèges et doit désormais espérer que la pluie viendra redistribuer les cartes en course. Ancien tacticien de la Scuderia, Ross Brawn a dû rire sous cape en voyant ses successeurs se prendre les pieds dans le tapis, une nouvelle fois.
9è meilleur temps mais 7è sur la grille de départ grâce aux rétrogradations de Vettel et de Barrichello, Räikkönen sera le 1er des pilotes équipés du KERS et peut espérer capitaliser sur le surplus de puissance de sa machine à l’extinction des feux.

Felipe Massa (16è, 1:35.642) :

Je suis très déçu. Si j’avais terminé 16è à cause d’un manque de performance, j’aurais pu accepter le résultat, mais ça fait encore plus mal lorsque ça arrive de cette manière. La piste a beaucoup évolué à chaque tour et mon 1er run n’était pas parfait. Nous n’avons pas réagi à temps et avons laissé passer l’occasion de faire un autre tour. Personne n’est à blâmer, nous gagnons et nous perdons ensemble. Il faut changer l’approche que nous avions des qualifications auparavant. Il n’y a pas de droit à l’erreur et il faut donner son maximum dès la 1ère phase. Cela dit, je suis très motivé, ce n’est pas la 1ère fois que je pars de loin et je sais que je peux compter sur un bon rythme de course.

Kimi Räikkönen (9è, 1:36.170) :

Le problème principal, en ce moment, est que nous ne sommes pas assez rapides pour être aux avant-postes. La voiture ne manque de rien en particulier, mais nous n’avons pas assez de grip pour être aussi rapides que ceux qui finissent la journée en tête. La course sera difficile et nous essaierons de mettre le départ à profit. Il avait été bon en Australie mais je n’avais nulle part où aller alors qu’ici, la piste est large et longue. Comme nous l’avons vu hier, notre rythme de course est bon. Nous devons améliorer nos performances mais il est important que les réglementations soient rapidement éclaircies afin que nous sachions dans quelle direction aller. Les deux types de pneus fonctionnent bien sur une longue distance et nous essaierons d’en profiter.
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Räikkönen, 20 secondes en 1 tour !

C’est une chance pour Räikkönen, le Finlandais a déjà l’expérience d’une écurie où tout part à vau-l’eau. Si besoin était, ses années passées chez McLaren Mercedes (2002-2006) ont épaissi sa carapace. Problèmes mécaniques en rafale et gestion incertaine des évènements ont été le pain quotidien du natif d’Espoo au milieu des années 2000. Depuis deux Grand-Prix en 2009, Kimi sent probablement resurgir du fond de ses tripes les mêmes sentiments que ceux qui lui avaient dicté de rester concentré et déterminé pour se sortir par le haut d’une situation de crise.

A Melbourne, le champion du monde 2007 a dû faire l’impasse sur la 3è séance d’essais libres par la faute d’un système hydraulique défaillant. Puis le différentiel de sa F60 l’a envoyé en toupie alors que le podium était à sa portée. A Sepang, la batterie de son KERS a connu un court-circuit (dégageant des vapeurs acides) alors qu’il entamait un ses essais du Vendredi matin. En qualifications, il est passé à 2 dixièmes de secondes de subir la même mésaventure que Massa – une élimination précoce en Q1, pour excès d’arrogance de la part de son écurie.

Aujourd’hui, Räikkönen a servi de cobaye au 1er tiers de la course, alors qu’il était dans le top 5 et que la pluie s’apprêtait à rebattre les cartes. La Scuderia Ferrari a fait le pari de renvoyer son pilote en piste avec des pneus Pluie alors que la piste était entièrement sèche ! Les prévisions météorologiques autour de Sepang n’ont jamais été fiables à la minute près, comme l’avait encore démontré le début de course où la FIA avait prévenu les écuries de l’arrivée de la pluie à 17h05, c’est-à-dire dans le 1er tour de course… Il aura fallu en attendre une vingtaine.

Räikkönen a bouclé le 20è tour (le 1er lancé après son pit stop) en 1:59, Massa, encore en pneus slicks, en 1:39 (à ce stade de comparaison, nos lecteurs nous feront la grâce des dixièmes de seconde…). Le 21è tour était avalé en 1:38 par le leader Jenson Button (en pneus slicks), soit 21 secondes de mieux que Räikkönen. En 3 tours, Kimi a non seulement perdu près d’une minute, mais a également, et il n’avait pas d’autre choix, martyrisé ses pneus Pluie sur un tarmac abrasif et sec. Si pari il devait y avoir, il devait concerner Felipe Massa qui avait non seulement peu à perdre car noyé dans le peloton, mais dont la charge en carburant lui permettait également de différer son pit stop par rapport à son équipier.

