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de plus en plus inutile


rahan

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Bon, il était temps que je fasse une concurrence effrénée à Sabercats. Depuis le temps que j'avais l'intention de faire le post le plus inutile et le plus chiant qu'il nous soit donné de voir sur un Forum. Il s'agit de taper au fil des doigts un certain nombre de choses absolument sans aucun intérêt, simplement, comme ça, au fur et à mesure que les idées se bousculent pour sortir de la boite cranienne, laquelle boite cranienne en regorge, s'il était nécessaire de le préciser.

Donc dans ce post on notera qu'il n'existe absolument aucun rapport entre les phrases qui se succèdent désespérément sur l'écran qui est devant vos yeux. Les concepts employés dans ce genre de correspondance se doivent de n'avoir strictement aucun rapport les uns avec les autres, et dans cette démarche on veillera à perpétuer la pratique de ce qu'on appelle communément sauter du coq à l'âne.

Pourquoi, me direz vous ? Parce que cette méthode des temps modernes que l'on utilise actuellement pour propager des idées de façon électronique présente l'immense avantage, par rapport aux méthodes traditionnelles, de ne gaspiller ni encre, ni papier...........juste de l'électricité qui pourrait servir, je sais pas, moi, à moudre du café, à se raser le matin, ou à recharger un vibro masseur.

Mais revenons à notre coq et à notre âne: sauter du coq à l'âne signifie simplement que l'on s'emploie à mélanger des termes qui n'ont absolument aucune raison de se cotoyer, simplement parce que j'ai oublié de remonter la sacoche de mon solex, ce qui explique pourquoi ma brosse à dents a été ingérée par le chat du curé qui descendait du toit de la maison du voisin que j'habite maintenant depuis 150 ans, surtout depuis qu'il a décidé de m'en refuser la vente; si j'avais su, j'aurais recousu le bouton de cette veste, ça m'aurait évité de voir un Airbus fracasser mon téléphone mobile, juste au moment ou je venais de prendre la décision de ne plus mettre de mayonnaise dans ma tasse de café.

Mais je vous laisse, il est temps pour moi de cliquer sur cette satanée touche "envoyer" parce que mon bain va déborder et la salle de bain ne va pas tarder à être inondée de sang, et comme bon sang ne saurait mentir, je m'en tire sans bon (de livraison)

Allez, à la prochaine et si par hasard vous en redemandez, n'hésitez pas à me le faire savoir, envoyez-moi un coup de frigidaire au 12-58-96-47-85-11-23-65-84-79-55-56-32-24, sans oublier l'indicatif 2225252, je me ferai un plaisir de...........qu'est-ce que j'étais en train de dire ?.......

J'ai perdu le fil.

Ah oui, c'était au sujet du lancement d'un concours qui aurait pour thème "le post le plus chiant et le plus inutile". Vous voyez que je sais où je vais, je vous entendais déjà me maudire, bande de p'tits salopiaux clindoeil
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Top Posters In This Topic

T'es trop MONsieur Rahan ! mais putain ça fait du bien de sourire !
Continue comme ça ! tu vas finir par l'avoir ta médaille en chocolat du saucisson Mireille !

Mais au fait, ça me fait penser que moi aussi j'ai oublié d'éteindre mon grille pain dans mon micro-ondes ! que ma brosse à dents s'en est allée faire un tour pour brosser les ratiches de mon radiateur et que vu ma gueule d'empeigne (à moustaches), elle est pas prête de réintégrer le grille pain en question !...........
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J'ai bien aimé ton post, qui soit dit en passant, n'est pas plus chiant que la culotte du zouave du pont de l'Alma un jour de temps merdique.
Tu as raison de préciser que cette débauche d'énergie verbale n'utilise en fait pas plus de courant que ma femme en pédalant dans la cave ne peut en produire.
Si tout les gars du monde pouvaient se donner la main, éh ben...............
on aurait tous les mains moites ! (cqfd) Revenons à nos moutons !
il parait d'ailleurs que le berger le plus connu et un certain Mr antoine de St Exupéry, lequel ne sait pas ranger ses affaires, étant donné qu'il a égaré sa gourmette et qu'un pêcheur marseillais l'a retrouvé dans ses filets ! f'rait mieux de ramener du poisson celui là ! vous imaginez une bouillabaise à la gourmette.
Bon j'arrête le délire, j'ai plus rien à fumer lol!

