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bourdais pas encore au top


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Sébastien Bourdais débutera dans quelques semaines sa première saison en Formule 1. Toutefois, il n’est pas encore prêt à 100% pour la première course, surtout au niveau physique...

Après avoir fait des tests en simulateur pour comprendre et approfondir sa connaissance des Formule 1, il a découvert que les muscles de sa nuque pourraient être un point faible. Il avoue malgré tout : " Plus je roule, mieux c’est. Par chance, nous avons avant la première course encore suffisamment de tests, avec le temps tout devrait rentrer dans l’ordre. "



" La différence avec une ChampCar " précise Sébastien Bourdais, " est que cette partie du corps (la nuque) n’est pas si importante que cela, car il n’y a pas de direction assistée. Mais pour la Formule 1, la nuque est très solicitée. La voiture est presque 150 voir 200 kg plus lègère qu’une ChampCar. Au maximum une ChampCar en courbe rapide vous fait attendre 3,5 G, mais en F1 c’est régulièrement 4,5 G. Sur le cou, la différence est énorme. "

Quant à l’aspect sportif, Sébastien Bourdais ne cache pas qu’il ne sera pas tout de suite au niveau et qu’il faudra attendre la mi-saison pour qu’il exploite à 100% les capacités de sa monoplace Toro Rosso.

Il précise même sur MotorsportTotal.com : " La presse et l’opinion publique attendent peut-être un peu trop de moi. J’ai dit dans une interview, que l’année dernière j’avais une très bonne voiture et que cette année, je n’aurais pas la voiture pour gagner. Nous avons en effet peu de chance de remporter une course. Même un podium serait exceptionnel. L’objectif est d’entrer le plus souvent possible dans les points. Alors là, ce sera déjà le succès de la saison. "
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si il fait une bonne saisson il aurra peut etre un meilleur volant par la suite, bourdais avec une renault sa serait sympa?A la place de alonso qui est un exellent pilote ,j adore son style de pilotage mais j aime pas le personage!!!!!!!!!!
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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...
Après quatre titres en ChampCar sur les circuits américains, Sébastien Bourdais intègre la Formule 1 dans une équipe qui vise le milieu de tableau. Crédits photo : ASSOCIATED PRESS
Enfin un Français au départ du championnat du monde, au volant d'une Toro Rosso.

L'événement est cocardier : ce week-end au Grand Prix d'Australie, première manche du Championnat du monde 2008 (qualifications cette nuit à 3h55 et départ dimanche à 5 h 30 en direct sur TF1), Sébastien Bourdais devient le soixante-neuvième pilote français de l'histoire de la Formule 1. Une statistique dont l'Hexagone n'a pas à rougir, puisqu'elle le place au quatrième rang, derrière les États-Unis (156), la Grande-Bretagne (154) et l'Italie (97). Mais une statistique trompeuse tant nos pilotes ont brillé par leur absence ces dernières années.

Depuis 1994 et l'arrivée d'Olivier Panis sur la grille au volant d'une Ligier, aucun débutant français ne s'est aligné au départ d'un championnat avec un contrat de titulaire en poche. Jean-Christophe Boullion (onze GP avec Sauber en 1995), Stéphane Sarrazin (un GP avec Minardi en 1999) et Franck Montagny (sept GP avec Super Aguri en 2006) ont bien décroché quelques piges, mais elles sont restées sans suite. Pire : en 2005, une fois Olivier Panis à la retraite, puis l'an dernier, la Formule 1 a déroulé deux saisons sans le moindre Tricolore, du jamais-vu depuis 1965 et l'après-Maurice Trintignant.

La Formule 1, Sébastien Bourdais n'y croyait d'ailleurs plus. Fin 2002, le titre de Formule 3000 en poche, le Manceau devait intégrer l'écurie Arrows, mais cette dernière déposa le bilan. Alors l'exil américain et le rêve qui s'éloigne. «Tous les pilotes espèrent courir un jour en F1, avoue-t-il, mais fin 2006, malgré trois titres en Champcar, je me suis dit que c'était terminé vu que personne ne semblait s'intéresser à moi. Une semaine après, je signais pour mes premiers essais avec Toro Rosso…»

Toro Rosso ? L'écurie bis de Red Bull, lancée sur la base du rachat de Minardi en 2005 et motorisée par un V8 Ferrari client. Peu convaincante septième du championnat constructeurs l'an dernier, elle vise désormais le milieu de tableau. En clair : tenter d'intégrer le Top 10 en qualifications, se placer pour grappiller les derniers points, à l'affût d'un gros coup quand les circonstances d'une course l'autoriseront.

« Faculté d'adaptation »

Trop malin pour gamberger sur l'attente qu'il suscite en France, Sébastien Bourdais décale : «Ce n'est pas une pression, c'est un grand honneur. Mais si le public espère me voir gagner, il va être déçu. Toro Rosso est une équipe en pleine construction, je suis là pour travailler, justifier mon recrutement et faire mes preuves. Dans une équipe comme la nôtre, cela consiste à signer une huitième place quand la voiture vaut la douzième.»

