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rahan

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Bon, j'espère que je vous emmerde pas trop avec ce troisième épisode.Si ça gonfle, faut le dire, je ne serai pas vexé
J' en déduirai simplement que vous n' êtes que des iconoclastes !




@ Pata: Nous étions fossoyeurs d'un monde à l'agonie.
En ce temps-là, les gens s'appelaient citoyens. clindoeil
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...................................................J’étais pris de vertige......des dizaines de questions m’assaillaient : pourquoi ce panda, d’abord de taille normale, était devenu aussi grand ? était-ce le choc ? pourquoi n’avait-il pas la moindre trace de blessure sur sa fourrure ? d’où venaient donc ces taches que j’avais ramassées ? appartenaient-elles à un de ses congénères ? comment savait-il tant de choses sur les dinosaures, alors que la marmotte que j’avais croisée auparavant, et qui semblait cultivée au point de tout connaitre de ces animaux ne m’en avaient pas touché mot ? Et d’abord, pourquoi ce panda se mettait-il à parler ?

Oui, pourquoi parlait-il ?

C’est alors que je me rendis compte que, selon toute logique, si les marmottes parlaient, ce dont je ne m’étais pas étonné tout à l’heure, il n’y avait aucune raison pour que les pandas n’en fissent pas autant ; et peut-être même les tyrannosaures, après tout !

Cette perspective me tranquillisa : si je parvenais à retrouver mon briseur de lunettes, je pourrais peut-être dialoguer avec lui d’homme à dinosaure et nous pourrions parvenir à un compromis pour qu’il me dédommage, au lieu de l’idée que je me faisais d’avoir à payer à prix d’or un interprète pour traduire notre conversation. Je me pris à souhaiter qu’il ne soit pas violent au point de me mettre un marron avant même que j’aie ouvert la bouche ; après tout, ce genre d’animal n’est quand même pas réputé pour sa douceur. S’il devait s’avérer violent, je pourrais tout simplement changer mon fusil d’épaule en le remerciant mielleusement parce que grâce à son intervention j’ avais découvert la manière de ne plus m’agresser la rétine avec l’écran de mon ordinateur. Oui, ça c’était une idée, je venais de trouver deux approches possibles pour aborder mon interlocuteur. Reste qu’il me fallait le retrouver avant toute chose.

Mais comment m’y prendre ? Tandis que j’étais perdu dans mes réflexions, un phénomène troublant s’était produit : derrière le panda géant qui me faisait face, des centaines, des milliers de grille-pains étaient garés en ligne, et autant de pandas se tenaient debout, les bras croisés, affichant des regards suspicieux dans ma direction comme s’ils guettaient la moindre de mes réactions ; je percevais en même temps une sorte de murmure indéfinissable, comme celui qui se dégage d’une immense foule menaçante, prête à un lynchage en règle ; une épaisse fumée noire s’échappait des grille-pains, dont les moteurs n’avaient pas été coupés. Je savais par expérience que ces véhicules étaient réputés pour être ce qui se fait de plus polluant en matière d’émissions de co 2, oxyde d’azote et autres sympathiques gaz à effet de serre, et je savais aussi que je ne tarderais pas à être asphyxié si cet épais brouillard finissait pas m’atteindre.

C’est alors que le grand panda prit la parole : « Vous avez exactement une minute, et pas une seconde de plus »
-Une minute pour quoi faire ?
-Vous voyez comme moi qu’ils manifestent leur mécontentement, ils ne sont pas commodes, vous savez !
-Mais que me reprochent-ils ? J’ai toujours entretenu de bonnes relations avec votre espèce.
-Jusqu’à maintenant peut-être, mais vous venez de commettre une grave erreur, vous avez détruit mon grille-pain, je n’ai donc plus de moyen de locomotion, j’ai perdu mes deux taches par votre faute et j’ai changé de taille, par votre faute aussi.


........................à suivre
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Quelle pertinence pour la science synthétique ?

La science originelle.

On ne saurait reprocher à Leibniz son distributionnalisme génératif, néanmoins, il réfute l'expression spéculative de la science.
Si la science rationnelle est pensable, c'est il en particularise la réalité métaphysique dans sa conceptualisation tout en essayant de la resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Ainsi, on ne saurait reprocher à Chomsky sa contemporanéité morale et si la science irrationnelle est pensable, c'est tant il s'en approprie, par la même, la réalité substantialiste comme objet déductif de la connaissance.
La science tire, finalement, son origine de la contemporanéité rationnelle. Pourtant, il est indubitable qu'il examine l'origine de la science. Soulignons qu'il en décortique la réalité empirique en tant que concept subsémiotique de la connaissance, et d'une part Montague examine la destructuration générative de la science, d'autre part il en conteste l'aspect minimaliste en tant qu'objet substantialiste de la connaissance.
Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il rejette l'origine de la science, c'est également parce qu'il en spécifie la destructuration irrationnelle dans son acception transcendentale bien qu'il systématise la réalité primitive de la science, et la science ne peut être fondée que sur l'idée du nominalisme phénoménologique.
C'est le fait même qu'il interprète en effet le distributionnalisme minimaliste en tant que concept substantialiste de la connaissance qui nous permet d'affirmer qu'il s'en approprie la destructuration idéationnelle dans une perspective kantienne contrastée.
Par le même raisonnement, on pourrait mettre en doute Kierkegaard dans son approche empirique de la liberté afin de la resituer dans le cadre social et politique qui la caractérise.

Cependant, il caractérise l'immutabilité par son subjectivisme minimaliste. La science ne synthétise cependant qu'imprécisément le subjectivisme synthétique.
C'est ainsi que Henri Bergson spécifie l'origine de la science. Pourtant, il interprète la destructuration originelle de la science, et la science illustre d'ailleurs une liberté irrationnelle de la pensée individuelle.

En effet, il interprète l'analyse morale de la science, et la science tire son origine de la liberté rationnelle.
Ainsi, Descartes réfute la conception existentielle de la science. Premièrement il se dresse contre le planisme en tant qu'objet rationnel de la connaissance, deuxièmement il en caractérise l'aspect idéationnel dans sa conceptualisation. Par conséquent il identifie la conception générative de la science.
Il faut cependant contraster ce raisonnement car il particularise l'expression déductive de la science, et la science tire d'ailleurs son origine de la contemporanéité primitive.