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Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Abandonné à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
Dès le premier épisode de la série, intitulé Le secret du soleil, dans lequel Rahan découvre rien moins que la rotondité de la Terre, les règles sont fixées :

« Puisqu’il n’a plus de clan, plus de horde, Rahan sera le fils de tous les clans de toutes les hordes ! Rahan ira partout, verra tout, apprendra tout ! Il révèlera aux uns ce que lui auront enseigné les autres ! »
Ainsi débute cette fameuse série, guidée par des principes de justice et de tolérance.
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bilou a écrit:
Les aventures de Rahan se déroulent aux temps lointains de la préhistoire, dans les jungles et les vallées profondes où rodent les bêtes féroces et les dangers de toutes sortes. Aux pieds du Mont bleu, un volcan éteint, le jeune Rahan coule des jours paisibles auprès de son père adoptif, Crao le sage qui lui enseigne l’amour et le respect de « ceux qui marchent debout ». Mais un beau jour le volcan se réveille, crachant sa lave et massacrant tous les membres de la horde. Juste avant de mourir, Crao n’a que le temps de transmettre au jeune Rahan son précieux collier de griffes dont chacune symbolise une qualité dont il devra faire preuve tout au long de son existence. Abandonné à lui-même, Rahan fait alors seul l’apprentissage de la vie, dans le respect des principes légués par son père, en mettant son intelligence au service de l'humanité. Dans cette quête, le coutelas d’ivoire qu’il a dérobé au chef du clan du lac lui est d’un précieux secours.
Dès le premier épisode de la série, intitulé Le secret du soleil, dans lequel Rahan découvre rien moins que la rotondité de la Terre, les règles sont fixées :

« Puisqu’il n’a plus de clan, plus de horde, Rahan sera le fils de tous les clans de toutes les hordes ! Rahan ira partout, verra tout, apprendra tout ! Il révèlera aux uns ce que lui auront enseigné les autres ! »
Ainsi débute cette fameuse série, guidée par des principes de justice et de tolérance.


affraid roo tu as fait ressurgir en moi tout un monde oublié...
alors voici un cadeau venu des temps lointains:
le disco des âges farouches!

http://www.generiques-tv.com/rahan-fils-des-ages-farouches-karaoke.html

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Aux dernières nouvelles, il n'est plus possible d'acheter les oeufs par packs de treize, les poules s'étant insurgées contre la prolifération des V-twins au cinquième étage des towers. Cela dit, tous les candidats à la présidence mesurent mal le taux d'inflation qui frappe le ballon rond, lequel n'a pas touché une goutte d'alcool depuis le début du match. Depuis cet incident, tout détail ayant trait aux vaches mérite d'être pris en compte avec la plus grande rigueur car de la vitesse de propagation des tondeuses à gazon dépend la nuance des coloris de la collection été 2007.

Qu'on se le dise
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Considérant la situation présente, il convient d’étudier toutes les solutions envisageables.Avec la conjoncture qui nous occupe, il faut examiner la majorité des problématiques s'offrant à nous; où que nous mène la crise qui est la nôtre, il est préférable de ne pas négliger toutes les voies de bon sens. Et eu égard à l'inertie induite, il serait intéressant de prendre en considération l'ensemble des alternatives prévues.
Boulet

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Peut-on parler pour ne rien dire ? scratch


S'il paraît donc possible de parler pour ne rien dire, il semble par contre plus difficile de rendre compte logiquement de cette possibilité : en effet parler, c'est utiliser sinon la parole, en tout cas un langage pour exprimer une idée ou un sentiment, et tout langage est un système de signes, ceux-ci étant constitués d'un signifiant et d'un signifié, de sons articulés ou de mots écrits qui renvoient de toute façon à un sens, à un contenu sémantique ou référentiel. On comprend alors que, d'après cette définition, on dit nécessairement quelque chose quand on parle, et que l'expression "parler pour ne rien dire" se ramène même, à la rigueur, à une contradiction dans les termes.
drunken

...à suivre ... Twisted Evil

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-
Quand j't'ai balancé le coup, on avait bien convenu de marcher fifty-fifty, hein ? 500 briques chacun ?