Pour se faire remarquer au sein d'une telle écurie, un axiome : prendre le meilleur sur son coéquipier. Ce qui est loin d'être fait pour Sébastien Bourdais. Au volant de la seconde Toro Rosso, l'Allemand Sebastian Vettel, 20 ans, très convaincant l'an dernier sur les huit derniers Grands Prix de la saison, et qui, cet hiver, a toujours pris le meilleur sur le Français lors des essais privés.

«Après tout de même 7 000 km de roulage, je suis assez confiant sur mon rythme en configuration de course, analyse Sébastien Bourdais. Reste ces délicates qualifications sur un tour, et les circuits que je ne connais pas. C'est une question de temps, même si je sais que je vais justement être jugé sur ma faculté d'adaptation.»

Fortune déjà faite avec quatre titres en ChampCar, le «french rookie» est en quelque sorte libéré du poids de l'avenir. À 29 ans, toutefois, il sait ne disposer que d'un espace-temps réduit pour vivre son rêve, convaincre Toro Rosso, mais surtout les écuries les plus huppées. Car au bout du compte, plus que d'un figurant pour le principe, c'est d'un pilote protagoniste au volant d'une bonne monoplace, à la lutte pour la gagne, que la France se désespère depuis Alain Prost.
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titou31 a écrit:
le GP sera rediffuser a 9h sur TF1 le dimanche


en belgique c oui c 9h

fameux defi pour lui, passer de la gloire au fond de grille........en plus je vois pas la toro evolué terriblement !!!

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titou31 a écrit:
attend de voir cette annee car si c comme en moto les petite equipe monte


oui mais en F1 trop de parametre entre en ligne de compte et c dommage car sa serais plus beau au lieu de resumé la saison a 4 voitures...6 si on a de la chance!!!

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Pour la première séance de qualifications de la saison, à Melbourne, Lewis Hamilton s’est montré le plus rapide et a signé la 7e pole position de sa carrière. Disqualifié en Q1, Kimi Räikkönen partira, lui, en 8e ligne !
Les déboires de Räikkönen
Lewis Hamilton et sa McLaren-Mercedes sont déjà bien au point en ce début de saison. Après avoir déjà été le plus rapide lors de la deuxième séance d’essais libres vendredi, le jeune Britannique n’a laissé à personne le soin de décrocher la pole position du Grand Prix d’Australie ce samedi lors de la séance de qualifications. Il faut dire que le vice-champion du monde a bien été aidé par les déboires de son plus dangereux rival, Kimi Räikkönen. Alors que le champion du monde en titre avait signé, sans forcer, le 5e temps de la Q1, il a connu un souci mécanique dans son tour de décélération. Ses mécaniciens ont alors ramené la F2008 au stand, ce qui a entraîné sa disqualification. C’est donc de la 16e place que le Finlandais s’élancera dimanche matin sur le circuit de l’Albert Park.

Hamilton rit, Alonso pleure
Débarrassé de «Iceman», Hamilton pouvait ensuite manœuvrer à sa guise. Avec une monoplace parfaitement au point, le Britannique a facilement décroché le meilleur temps lors de son dernier tour lancé. En 1’26’’714, il a devancé le Polonais Robert Kubica (1’26’’869), au volant d’une BMW très performante (Nick Heidfeld a signé le 5e temps) et son coéquipier, Heikki Kovalainen qui, pour sa première séance qualificative dans le baquet d’une Flèche d’Argent, a parfaitement rempli son contrat. La Scuderia se consolera des malheurs de Räikkönen avec le 4e temps de Felipe Massa qui aura la lourde tâche de porter les couleurs de Ferrari en tête du peloton. Pour Renault, en revanche, cette première séance de qualifications aura mis en lumière tous les progrès à réaliser pour être au niveau des meilleurs, Fernando Alonso devant se contenter du 12e temps tandis que Nelson Piquet Jr a connu un baptême du feu très délicat (21e chrono). Enfin, on notera les débuts difficiles de Sébastien Bourdais, seulement 18e avec une monoplace qui a pourtant montré qu’elle pouvait être compétitive puisque Sébastian Vettel s’est glissé en Q3 (10e temps).

La grille de départ :
1. Hamilton (McLaren) 1'26''714
2. Kubica (BMW) 1'26''869
3. Kovalainen (McLaren) 1'27''079
4. Massa (Ferrari) 1'27''178
5. Heidfeld (BMW) 1'27''236
6. Trulli (Toyota) 1'28''527
7. Rosberg (Williams) 1'28''687
8. Coulthard (Red Bull) 1'29''041
9. Glock (Toyota) 1'29''593
10. Vettel (Toro Rosso) 0'00''000
11. Barrichello (Honda) 1'26''173
12. Alonso (Renault) 1'26''188
13. Button (Honda) 1'26''259
14. Nakajima (Williams) 1'26''413
15. Webber (Red Bull) 0'00''000
16. Räikkönen (Ferrari) 0'00''000
17. Fisichella (Force India) 1'27''207
18. Bourdais (Toro Rosso) 1'27''446
19. Sutil (Force India) 1'27''859
20. Sato (Super Aguri) 1'28''208
21. Piquet (Renault) 1'28''330
22. Davidson (Super Aguri) 1'29''059
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