C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme irrationnelle la science telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Leibniz. La formulation nietzschéenne de la science s'apparente cependant à une représentation post-initiatique de la contemporanéité transcendentale.
Le finitisme métaphysique ou le finitisme originel ne suffisent en effet pas à expliquer le finitisme en regard de la contemporanéité. C'est le fait même que Spinoza conteste la conception métaphysique de la science qui infirme l'hypothèse qu'il en conteste la réalité minimaliste en tant qu'objet génératif de la connaissance alors même qu'il désire le resituer dans toute sa dimension politique et sociale.
Il est alors évident qu'il systématise l'expression morale de la science. Soulignons qu'il en décortique la démystification rationnelle en regard du confusionnisme tout en essayant de le resituer dans sa dimension sociale, et la dimension chomskyenne de la science est d'ailleurs déterminée par une intuition empirique du nihilisme.

Prémisces de la science existentielle.

Montague postule que la classification chomskyenne de la science est déterminée par une intuition sémiotique du confusionnisme minimaliste. Le confusionnisme spéculatif ou le confusionnisme génératif ne suffisent en effet pas à expliquer le kantisme dans une perspective rousseauiste.
La science ne saurait, de ce fait, se comprendre autrement qu'à la lueur du kantisme empirique, et c'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme générative la science telle qu'elle est définie dans l'oeuvre de Hegel.
Le paradoxe illustre cependant l'idée selon laquelle le kantisme universel n'est ni plus ni moins qu'un kantisme primitif.
Ainsi, Hegel restructure le kantisme en tant que concept sémiotique de la connaissance. Il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il décortique l'origine de la science, et le paradoxe illustre l'idée selon laquelle le kantisme sémiotique et le kantisme post-initiatique ne sont ni plus ni moins qu'un kantisme métaphysique irrationnel.
Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Chomsky, le confusionnisme à un physicalisme.
La science illustre un physicalisme dans une perspective cartésienne contrastée, et de la même manière, on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Hegel sur le confusionnisme substantialiste.
Le confusionnisme irrationnel ou le confusionnisme ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer le physicalisme sémiotique dans son acception montagovienne.
Pourtant, il est indubitable que Montague interprète la destructuration morale de la science. Soulignons qu'il en interprète la destructuration minimaliste dans sa conceptualisation et la nomenclature kantienne de la science s'apparente donc à une intuition métaphysique du confusionnisme universel.

C'est ainsi qu'on peut reprocher à Kant son confusionnisme irrationnel, et la science ne se borne pas à être un physicalisme métaphysique dans son acception morale.
Avec la même sensibilité, Bergson réfute la destructuration morale de la science.
On ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du physicalisme, et si on ne peut contester l'impulsion spinozienne du physicalisme, Spinoza rejette pourtant le physicalisme en tant que concept sémiotique de la connaissance tout en essayant de l'opposer pourtant à son contexte politique et intellectuel et il en examine en effet la réalité existentielle dans son acception chomskyenne.
Le paradoxe de la continuité générative illustre ainsi l'idée selon laquelle le scientisme substantialiste et la continuité universelle ne sont ni plus ni moins qu'un scientisme irrationnel.
Il est alors évident qu'il identifie la conception originelle de la science. Il convient de souligner qu'il en conteste l'origine spéculative en regard du scientisme dans le but de prendre en considération le scientisme minimaliste.

Dans cette même perspective, il donne une signification particulière à la relation entre objectivité et scientisme, et on ne saurait reprocher à Bergson son scientisme déductif. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il conteste le scientisme en tant que concept post-initiatique de la connaissance.
Dans cette même perspective, on ne saurait reprocher à Kant son scientisme déductif, et on ne peut que s'étonner de voir Hegel critiquer la continuité morale, il est alors évident qu'il décortique la démystification synthétique de la science. Notons néansmoins qu'il en conteste l'origine irrationnelle comme objet rationnel de la connaissance bien qu'il envisage la démystification originelle de la science.
Nous savons qu'il identifie la relation entre nativisme et extratemporanéité, et d'autre part, il en caractérise la destructuration générative dans son acception sartrienne, c'est pourquoi il décortique l'origine de la science pour l'opposer à son contexte politique et intellectuel.
C'est avec une argumentation analogue qu'il rejette l'analyse primitive de la science pour l'opposer à son contexte intellectuel et politique.
Finalement, la science ne synthétise qu'imprécisément le suicide primitif.

Contrastons cependant cette affirmation : s'il réfute la relation entre subjectivisme et immutabilité, il faut également souligner qu'il en particularise la réalité générative dans une perspective bergsonienne, car la science illustre un causalisme génératif de la société.
En effet, Chomsky s'approprie l'origine de la science. Pourtant, il est indubitable qu'il interprète l'origine de la science. Il convient de souligner qu'il en systématise la réalité métaphysique comme concept génératif de la connaissance tout en essayant de l'analyser selon le suicide post-initiatique, et cette problématique nous permet d'ailleurs d'appréhender un suicide post-initiatique sous un angle spéculatif.

Vers une théorie de la science rationnelle.

Le suicide ou le suicide ne suffisent pas à expliquer le suicide substantialiste comme concept spéculatif de la connaissance.
La science ne se comprend, de ce fait, qu'à la lueur du suicide sémiotique, et cela nous permet d'envisager qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion kierkegaardienne du causalisme.
Le paradoxe du suicide illustre cependant l'idée selon laquelle le suicide minimaliste et le suicide spéculatif ne sont ni plus ni moins qu'un causalisme génératif substantialiste.
Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Montague son suicide moral. Cependant, Montague restructure l'origine de la science, et notre hypothèse de départ est la suivante : la science ne se comprend qu'à la lueur du suicide déductif. C'est alors tout naturellement qu'il s'approprie la démystification sémiotique de la science.
En effet, il interprète la relation entre continuité et maximalisme, et on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, la géométrie à une géométrie universelle, pourtant, il est indubitable qu'il réfute la destructuration phénoménologique de la science. Soulignons qu'il en conteste la démystification transcendentale en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance.
Par le même raisonnement, il rejette la réalité morale de la science pour la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
Finalement, la science s'appuie sur une géométrie minimaliste de la pensée sociale.