-
C'est pas inhumain d'entendre ça ! Mais qu'est-ce que tu veux que je fasse avec 500 briques hein ? Surtout de nous jours, le smic est en plein chancelique, la TVA nous suce le sang, la bourse se fait la malle. J'ai calculé j'en aurai à peine pour 5 piges. J'aurai 50 berges, tu voudrais tout de même pas que j'retourne au charbon à cet age-là non ? Tu serais pas vache avec les vieux des fois ?


J'avais oublié de citer Audiard
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ils sont fous c est gaulois ils sont fous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j e comprend pas toujours tous mais je vois quil y a bcp de gens cultivé sur ce forum !
a si seulement certaine personne pouvaient lire cé poste ils verraient que les bikers ne sont pas des bruts bete et mechante comme certaine idées recu !
bravo les poetes !! coolokbravo

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skynyrd a écrit:
ils sont fous c est gaulois ils sont fous !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

j e comprend pas toujours tous mais je vois quil y a bcp de gens cultivé sur ce forum !
a si seulement certaine personne pouvaient lire cé poste ils verraient que les bikers ne sont pas des bruts bete et mechante comme certaine idées recu !
bravo les poetes !! coolokbravo


si, si, des bruts de coffrage eclate
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bettyroad a écrit:
des bruts de DEcoffrage Gégé ! mais perso, je préfère le brut de pomme ! lol

Hé non miss ! les bruts de coffrage sont dans le batiment des planches non apprétées, non poncées bref natures pour faire le coffrage.
Brut de décoffrage s'utilise pour le béton qui a été "démoulés" et dont on n'a pas encore enlevé les bavures, ou alors tu voulais dire que nous ne sommes pas finis et plein de bavures scratchMr.Red
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gégé a écrit:
bettyroad a écrit:
des bruts de DEcoffrage Gégé ! mais perso, je préfère le brut de pomme ! lol

Hé non miss ! les bruts de coffrage sont dans le batiment des planches non apprétées, non poncées bref natures pour faire le coffrage.
Brut de décoffrage s'utilise pour le béton qui a été "démoulés" et dont on n'a pas encore enlevé les bavures, ou alors tu voulais dire que nous ne sommes pas finis et plein de bavures scratchMr.Red


Bin, tu m'l'as oté d'la bouche gégé ! eclate ......... voila la gueule des bavures !! chuis morte de rire !

XD, t'en veux?................tiens ! passe à ton voisin....sin.......... prisedetete
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A l'instant précis où je franchissai la porte d'entrée, dans le sens de la sortie bien sûr, -car dans le cas contraire c'eût été une rentrée-, un dinosaure, roulant en scooter sur le trottoir accrocha mes lunettes avec sa queue. C'était une paire de lunettes à laquelle je tenais beaucoup parce que j'avais passé une bonne paire d'heures à en démonter les verres afin de les rendre plus légères pour ne pas me blesser le nez; cette intervention les avait d'ailleurs rendu quasiment inefficaces, phénomène auquel je ne m'attendais pas.

Dépité par le manque de correction de l'animal responsable de cette mésaventure, je restai un moment figé, contemplant ma monture qui se tordait de douleur dans le caniveau; une des branches était tordue jusqu'à la limite de la cassure, tandis que l'autre agonisait en poussant des cris stridents dont je savais qu'ils resteraient encore longtemps gravés dans ma mémoire.

Dans la rue, des hélicoptères hagards s'empilaient les uns sur les autres dans un vacarme assourdissant, tandis que l'agent de police gesticulait au milieu du carrefour, essayant vainement de rétablir un semblant d'ordre dans le quartier, son képi devenu rouge de colère oscillant sur son crâne dénudé que je ne lui aurai emprunté pour rien au monde. Le spectacle devenait de plus en plus consternant dans ce quartier que j'habitai depuis maintenant près de 750 ans : les feux rouges clignotaient d'une lumière aveuglante de couleur violette, les vitrines des magasins se brisaient et se reconstituaient plusieurs fois par minute, vomissant et engloutissant des clients potentiels qui ne pouvaient plus passer par les portes; celles-ci avaient été soudées sur ordre du préfet depuis la mémorable manifestation des pandas du quartier voisin qui protestaient contre l'interdiction de porter des taches sur les yeux.