Nullement démoralisé et faisant honneur à son surnom d’Iceman, Räikkönen a livré un échantillon de sa dextérité dans les boucles suivantes, lorsque les nuages ont enfin ouvert leurs vannes. En pneus Pluie comme l’essentiel du plateau, Räikkönen a tourné en 1:57/58 pendant que Button, Massa, Hamilton ou encore Trulli ne parvenaient pas à descendre sous les 2 minutes. Tombé dans les profondeurs du classement, Räikkönen a bu le calice de Sepang jusqu’à la lie en abandonnant sur un dernier hoquet de son KERS.
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Mercedes changera-t-elle la direction de McLaren ?

L’affaire du mensonge du Grand-Prix d’Australie – qui a trouvé une conclusion douloureuse dans le paddock de Sepang avec la rétrogradation d’Hamilton à Melbourne et une menace de sanction exemplaire qui pourrait être prise le 14 Avril prochain lors de la tenue du Tribunal d’Appel de la FIA – a eu des prolongements immédiats sur la gestion de l’écurie McLaren Mercedes. Dave Ryan, directeur sportif de l’équipe depuis 1974 a servi de fusible et a laissé son perchoir vacant sur le muret des stands, dès le Vendredi après-midi.

Beaucoup pensent que Mercedes ne devrait pas en rester là et devrait saisir l’occasion de placer ses hommes à la direction de l’écurie. Le timing ne pouvait pas être meilleur : Ron Dennis, patron historique et emblématique a transmis le témoin à Martin Whitmarsh, un directeur général particulièrement décrié dans le paddock et qui a contre lui 1) Les formidables contreperformances de son écurie en 2009, 2) Un flagrant délit de mensonge qui jette l’opprobre sur toute l’entreprise, deux ans à peine après l’affaire de l’espionnage industriel.

A Sepang, penaud et ayant le sentiment qu’il devait à tous la vérité crue, Whitmarsh n’a pas manié la langue de bois et n’a pas eu de discours d’entreprise. Au point d’avouer qu’il ne savait pas si sa carrière à la direction de l’écurie de Woking était menacée. « Ce serait faux de prétendre que je n’y ai pas pensé [à mon avenir] car c’est dans ces moments que vous réfléchissez au pourquoi de votre implication dans le sport, et ce n’était certainement pas pour ce genre d’affaire. Vous pensez également à ce qui serait le mieux pour l’entreprise et pour cette fantastique équipe » a expliqué Martin Whitmarsh ce week-end en répondant au feu nourri des questions de la presse Britannique qui n’a pas manqué de tomber à bras raccourcis sur l’écurie elle adulait il y a 4 mois pour avoir été la plateforme du 1er titre d’un pilote Britannique depuis plus de 12 ans.

« Sur le long terme, je peux penser à mon avenir. Mais je ne le déterminerai pas tout seul, il appartient aux actionnaires de cette équipe de se faire une opinion et de décider ce qui est le mieux. Il y a un représentant du plus gros actionnaire de l’équipe assis à mes côtés (ndlr : Norbert Haug, vice-président de Mercedes Motorsport) et je pense qu’au final ce sont ces gens qui décideront de ce qu’il se passera dans l’équipe, pas moi. Je ne démissionne pas ce week-end. Nous avons décidé d’analyser comment nous en sommes arrivés à cette situation et nous devons en tirer des leçons pour être plus forts à l’avenir. »

Etre plus fort obligeait-il l’écurie à limoger l’un de ses cadres ? Oui lorsque l’électrochoc est salutaire, non lorsqu’il lézarde l’édifice, ce qui semble être le cas chez McLaren, de l’aveu même de Whitmarsh qui ne fait pas mystère de la difficulté de se relever du départ de Dave Ryan. En pleine crise sportive, McLaren pouvait-elle se permettre de faire une crise existentielle ? Encore une fois, la gestion des évènements par Whitmarsh sera méticuleusement analysée par l’actionnaire principale de l’écurie, Mercedes. « La perte de Dave laisse un vide immense, il jouait un rôle central, soyons honnêtes, il dirigeait l’équipe. Plusieurs personnes étaient les grandes figures de l’écurie mais c’est Dave qui dirigeait l’équipe sur le terrain, il prenait les décisions. Le retirer du dispositif dans des circonstances très difficiles, prévoir de se rendre sur la prochaine course et de préparer l’avenir sans lui est un défi extrême […] Je pense avoir été très chanceux ; il y a eu des moments très douloureux pour moi pendant ce week-end, mais de manière étonnante il y a également eu un ou deux instants où votre foi dans l’être humain et dans l’équipe est restaurée. »

Les déboires de Whitmarsh dès sa prise de fonction posent le problème de sa légitimité à la direction de l’écurie. Technicien de formation, Martin n’est pas un gestionnaire dans l’âme. La fibre de la direction d’une entreprise ne se cultive pas à coup de sorties de piste. Chez Mercedes, où la culture de l’entreprise a toujours prévalu – et où les hautes instances sont des professionnels de la direction des affaires – le CV et les récents résultats de Whitmarsh feront tache.
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