Contrastons cependant ce raisonnement : s'il examine la conception empirique de la science, c'est également parce qu'il en systématise l'expression rationnelle dans sa conceptualisation, car si la science circonstancielle est pensable, c'est tant il en spécifie l'aspect subsémiotique dans son acception morale alors qu'il prétend la considérer selon la passion idéationnelle.
De la même manière, il particularise l'analyse minimaliste de la science, et on ne saurait ignorer l'influence de Kant sur l'essentialisme originel, il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il interprète la réalité synthétique de la science.
De la même manière, on peut reprocher à Montague sa passion minimaliste pour prendre en considération la passion circonstancielle.
On ne peut, pour conclure, contester la critique kierkegaardienne de l'essentialisme.

En effet, on ne peut que s'étonner de la manière dont Montague critique la passion universelle. On ne saurait pourtant assimiler, comme le fait Chomsky, la passion à une passion, pourtant, il est indubitable qu'il envisage la réalité minimaliste de la science. Il convient de souligner qu'il en rejette la destructuration minimaliste sous un angle irrationnel.
Le fait qu'il décortique la relation entre innéisme et suicide signifie qu'il s'en approprie la démystification spéculative comme concept originel de la connaissance.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait ignorer l'impulsion nietzschéenne de la passion transcendentale et d'une part Spinoza se dresse contre l'origine de la science, d'autre part il en donne une signification selon l'aspect existentiel sous un angle substantialiste.
On ne peut, pour conclure, contester l'impulsion montagovienne de la passion.

Ainsi, Henri Bergson particularise la passion comme objet métaphysique de la connaissance alors qu'il prétend le considérer selon la passion, car on peut reprocher à Spinoza son essentialisme existentiel, contrastons cependant ce raisonnement : s'il s'approprie la conception substantialiste de la science, c'est aussi parce qu'il en caractérise la destructuration minimaliste dans une perspective bergsonienne contrastée.
Dans cette même perspective, il conteste la conception minimaliste de la science et on ne peut donc que s'étonner de la manière dont Montague critique le primitivisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il donne une signification particulière à la réalité existentielle de la science.
La science ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur du dogmatisme irrationnel.
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-Pour votre grille-pain, je peux demander à mon assurance de vous le rembourser, vous serez indemnisé d’ici un mois, le temps pour l’expertise d’être effectuée et………… en ce qui concerne vos taches, je les ai ramassées et je n’ai pas l’intention de vous les voler ! Tenez d’ailleurs, les voici !

Trop tard, répondit le panda en consultant son diapason, la minute est écoulée, le « LA » va retentir et vous n’avez encore rien fait pour réparer votre délit. Mais comme je n’ai pas mauvais fond, je vais vous donner une occasion de vous racheter : Vous allez attraper votre guitare et chanter « sweet home Alabama ». C’est une chanson qu’ils adorent, ça les calme et plus ils sont calmes, plus je suis indulgent.

« Mais vous voyez bien que je n’ ai pas de guitare sur moi » répliquai-je sur un ton qui dénotait une irritation que je pouvais difficilement contenir. Ce panda et ses acolytes commençaient sérieusement à m’agacer avec leurs coutumes et leur comportement. Le ton se fit plus insistant, plus agressif :

-Vous n’avez qu’à prendre la mienne, elle est rangée dans le tiroir bleu de mon grille-pain. Mais d’abord, il va falloir le dérouler, il est autour de votre guidon.

Je ne me le fis pas dire deux fois ; la situation devenait de plus en plus inquiétante et je sentais qu’il était dans mon intérêt de montrer la meilleure des volontés. Je m’efforçai donc de dérouler de mon guidon, millimètre par millimètre, le grille-pain à l’origine de cette mésaventure abracadabrante. Et plus je tirai sur l’objet, plus les murmures de mécontentement s’amplifiaient au point de devenir assourdissants. La chaleur se faisait de plus en plus insoutenable. Fort heureusement, des millions de ventilateurs continuaient de dégringoler de la voûte céleste, s’écrasant sur le bitume dans un atroce vacarme de cris de douleur, mais apportant au moins un peu de fraîcheur à l’atmosphère; cette averse, loin de calmer la mauvaise humeur des pandas, était quand même providentielle pour moi car elle contribuait sûrement à détourner leur attention de ma personne ; c’est du moins ce dont je tentais de me persuader.

Après quelques minutes de manipulations délicates qui me parurent une éternité, je parvins à extraire délicatement la guitare de son tiroir. C’était une guitare comme on en fabriquait dans des temps très reculés. A cette époque, la Terre était recouverte de personnages étranges, inanimés, que nos ancêtres avaient baptisés d’un nom qui sonnait bizarrement : ARBRES. Ils avaient pour coutume de chasser ces êtres en leur coupant les pieds avec des scies mécaniques sans même avoir pris soin de les anesthésier, après quoi ils les dépeçaient pour en extraire une matière qu’ ils faisaient sécher pour fabriquer divers objets. Les fabricants d’instruments de musique prétendent que les guitares fabriquées dans ce matériau étaient infiniment supérieures à celles que l’on trouve actuellement dans le commerce ; j’avais de la chance dans mon malheur, j’allais pouvoir essayer cet objet précieux venu du fond des âges………….

Big wheels keep on turning
Carry me home to see my kin
Singing songs about the southland
I miss alabamy once again

C’était un instant magique ! Dès les premières mesures, il semblait souffler sur le site un vent d’apaisement ; la fumée noire qui se dégageait des grille-pains s’estompait, comme happée par ceux-ci ; les pandas s’asseyaient les uns après les autres, visiblement subjugués par ma voix et par le son cristallin de cette guitare qui semblait jouer toute seule sous mes doigts pourtant paralysés au départ par l’ inquiétude que m’inspirait la situation.