Je fus pris d'un violent refus de continuer à vivre de cette manière, avec ces incertitudes qui me rongeaient jour après jour, m'empêchant même de m'endormir tous les soirs dans mon lave-vaisselle bien douillet. Non, décidément, c'était hors de question. Je me devais de prendre une décision dont je pensais qu'elle changerait définitivement le cours de mon existence; mais avant toutes choses, il fallait à tout prix que je rattrape ce dinosaure mal élevé qui avait eu l'indélicatesse de tuer mes lunettes sans me demander mon autorisation; je savais qu'il roulait vers le Sud. Je partis donc à cloche-pied sur le trottoir, en direction du Nord, le point cardinal que j'avais perdu depuis des décennies.

...................à suivre
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Tient au fait ! en parlant de jeux de mots !! petite charade à tirroir ! (peut-être l'aurez vous déjà lu ailleurs, je me répète, mais je l'adore !!)

-Mon 1er est un vampire nécrophage
-Mon 2éme possède un animal
-Mon 3éme insultat l'armée Française
-Mon 4ème équivaut à une note de musique

-Mon tout est un ancien comptoir Français des Indes


Je vous laisse réflêchir !................
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Bon, vous avez reflêchi ? g été patiente sur ce coup ! vous voulez la réponse ?

C'est PONDICHERIE ! mais pq me direz vous ? et bien, j'asplique !

-Mon 1er est un vampire nécrophage.......c'est PON parce que pont suce pendu (pont suspendu).......

-Mon 2éme possède un animal ........ c'est DI parce que DI a bête (Diabète).........

-Mon 3éme insultat l'armée Française........... c'est CHE parce chéchia (CHE chiat) sur la tête d'un zouave..........

-Mon 4ème équivaut à une note de musique.......c'est RI parce que Rivoli, Livoni et Nivodo (NI vaut DO) ! (Rivoli, Lovini sont des ville Italiennes!)

CQFD ! et c'est signé Victor Hugo! excusez du peu ! lol
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At the precise moment where I crossed the door of entry, in the direction of the exit of course, - because in the contrary case it had been a re-entry -, a dinosaur, travelling in the scooter on the pavement hung my glasses with its tail. It was a pair of glasses to which I held much because I had passed a good pair of hours to dismount glasses of them in order to make them lighter not to wound me the nose; this intervention had made besides them almost ineffective, phenomenon which I did not expect. Depity by the lack of correction of the animal responsible for this mishap, I remained one solidified moment, contemplating my mounting which twisted pain in the gutter; one of the branches was twisted until the limit of the break, while the other failed by pushing strident cries of which I knew that they would remain engraved still a long time in my memory. In the street, helicopters hagards piled up the ones on the others in a deafening din, while the policeman gesticulait in the medium of the crossroads, vainly trying to restore a pretence of order in the district, its kepi become red of anger oscillating on its stripped cranium that I will have borrowed to him for nothing in the world. The spectacle became more and more dismaying in this district which I lived since now nearly 750 years: the red lights flickered of a light plugging of color violet, the windows of the stores broke and were reconstituted several times per minute, vomitting and absorbing prospective customers who could not pass any more by the doors; those had been welded onto order of the prefect since the memorable manifestation of the pandas of the close district which protested against prohibition to carry spots on the eyes. I was taken of a violent one refusal to continue to live in this manner, with these uncertainties which corroded me day after day, preventing me even from falling asleep every evening in my quite soft dishwasher. Not, definitely, it was out of question. I was to make a decision of which I thought that it would definitively change the course of my existence; but for all things, it was necessary at all costs that I catch up with this badly high dinosaur which had had indelicacy to kill my glasses without me to require my authorization; I knew that it rolled towards the South. I parties thus with bell-foot on the pavement, in direction of North, the cardinal point which I had lost since of the decades.
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Bob Du Gers a écrit:
At the precise moment where I crossed the door of entry, in the direction of the exit of course, - because in the contrary case it had been a re-entry -, a dinosaur, travelling in the scooter on the pavement hung my glasses with its tail. It was a pair of glasses to which I held much because I had passed a good pair of hours to dismount glasses of them in order to make them lighter not to wound me the nose; this intervention had made besides them almost ineffective, phenomenon which I did not expect. Depity by the lack of correction of the animal responsible for this mishap, I remained one solidified moment, contemplating my mounting which twisted pain in the gutter; one of the branches was twisted until the limit of the break, while the other failed by pushing strident cries of which I knew that they would remain engraved still a long time in my memory. In the street, helicopters hagards piled up the ones on the others in a deafening din, while the policeman gesticulait in the medium of the crossroads, vainly trying to restore a pretence of order in the district, its kepi become red of anger oscillating on its stripped cranium that I will have borrowed to him for nothing in the world. The spectacle became more and more dismaying in this district which I lived since now nearly 750 years: the red lights flickered of a light plugging of color violet, the windows of the stores broke and were reconstituted several times per minute, vomitting and absorbing prospective customers who could not pass any more by the doors; those had been welded onto order of the prefect since the memorable manifestation of the pandas of the close district which protested against prohibition to carry spots on the eyes. I was taken of a violent one refusal to continue to live in this manner, with these uncertainties which corroded me day after day, preventing me even from falling asleep every evening in my quite soft dishwasher. Not, definitely, it was out of question. I was to make a decision of which I thought that it would definitively change the course of my existence; but for all things, it was necessary at all costs that I catch up with this badly high dinosaur which had had indelicacy to kill my glasses without me to require my authorization; I knew that it rolled towards the South. I parties thus with bell-foot on the pavement, in direction of North, the cardinal point which I had lost since of the decades.