Sweet home Alabama

……………………………………

Je n’eus pas besoin de continuer ; le spectacle qui s’offrait à mes yeux était ahurissant : Des milliers de pandas, assis sur leur derrière, chantaient le refrain à tue-tête en marquant le rythme de leurs pattes antérieures ; c’était presque une grand messe ; dans un ensemble parfait, une seule et même voix emplissait l’atmosphère :

Where the skies are so blue
Sweet home Alabama
Lord, I’ m coming home to you

Je continuai malgré tout à faire tourner en boucle les trois accords de cette chanson, sur cette guitare dont le son était véritablement envoûtant..........
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rahan a écrit:
Des milliers de pandas, assis sur leur derrière, chantaient le refrain à tue-tête en marquant le rythme de leurs pattes antérieures ; c’était presque une grand messe ; dans un ensemble parfait, une seule et même voix emplissait l’atmosphère :

Where the skies are so blue
Sweet home Alabama
Lord, I’ m coming home to you

......



j' aurais vraiment voulu etre là !!!
j' ai encore raté un grand moment oubli

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me voici rendu chez moi après une nuit de traque dans la lande enlluminée(pleine lune oblige)mais très rocailleuse...les proies se font de plus en plus rares...les humains se méfient et s'enferment quand apparait l'astre lumineux...
une nuit de traque vaine...je rentre chez moi les pattes en sang, la fourrure couverte de boue et fichée d'épillets...la poisse ces épillets!
en chemin faisant je rencontrais un elfe:
"hiriledhel...petite soeurette...enfin une créature issue du Loup encore vivante...
je suis wolfen...mon père est ce puissant Vampire et ma mère...Sa Louve Blanche...
mais contrairement à toi, la viande n'est pas mon mets préféré! moi ce que je préfère...ce sont les âmes humaines...et leurs sanglots...
si des questions tu te poses...alors parle-moi...je suis l'Ancienne et pourrais te répondre...
nous autres lycans sont les défenseurs de gaïa, notre mère à tous...et nous nous devons de la protéger des massacres des humains...pollutions, déforestations...etc...
hélàs, bien peu de moyens sont mis à notre disposition! alors par les écrits, les poèmes et autres messages en tout genre...à défaut de meurtres...nous essayons de rendre belle cette planête qui pourrit lentement...
heureuse de savoir que je ne suis plus tout à fait seule...
et merci de m'avoir accompagnée sur ce bout de chemin...
tendres morsures pour toi..."
après l'avoir quitté au détour d'un chemin je repris ma route; plus lasse que jamais...
mais je me souviens de ce lieu que vous apelez "la terrasse"...
un havre de paix?
tentons une approche...

"bonjour à toutes et tous.....

je me prénomme wolfen...loup-garou vieillissant et sans âge...dans ma vie de mortelle, un corps de femme me représente et me porte depuis longtemps déjà...
j'erre depuis une éternité à la recherche de mes frêres de race mais sans résultats...
c'est dans ma croisade que m'est apparue votre terrasse...
je viens à vous en amie...je laisse ma Haine, ma Rage et mon Désespoir au fond de ce bois maudit qu'est ma pénitence pour vous rejoindre...ne me rejettez pas...

laissez moi juste apprécier un peu de cette chaleur qui émane de votre terrasse...faites comme si je n'existais pas...il est agréable des fois de n'effrayer personne...
je saurais être silencieuse le temps qu'il faudra...
je saurai vous narrer mon histoire...l'histoire de mon père qui fut ce grand Maître Vampire...et l'histoire de ma mère...Sa Louve Blanche...qui est morte de l'avoir trop Aimé...

mais j'ai beaucoup parlé...je me tais à présent...mais je vous en conjure...ne me rejettez pas sans me connaitre...
je m'éclipse à présent comme je suis venue...en silence...mais je reviendrais vous voir...
si vous voulez de moi au sein de votre terrasse...
merci de m'avoir lue...
wolfen...the only werewolf riding HD...(ben oui je roule harley...quelle autre monture pour un loup-garou? "

présentations que j'aurai du faire plus tot...
à présent ma tanière est proche...
les rêves de la nuit se sont enfuis et la haine est dissoute...
encore quelques mêtres et je serai à l'abri...

merci encore à vous de m'avoir lue...
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mick a écrit:
m en fout j ai des balles en argent nana

quand mon père a vu l'enfant qu'il engendra avec sa louve...il tenta de m'abattre mais rien n'y fit...la balle d'argent n'est pas pour moi...
je lui ai survécut...
mais je suis sur votre terrasse en amie...
et vous n'avez rien à craindre... clindoeil
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patatrike a écrit:
si la possibilité un jour m'en était donnée, j'aimerais bien devenir un loup-garou ...
oui, cela m'aurait bien plu ....

wolfen

tu sais...wolfen est un état d'esprit plus qu'autre chose...
disons que j'ai autorisé à sortir le coté mauvais que chacun porte en nous...
mais je fais le bien plus que le mal...
je suis là pour servir ceux qui ont besoin de moi au grand détriment de ma vie propre...
je vois avec les yeux du loup, entend avec les oreilles du loup et ressens avec le ressenti du loup...mais je suis aussi et avant tout humaine et c'est ce qui causera ma perte...
je reconnais aussi me nourrir des âmes des mortels...écouter leurs peurs et leurs faiblesse me comble !
une grande part d'érotisme "soft" aussi dans tout ça...
et puis plein d'autres choses que les mortels m'apportent...que je ne citerai pas ici!!
nana
et puis toujours et encore cette insuportable solitude de l'âme...
je cherche depuis longtemps des personnes comme moi...
mais n'en trouve pas...
oh si! des affabulateurs car la mode du jour est au loup en ce moment donc tout le monde se prend pour un loup...mais ils sont tous faux...vides...sans âmes...
et dès que tu grattes un peu la surface (pas besoin de gratter profond) tu ne trouves que la bétise et l'ignorance doublée d'hypocrisie...
alors tu me dis que tu aimerai bien toi aussi des fois être un loup-garou???
pourquoi pas...si tu es prêtes à assumer le regard des autres (car g le look que je me suis choisi mais qui fais de moi encore plus qu'une paria), si tu es prêtes à assumer cette solitude de l'âme et une grande part d'abnégation dans tes choix...
alors je serai là pour t'aider...
car rien ne me ferait plus plaisir que d'avoir une compagne ou un compagnon de route...quelqu'un d'intègre dans ses idéaux qui ne retourne pas sa veste au moindre changement d'air...
mais c'est dur tu sais...d'être un loup-garou à une époque ou la civilisation moderne prime et où le paraitre et la connerie sont les leit-motiv de tout un chacun...
il faut réfléchir différement, penser différement et ne pas se dévoiler devant les incultes et les ignares qui peuplent cette planête car nous sommes toujours chassés...nous avons été le pire cauchemard de l'humanité des siècles durant...et si nous sommes forts...nous le serons encore pour les siècles à venir...à condition d'être prudents...
voilà pour ce que je pense de ton désir d'être, toi aussi...un loup-garou...
maintenant si tu te sens le courage...alors je serai là pour toi...car je tiens ça de mon "père" (et l'histoire pourtant si triste est vraie)je suis un loup-garou psychique...je suis là pour aider et accompagner les gens qui en valent le coup...
j'ai beaucoup parlé ce soir...il est temps pour moi de me retirer...la lune est encore pleine pour quelques jours et le devoir m'appelle!