Je te mets dans la merde si je te demande la traduction ?

Je ne sais pas d'où tu sors çà, mais c'est bourré de fautes !
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rahan a écrit:
A l'instant précis où je franchissai la porte d'entrée, dans le sens de la sortie bien sûr, -car dans le cas contraire c'eût été une rentrée-, un dinosaure, roulant en scooter sur le trottoir accrocha mes lunettes avec sa queue. C'était une paire de lunettes à laquelle je tenais beaucoup parce que j'avais passé une bonne paire d'heures à en démonter les verres afin de les rendre plus légères pour ne pas me blesser le nez; cette intervention les avait d'ailleurs rendu quasiment inefficaces, phénomène auquel je ne m'attendais pas.

Dépité par le manque de correction de l'animal responsable de cette mésaventure, je restai un moment figé, contemplant ma monture qui se tordait de douleur dans le caniveau; une des branches était tordue jusqu'à la limite de la cassure, tandis que l'autre agonisait en poussant des cris stridents dont je savais qu'ils resteraient encore longtemps gravés dans ma mémoire.

Dans la rue, des hélicoptères hagards s'empilaient les uns sur les autres dans un vacarme assourdissant, tandis que l'agent de police gesticulait au milieu du carrefour, essayant vainement de rétablir un semblant d'ordre dans le quartier, son képi devenu rouge de colère oscillant sur son crâne dénudé que je ne lui aurai emprunté pour rien au monde. Le spectacle devenait de plus en plus consternant dans ce quartier que j'habitai depuis maintenant près de 750 ans : les feux rouges clignotaient d'une lumière aveuglante de couleur violette, les vitrines des magasins se brisaient et se reconstituaient plusieurs fois par minute, vomissant et engloutissant des clients potentiels qui ne pouvaient plus passer par les portes; celles-ci avaient été soudées sur ordre du préfet depuis la mémorable manifestation des pandas du quartier voisin qui protestaient contre l'interdiction de porter des taches sur les yeux.

Je fus pris d'un violent refus de continuer à vivre de cette manière, avec ces incertitudes qui me rongeaient jour après jour, m'empêchant même de m'endormir tous les soirs dans mon lave-vaisselle bien douillet. Non, décidément, c'était hors de question. Je me devais de prendre une décision dont je pensais qu'elle changerait définitivement le cours de mon existence; mais avant toutes choses, il fallait à tout prix que je rattrape ce dinosaure mal élevé qui avait eu l'indélicatesse de tuer mes lunettes sans me demander mon autorisation; je savais qu'il roulait vers le Sud. Je partis donc à cloche-pied sur le trottoir, en direction du Nord, le point cardinal que j'avais perdu depuis des décennies.