passez tous une bonne soirée et guettez les bruits de la nuit...le hurlement de tristesse et de rage du garou se répercute de monts en monts par les nuits de pleine lune...
et si vous tendez l'oreille...
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bettyroad a écrit:
Rahan, la suite, j'y tiens pu mouahhhhhhh !!


Suis en train d'écrire la suite, mais j'ai pas trop forcé ces derniers temps, peut-être aussi parce que je me suis rendu compte que ce n'était pas beaucoup visité (est-ce vraiment grave d'ailleurs ? question )
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Loup des prairies
Canis latrans ?
Coyote

De la famille des canidés comme le loup et le chien domestique (berger allemand), le coyote ressemble étonnamment à ses deux cousins. Il est certes moins costaud que le loup mais plus rapide et excellent sauteur.
Son ouïe remarquable compense pour sa vue faible qui le rend malhabile à percevoir une proie ou un objet immobile.

Contrairement au loup, le coyote a une remarquable capacité d'adaptation à une grande variété de milieux. Cependant, il montre une préférence marquée pour les prairies et les régions montagneuses, les petits boisés, les clairières garnies de buissons et les régions agricoles.

Sa tanière comporte un espace intérieur d'environ 2m à près d'un mètre de profondeur dans le sol ............... Parfois, elle est tout simplement aménagée sous un gros tronc d'arbre creux, dans une fente élargie d'un rocher ou dans un bâtiment abandonné, mais toujours dans un endroit à l'abri des regards indiscrets. Et de plus, la femelle repère plusieurs autres cachettes où elle et sa petite famille pourront trouver refuge en cas de danger.

Actif toute l'année, le coyote est un animal nocturne, empruntant le plus souvent les mêmes sentiers année après année. Il va la queue basse, d'un trot alerte ou même au galop. Silencieux le jour, son cri aigu, un mélange d'aboiements et de hurlements, déchire la nuit et peut être entendu au loin. Le cri d'un premier coyote entraîne le reste de la meute dans un concert étonnant. Son répertoire vocal s'enrichit aussi de grognements, de gémissements et de glapissements.

Parmi les canidés sauvages, c’est le coyote qui a su le mieux s’adapter aux persécutions humaines. Non seulement, il n’a pas été éradiqué de l’ouest des Etats-Unis mais il a élargi son aire de répartition.
Aujourd’hui, on peut trouver le coyote de l’Alaska jusqu’au Costa Rica. Sur les territoires du nord de l’Amérique, depuis l’élimination systématique du loup, le coyote est devenu le chien sauvage le plus répandu.

ou


Lorsqu' on se sent plus fier dans la peau d' un animal ( animal - toem , disaient les indiens ) parce qu' on y retrouve plus de points communs dans ses comportements .... plus de points communs qu' avec cette race devastatrice , qui veut absolument tout coloniser , tout posseder pour avoir le luxe de detruire ce qui leur appartient comme un gosse qui casserait ses jouets parce qu' il n' en veut plus , parce qu' un nouveau modele est sorti . Ce besoin de se battre sans raison valable , peut etre pour le plaisir de faire mal , de blesser , afin de se sentir plus fort , ou plus riche , plus ..... hideux surtout et il m' arrive d' avoir honte d' etre né sous cette apparence quand je vois ce que font mes congénères sans se soucier de ce que sera l' avenir de leur progeniture .

Ce qui me rend vraiment honteux , c' est de m' entendre dire que je n' ai pas vraiment le choix que de me plier à ces règles , à vos règles créées par on ne sait qui , qui font partie de nos habitudes , de nos manières de faire ....

M' enfuir ? et où ? où trouverais je un endroit qui me permettrai de vivre ma tranquilité , où y a t il un endroit dans lequel je ne croiserai pas un de mes congénères qui m' empecherai de me rapprocher de mon côté animal originel ?

cette race me fait peur : les humains !

Une virée nocturne , Wolfen ?

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on est en période sans lune ... l'humain récupère afin de mieux s'éloigner lors de la prochaine pleine lune ...

je pense qu'il s'agit plus de fascination pour ma part ...

j'ai lu wolfen en pleurant, je l'ai regardé en silence et je le regarde encore et encore quand il repasse ... j'ai aimé cette série qui passait très tard : "wolfen lake" ... et j'allais me coucher en me disant : et si seulement !!!!

mon animal totem d'après les horoscopes en ma possession est le hibou (ou la chouette comme on veut) avant de le savoir, je les collectionnais et j'en ai une tatoué sur le bras avec une indienne ... et depuis que je le sais, je n'en ai plus acheté ... mon indien lui est loup ...
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patatrike a écrit:

j'ai lu wolfen en pleurant,

le livre est beau...je sais qu'ils existent car comment pourrait-il en être autrement?
ma quête ne peut rester vaine...

merci jeff pour ton texte, il me tient particulièrement à coeur même si nous ne sommes que des cousins éloignés! toi l'oportuniste qui survit ma foi relativement bien, et moi, le paria solitaire...