...................à suivre



voilà le teste d'origine

traduit par le traducteur "Free"
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En portugais

Ao momento preciso onde mim franchissai a porta de entrada, no sentido da saída certamente, - porque no caso contrário foi uma reentrada -, um dinossauro, rolante em "scooter" sobre o passeio pendurou as minhas lunetas com o seu rabo. Era um par de lunetas ao qual tinha muito parce que tivesse passado um bom par de horas a desmontar os vidros assim tornar-o mais ligeiro para não me ferir o nariz; esta intervenção tinha-o tornado noutro lugar quase ineficaz, fenómeno ao qual não me esperava. Dépité pela falta de correcção do animal responsável este mésaventure, permaneci um momento bloqueado, contemplando a minha montagem que se torcia de dor na goteira; um dos ramos era torcida até ao limite da fractura, tandis que o outro agonisait empurrando gritos stridents dos quais sabia que continuariam a ser ainda muito tempo gravados na minha memória. Na rua, dos helicópteros hagards empilaient os dias um sobre os outros em vacarme assourdissant, tandis que o agente de polícia gesticulait ao meio da encruzilhada, tentando em vão restabelecer um semblante de ordem no bairro, seu képi que tem-se tornado vermelho de cólera que oscila sobre o seu crânio desnudado a que não lhe terei emprestado para nada ao mundo. O espectáculo tornava-se mais mais consternando neste bairro que mim habitou desde agora perto de 750 anos: os fogos vermelhos cintilavam de uma luz que cega de cor violeta, as montras das lojas quebravam-se e reconstituiam-se várias vezes por minuto, vomissant e absorvendo clientes potenciais que não podiam mais passar pelas portas; estas tinham sido soldadas sobre ordem do prefeito desde a mémorable manifestação dos pandas do bairro vizinho que protestavam contra a proibição de levar manchas sobre os olhos. Fui tomada de uma violenta recusa de continuar a viver desta maneira, com estas incertezas que me corrmoíam dia após dia, impedindo-me mesmo adormecer-me todas as noites no meu lava-pratos bem delicado. Não, decididamente, era fora de pergunta. Devia tomar uma decisão da qual pensava que alteraria definitivamente o curso da minha existência; mas antes todas as de coisas, era necessário à qualquer preço que recupero este dinossauro mal elevado que tivesse tido indélicatesse de matar as minhas lunetas sem estar a interrogar-me a minha autorização; sabia que rolava para o Sul. Mim partidos por conseguinte à sino-pé sobre o passeio, em direcção do Norte, o ponto cardeal que tivesse perdido desde décadas.
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Bon, au moins, l'avantage de la nullité de ce genre de traducteurs informatiques nous garantit au moins que les vrais traducteurs humanoïdes ont encore de beaux jours devant eux et ne sont pas près de se retrouver au chômage.............

Ca m'arrange, d'ailleurs clindoeil

Pour le portugalois, je sais pas (bien que je sois persuadé que c'est un fisco linguistique), mais en ce qui concerne l'anglais, c'est à se pisser dessus, à condition de parler couramment le français; un anglais n'en comprendrait même pas les trois quarts prisedetete
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bettyroad a écrit:
Bon, vous avez reflêchi ? g été patiente sur ce coup ! vous voulez la réponse ?

C'est PONDICHERIE ! mais pq me direz vous ? et bien, j'asplique !

-Mon 1er est un vampire nécrophage.......c'est PON parce que pont suce pendu (pont suspendu).......

-Mon 2éme possède un animal ........ c'est DI parce que DI a bête (Diabète).........

-Mon 3éme insultat l'armée Française........... c'est CHE parce chéchia (CHE chiat) sur la tête d'un zouave..........

-Mon 4ème équivaut à une note de musique.......c'est RI parce que Rivoli, Livoni et Nivodo (NI vaut DO) ! (Rivoli, Lovini sont des ville Italiennes!)