heureusement un même gout commun rapproche tous ces êtres qui sans le savoir ont beaucoup de similitudes et ce lien est la Belle du Milwhakee...sauvage et rebelle, elle nous permet de franchir d'autres territoires...et parmi eux se trouvent les territoires de l'ombre, propices aux escapades nocturnes, libre dans sa tête...
et c'est cela qui a un vrai sens aujourd'hui...rester libre dans sa tête malgrès ce que ça coute...
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rahan a écrit:
Suis en train d'écrire la suite, mais j'ai pas trop forcé ces derniers temps, peut-être aussi parce que je me suis rendu compte que ce n'était pas beaucoup visité (est-ce vraiment grave d'ailleurs ? question )[/color]

tinkiète pas rahan, homme des âges farouches! pour ma part je lis ce que tu écrit comme je lis ce que tous vous écrivez...
quand on sait se servir d'un crayon ou d'un clavier ou peu importe l'ustensile! et quand on a envie d'écrire...il faut le faire même si on a peur des fois d'être ridicule...
quand on a l'imagination pour, et ben il ne faut pas s'aréter!
coolok
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……………………mes doigts, se déliant de plus en plus au fur et à mesure que l’ambiance s’échauffait, sautaient de corde en corde sans que je parvienne à les contrôler ; le grand panda se pencha vers moi avec un sourire complice, ramassa ses taches dont il n’avait pas voulu quelques minutes auparavant, et les replaça méticuleusement sur ses orbites.

C’est alors qu’un phénomène incroyable se produisit instantanément : il reprit sa taille normale, me fit un signe de la main, et tourna les talons en laissant tomber de ses poches des milliers de notes de musique ; celles-ci, après s’être longuement tortillé sur le bitume, commencèrent à s’aligner les unes à côté des autres et à grimper sur son dos.

Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre que si je ne venais pas à leur secours, elles ne parviendraient pas à s’organiser correctement : il leur manquait tout simplement une portée ; je n’en avais pas sur moi, pour la bonne raison qu’il est parfaitement illogique de se promener avec une portée vide, surtout quand on poursuit un dinosaure et que l’on ne dispose pas d’une feuille de papier ; je détachai donc soigneusement les cordes de la guitare pour en faire des lignes et les appliquai une à une sur le dos du panda; immédiatement, les notes se disposèrent dans l’ordre, formant une partition; comme je n’ai jamais reçu de formation musicale classique, j’étais bien entendu incapable de la déchiffrer et, de toutes façons, la guitare que je tenais dans les mains était devenue inopérante puisqu’il ne lui restait plus qu’une corde ; inutile donc de recommencer à jouer. D’ailleurs les pandas, n’ayant plus d’accompagnement pour les soutenir. avaient cessé de chanter.

Quelques secondes plus tard, la nuit tomba violemment, dans un vacarme assourdissant, et je restai planté là tout seul, au milieu de nulle part ; le sol était jonché de ventilateurs morts qui se recyclaient les uns après les autres en téléphones mobiles; rien d’alarmant d’ailleurs, c’était un phénomène nocturne courant dans cette région. Le plus difficile était de ne pas les écraser ; pas évident, car il me fallait continuer à marcher vers le Sud, toujours dans le but de retrouver mon dinosaure, et comme ce tapis entravait ma progression, j’étais obligé de traîner les pieds; pour corser le tout, et parce qu’une situation ne peut jamais être simple, certains téléphones bondissaient en l’air violemment, me contraignant à bouger la tête dans tous les sens pour les esquiver: ceux qui ont déjà reçu un coup de téléphone savent de quoi je parle, certains sont très douloureux……




……à suivre
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wolfen a écrit:
mais où tu vas chercher tout ça toi???? scratch


Probablement le même monde que le tien: un monde inaccessible à tous les:

- cartésiens
- envieux
- vénaux
- calculateurs
- paranos
- "censés"
- censeurs
- "raisonnables"
- "réalistes"
- "sérieux"
- "séducteurs" à l'esprit réducteur
- "scientifiques" de tout poil et amateurs de poncifes et de préjugés
- manipulateurs en tout genre
- philosophes de bistrot
- moralisateurs chroniques
- statisticiens imbus
- politiciens planificateurs
- bien-pensants
- .............la liste est longue..........malheureusement clindoeil
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Picvert noir a écrit:
Ca va les chevilles????? Jean m'en parlait tout à l'heure en mp.


Pourquoi, tu te sens faire partie de cette liste ? Moi, j'avais pas l'impression que tu en étais, à priori question
Et pourquoi Jean te parle-t-il de ses chevilles ? drunken
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rahan a écrit:
wolfen a écrit:
mais où tu vas chercher tout ça toi???? scratch


Probablement le même monde que le tien: un monde inaccessible à tous les:

- cartésiens
- envieux
- vénaux
- calculateurs
- paranos
- "censés"
- censeurs
- "raisonnables"
- "réalistes"
- "sérieux"
- "séducteurs" à l'esprit réducteur
- "scientifiques" de tout poil et amateurs de poncifes et de préjugés
- manipulateurs en tout genre
- philosophes de bistrot
- moralisateurs chroniques
- statisticiens imbus
- politiciens planificateurs
- bien-pensants
- .............la liste est longue..........malheureusement clindoeil


c'était une boutade...
je ne demandais pas d'explication...
j'essayais juste de faire une auto- dérision!
pour faire rire ceux qui ne se sentaient pas concernés!
study
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gégé a écrit:
@ Rahan: je te conseille de lire "Le gouffre de la lune" d'Abraham Merrit
je suis sûr que cela te plairait drunken


Tu peux résumer en gros ? J'ai pas énormément de temps mais si tu penses que ça m'intéresserait, je pourrais faire un geste drunken
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rahan a écrit:
gégé a écrit:
@ Rahan: je te conseille de lire "Le gouffre de la lune" d'Abraham Merrit
je suis sûr que cela te plairait drunken


Tu peux résumer en gros ? J'ai pas énormément de temps mais si tu penses que ça m'intéresserait, je pourrais faire un geste drunken


Abraham MERRITT (USA, 1884-1943)
(Bibliographie)