CQFD ! et c'est signé Victor Hugo! excusez du peu ! lol


P'tin, celle-là, je la cherche depuis des années ! Et figure-toi que le père Hugo en a fait plein d'autres comme ça coolok
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...........................Mais ce mode de déplacement s’avéra très vite exténuant et je décidai de faire demi-tour, dans la perspective d’aller récupérer un des nombreux véhicules que je garais dans mon micro-ondes ; celui-ci restait d’ailleurs allumé en permanence, ce qui m’ évitait d’avoir à les faire chauffer avant de prendre la route.

Je choisis pour l’occasion une FXDLMIWST du millésime 1987. C’était un cheval équipé de ces fameux moteurs « Milwautwin »fabriqués il y a 300 ans dans une petite usine située quelque part dans le nord du territoire de l’ « empire-des-hommes-blancs-qui-veulent-soumettre-toute-la-planète », du temps où les humains à peau rouge n’ en avaient pas encore repris possession .

La technologie de cet engin était fort curieuse : il fallait, pour en assurer le fonctionnement, le remplir avec quelques litres d’un liquide à l’odeur nauséabonde, en prenant garde de ne pas allumer de cigarettes à cet instant précis ; la revue technique précisait d’ailleurs que « toute tentative d’allumer une flamme pendant le remplissage risquait d’entraîner des blessures mortelles, voire la mort » (Ca tombait bien d’ailleurs puisque je ne fumais plus depuis une trentaine d’années, le 14 Juillet 2257 exactement, date à laquelle j’avais également pris la décision de ne plus manger de pantoufles lyophilisées).Les enceintes acoustiques, de forme oblongue, placées à droite des pattes arrières diffusaient un son fort sympathique dont les fréquences graves rendaient jaloux les chevaux jaunes aux yeux bridés, eux-mêmes équipés de moteurs électriques dont la pseudo-puissance ne semblait se révéler qu’à partir de 24000 tours-minute.

Ma monture ronronnait depuis deux bonnes heures en direction du Sud, puisqu’une marmotte gothique rencontrée sur un rond-point m’avait révélé que si mon dinosaure contrevenant roulait dans cette direction, j’aurais plus vite fait de le rattraper de cette manière plutôt que par le Nord. En partant vers le Nord j’ eus été obligé de faire tout le tour de la planète pour le surprendre. Cette remarque semblait judicieuse, d’autant plus que la dite marmotte venait de passer son doctorat de géographie (c’est du moins ce qu’elle prétendait). Malgré tout, je n’étais pas sûr de ce calcul et je décidai de consulter le Ouaibe pour me conforter dans ma décision ; je scrutai donc l’écran de mon ordinateur les yeux fermés (puisque je n’avais plus de lunettes) et je découvris par la même occasion que cette manière de faire était beaucoup plus reposante pour ma rétine. Je ne tardai pas à tomber sur un site qui me confirma que cet itinéraire était le bon .

La tempête s’était calmée. Ce que j’avais pris pour une pluie d’hélicoptères n’était en fait qu’une averse de ventilateurs ; d’ailleurs, en cette canicule de décembre, elle était plutôt la bienvenue. Les routes étaient bien dégagées et je croisais peu de gens, hormis quelques pandas anarchistes juchés sur leurs grille-pains et probablement décidés d’en découdre avec le préfet qui les brimait depuis trop longtemps.

A suivre ……………
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Christine a écrit:
coolokcoolok
Vivement la suite !

ptite question quand même : tu ingurgites quoi pour pondre des trucs pareils ? scratch


Rien, je suppose que ça prend naissance dans un cerveau de quinqua qui s'accroche désespérément à l'enfance..........................ou alors, l'abus de Bordeaux peut-être drunken
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google a écrit:
Aucun document ne correspond aux termes de recherche spécifiés (FXDLMIWST).

Suggestions :
Vérifiez l’orthographe des termes de recherche.
Essayez d'autres mots.
Utilisez des mots plus généraux.




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pas encore sorti ? scratch
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rahan a écrit:
Christine a écrit:
coolokcoolok
Vivement la suite !

ptite question quand même : tu ingurgites quoi pour pondre des trucs pareils ? scratch


Rien, je suppose que ça prend naissance dans un cerveau de quinqua qui s'accroche désespérément à l'enfance..........................ou alors, l'abus de Bordeaux peut-être drunken


ou de l'herbe un peu trop forte...

Mr.Red
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Sabercats a écrit:
rahan a écrit:
Christine a écrit:
coolokcoolok
Vivement la suite !

ptite question quand même : tu ingurgites quoi pour pondre des trucs pareils ? scratch


Rien, je suppose que ça prend naissance dans un cerveau de quinqua qui s'accroche désespérément à l'enfance..........................ou alors, l'abus de Bordeaux peut-être drunken


ou de l'herbe un peu trop forte...

Mr.Red

un peu facile, monsieur Sabercats, je ne suis pas herbivore nana
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Domotarde a écrit:
使一个邮局无价值的原来的想法,什么将拿自由是能够在中国人中写你,和?à 自从我们在越来越较无价值的邮局中,将你的转到拆开你翻译翻译,最后y `任何东西

tout à fait d'accord!
respect
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pour ceux qui connaissent
ce matin le marchand de coco n'est pas passé et au lieu de se rendre à l'école tous les vieillards se sont amusés à casser des huitres sur le rebord du trottoir avec des démontes-pneus ....

et je décroche le téléphone et je regarde les postières par le trou de l'écouteur ...
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..................................................Soudain, alors que j’avais le tort d’avoir les yeux rivés sur mon thermomètre au lieu de regarder la route (il faut dire qu’à cette époque, un des conseillers du Roi avait pris en grippe tous les usagers de la voie publique et imposait d’énormes gabelles a ceux qui roulaient trop chaud), l’un des pandas, qui devait avoir dévié de sa voie, me percuta de plein fouet ; son grille-pain s’ était enroulé avec une violence inouïe autour de mon guidon ; je fus pris de panique à l’idée que la pauvre bête avait probablement succombé à cet épouvantable choc. Je descendis de ma monture, les jambes flageolantes à l’idée de faire désormais partie du clan des meurtriers. Les plaintes stridentes du grille-pain m’importaient peu, d’autant qu’il s’agissait d’une de ces innombrables cochonneries en plastique fabriquées en Orient par des ouvriers qui devaient se contenter d’ hypothétiques médailles du travail, à défaut de salaires décents.... le genre d’objets qui de toutes façons étaient fabriqués de manière à durer le moins longtemps possible, dans le seul but d’être vite remplacés, simplement pour faire fonctionner l’économie de croissance, cette panacée politico-économique dont on nous rebattait les oreilles à longueur d’antenne.

Mais mon panda !
Où donc était-il passé ?
Mort ?
Blessé ?
Ou pire encore, agonisant au fond d’un fossé ?
La réponse ne se fit pas attendre : à mes pieds, non loin de la béquille de mon cheval qui semblait s’enfoncer dans le bitume fondu à raison d’un centimètre par seconde brillaient deux taches noires ; il n’était pas loin, selon toute vraisemblance, mais ces taches ne constituaient pas une preuve de son bon état de santé.

Je me baissai pour ramasser les deux taches quand je sentis quelqu’un me tapoter sur l’épaule. « N’ayez crainte, j’ouvre l’oeil et le bon, je sais que c’est vous » Quelle ne fut pas ma surprise, en me retournant de voir que j’avais devant moi, me dépassant d’au moins trois têtes, un panda géant ;
« C’est moi qui quoi ? » bégayai-je, les jambes de plus en plus flageolantes.
- C’est vous qui cherchez à retrouver le tyrannosaure briseur de verre.
- Mais comment savez-vous ça ?
- Je vous ai entendu tout à l’heure vous lamenter sur le sort de vos lunettes. Voyez-vous, cet animal gagne une semaine de vie chaque fois qu’il casse un objet en verre et il sent sa mort prochaine parce que nos sociétés, de plus en plus, ont remplacé le verre par le plexiglas ; nous sommes en quelque sorte responsables de leur future extinction.

A suivre..........................





@ Pata: "Ton blues a déjanté sur son corps animal"
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