--------------------------------------------------------------------------------
Publiant son premier texte en 1917, Abraham Merritt fait partie, au même titre que Lovecraft ou Howard, des grands anciens de la science-fiction qui firent les beaux jours des revues weird tales et amazing stories au début des années 20. De fait, la science-fiction de Merritt reste toujours très proche d'une veine fantastique et tourne assez souvent autour du thème des civilisations disparues et de leur exploration par un groupe d'aventuriers.
Abraham Merritt connût un énorme succès dans les années 30 et reste l'un des rares auteurs de cette époque à être encore lu de nos jours. Ses oeuvres sont cependant à réserver aux amateurs d'aventures épiques et magiques dans les contrées fantastiques.
--------------------------------------------------------------------------------

BIBLIOGRAPHIE
Romans :

Le gouffre de la lune (Moon pool, 1919), éditions J'AI LU
Le monstre de métal (The metal monster, 1920), éditions Néo
La nef d'Ishtar (The ship of Ishtar, 1926), éditions J'AI LU
Sept pas vers Satan (Seven footprints to Satan, 1927), éditions Neo
Le visage dans l'abîme (The face in the abyss, 1931), éditions J'AI LU
Les habitants du mirage (Dwellers in the mirage, 1932), éditions J'AI LU
Brûle sorcière, brûle (Burn, witch, burn !, 1933), éditions Néo
Rampe, ombre, rampe (Creep, shadow !, 1934), éditions Néo
La femme-renard (The fox woman, 1949), éditions Néo


Edition livre de poche en France
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Je tiens à préciser (s'il était nécessaire) que cette liste, que j'ai voulue précise (pardon si elle ne l'est pas) n'inclue aucune des personnes de ce forum, autant que je puisse les connaitre au travers des messages qu'ils postent.

J'apprécie toutes les individualités qui gravitent sur la Terrasse, toutes différentes mais ayant néanmoins un point commun (à ce qu'il me semble, en espérant ne pas me tromper), à savoir:

un certain amour des choses vraies, en même temps qu'un certain dégoût du futile et des faux culs bardés d'arrogance qui mènent le monde, ou croient le mener (ceux-là même que j'ai fustigés dans ma réponse à Wolfen)

Chez moi, il n'y a pas de double sens, lorsque j'ai quelque chose à dire, soyez rassurés, je le dis noir sur blanc.

Je ferme cette parenthèse destinée à dissiper d'éventuels malentendus question et je retourne à mes délires Terrassiens séance tenante
BECAUSE THE SHOW MUST GO ON
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gégé a écrit:
rahan a écrit:
gégé a écrit:
@ Rahan: je te conseille de lire "Le gouffre de la lune" d'Abraham Merrit
je suis sûr que cela te plairait drunken


Tu peux résumer en gros ? J'ai pas énormément de temps mais si tu penses que ça m'intéresserait, je pourrais faire un geste drunken


Abraham MERRITT (USA, 1884-1943)
(Bibliographie)

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Publiant son premier texte en 1917, Abraham Merritt fait partie, au même titre que Lovecraft ou Howard, des grands anciens de la science-fiction qui firent les beaux jours des revues weird tales et amazing stories au début des années 20. De fait, la science-fiction de Merritt reste toujours très proche d'une veine fantastique et tourne assez souvent autour du thème des civilisations disparues et de leur exploration par un groupe d'aventuriers.
Abraham Merritt connût un énorme succès dans les années 30 et reste l'un des rares auteurs de cette époque à être encore lu de nos jours. Ses oeuvres sont cependant à réserver aux amateurs d'aventures épiques et magiques dans les contrées fantastiques.
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BIBLIOGRAPHIE
Romans :

Le gouffre de la lune (Moon pool, 1919), éditions J'AI LU
Le monstre de métal (The metal monster, 1920), éditions Néo
La nef d'Ishtar (The ship of Ishtar, 1926), éditions J'AI LU
Sept pas vers Satan (Seven footprints to Satan, 1927), éditions Neo
Le visage dans l'abîme (The face in the abyss, 1931), éditions J'AI LU
Les habitants du mirage (Dwellers in the mirage, 1932), éditions J'AI LU
Brûle sorcière, brûle (Burn, witch, burn !, 1933), éditions Néo
Rampe, ombre, rampe (Creep, shadow !, 1934), éditions Néo
La femme-renard (The fox woman, 1949), éditions Néo


Edition livre de poche en France


Il a écrit un max, le mec affraid
Merci pour ces indications, en tous cas clindoeil
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rahan a écrit:
Picvert noir a écrit:
Ca va les chevilles????? Jean m'en parlait tout à l'heure en mp.


[color=blue]Pourquoi, tu te sens faire partie de cette liste ? Moi, j'avais pas l'impression que tu en étais, à priori question


Pas du tout, mais faire une "liste" de gens qui ont droit ou pas droit est bien présomptueux.

Mets moi dans les "censés et "bien pensant"; si, si, j'insiste.
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Picvert noir a écrit:
rahan a écrit:
Picvert noir a écrit:
Ca va les chevilles????? Jean m'en parlait tout à l'heure en mp.


[color=blue]Pourquoi, tu te sens faire partie de cette liste ? Moi, j'avais pas l'impression que tu en étais, à priori question


Pas du tout, mais faire une "liste" de gens qui ont droit ou pas droit est bien présomptueux.

Mets moi dans les "censés et "bien pensant"; si, si, j'insiste.


Je pense que comme tout le monde ici tu fais justement partie des censés et bien-pensants, les vrais, ceux qui n'ont pas de guillemets (c'est là qu'est la différence fondamentale, c'est pour ça que j' en ai mis à certains des adjectifs énumérés, ce qui permet d'en nuancer le sens profond). Le français est une langue extrêmement précise, si on la lit au fond du texte tout malentendu peut être évité. coolok

Cela dit, il n'y a aucune présomption dans ma démarche, je tentais juste d'expliquer que les univers délirants ne sont accessibles qu'aux gens "ouverts" qui ont gardé une âme d'enfant, ce n'est pas une question de droit ou pas droit, c'est à chacun de se donner le droit ou le pas droit, je ne suis pas juge........
clindoeil
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rahan a écrit:


Cela dit, il n'y a aucune présomption dans ma démarche, je tentais juste d'expliquer que les univers délirants ne sont accessibles qu'aux gens "ouverts" qui ont gardé une âme d'enfant, ce n'est pas une question de droit ou pas droit, c'est à chacun de se donner le droit ou le pas droit, je ne suis pas juge........ [/color] clindoeil


je suis heureuse de voir que c'est parmi les mecs les plus "durs" aux yeux de la société que l'on trouve le plus d'âmes d'enfants!
j'espère sincèrement qu'il y en a beaucoup d'autres...



coolok
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de quelque nature qu’elle soit…

1-
La nuit il s’endormait suspendu à mon sein et je me sentais bien alors, telle la Louve allaitant Rémus et Romulus…seule dans mon royaume avec à mes cotés, depuis peu, ce petit d’homme étrange et enchanteur, grands yeux bleus noyés de larmes et bouche pleine et humide…toujours prête à se coller contre ma peau, cette peau de vieille Louve heureuse…

Nous autres, ainsi que mes frêres lycans, sommes parmi vous, humains, pour défendre Gaïa, notre mère la terre…

Mais vous polluez tout ce que vous touchez…nous vous condamnons donc à périre sous le fléau que j’ai nommé « wolfen », cruelle inspiratrice, fondatrice de vos cauchemards les plus récurrents.
Elle vit dans un monde qui n’est pas le votre. Fuite éternelle. Déserts glacés. Quête sans fin de l’Absolu….être enfin elle-même.
Tout bouge autour d’elle, mais elle ne ressent rien. Les mondes parallèles, elle les cotoie jour après jour. Ils ne sont par faits pour elle. Une seule chaine la relie encore à votre monde. Celui des humains. Un jour cette chaine ce brisera et amènera wolfen parmi vous et ce jour-là elle sera libre, dans son désert de glace …courrir…encore courrir…des rochers froids…une lune blafarde…courrir…courrir…courrir…
Vous l’avez appelée, Elle est venue, seule, pour vous affronter…

Il y a plusieurs années de ça, elle n’était que l’ombre d’elle-même, elle n’existait pas encore réellement en tant qu’entité réelle. Elle sommeillait dans le ventre, le cœur et l’esprit d’une Louve Blanche…autres lieux…autres temps…

Des temps que les mortels traitaient comme maudits ! des temps où les proies abondaient…des temps où mon Maître Vlad Tépes ordonnait, et moi Sa Louve Blanche, j’obéssais…
Je chassais pour lui, de jeunes et belles mortelles diaphannes, la peau translucide, les veines saillantes…je lui amenais ces demoiselles sur un plateau et attendait à la porte de son château en baillant d’ennui et d’un sentiment que je ne connaissais pas…et qui allait ensuite causer ma perte…
J’étais la dernière louve blanche de cette génération de loups esclaves de leurs Maîtres Vampires…mais j’étais bien, mon Maïtre me respectait…de temps en temps quand le vent et la tempête rugissait hors des lourdes grilles du château, il ouvrait cette lourde porte en chêne et me laissait entrer, béate de bonheur, et m’endormir au coin de l’âtre flamboyant…lovée à ses pieds …
Puis alors il me parlait…sans entrouvrir les lèvres…sans bouger il me caressait…sans me voir il me regardait…et je le regardais aussi, des frissons de plaisir parcourrant cette robe immaculée…inlassablement, avec la même douceur dans ses pensées, il me racontait ce qui lui était interdit de rapporter…cette solitude qu’il ne supportait plus…
Cette vie qui n’était plus la sienne depuis qu’un autre..il y a déjà fort longtemps.
Mais stop…il ne faut rien dévoiler du mystère de cette création diabolique…
A ce moment-là, il baissait alors les yeux vers moi, sa fidèle servante, celle qui tuait pour Lui, et me regardait…puis il se penchait et délicatement, passait ses doigts longs et fins, d’apparence si fragiles, dans cette fourrure abondante, parcourue de vagues de plaisir…
Il m’appris alors ce sentiment qu’il détenait lui-même de son ancienne vie, la vie des morts…

la suite au prochain épisode...merci.
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wolfen a écrit:
rahan a écrit:


Cela dit, il n'y a aucune présomption dans ma démarche, je tentais juste d'expliquer que les univers délirants ne sont accessibles qu'aux gens "ouverts" qui ont gardé une âme d'enfant, ce n'est pas une question de droit ou pas droit, c'est à chacun de se donner le droit ou le pas droit, je ne suis pas juge........ [/color] clindoeil


je suis heureuse de voir que c'est parmi les mecs les plus "durs" aux yeux de la société que l'on trouve le plus d'âmes d'enfants!
j'espère sincèrement qu'il y en a beaucoup d'autres...



coolok


Eh!!!!!! les filles confondez pas "âme d'enfant" avec retard intellectuel.
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Perdu dans mes pensées, j’avançais lentement, car la fatigue se faisait de plus en plus sentir et le plaisir que j’éprouvais d’avoir vécu d’inoubliables instants ne suffisait pas à me procurer toute l’énergie dont j’avais besoin pour mener ma mission à son terme; mes chaussures de sécurité semblaient peser des tonnes à mesure qu’elles s’engluaient de bitume semi liquide, comme si je marchais dans une immense marmite de fondue savoyarde; tout bien réfléchi, je n’étais peut-être pas loin de la vérité en faisant ce parallèle; peut-être qu’après tout les dinosaures ne passaient pas le plus clair de leur temps à briser du verre pour survivre, il fallait bien qu’ils se nourrissent, à l’instar de tous les êtres vivants, les frigidaires, les lavabos, les rasoirs jetables, les espadrilles, les ouvre-boites, les pianos à queue et même les pianos femelles, d’ailleurs ……

Oui, peut-être mangeaient-ils du bitume fondu de temps en temps et peut-être que j’étais justement en train de me débattre dans la marmite autour de laquelle ils s’étaient réunis pour un repas; peut-être même que j’allais finir happé par l’un d’entre eux, précisément celui que je cherchais, à supposer que la peur d’avoir à répondre de son méfait envers mes lunettes ne l’ait pas contraint de se réfugier sur une lointaine planète, à l’abri de la justice terrienne, auquel cas il eût été inutile que je continue mon voyage à pied.

Les idées se bousculaient de plus en plus dans ma tête, et curieusement pourtant, il me semblait que les choses devenaient de plus en plus claires; c’est ainsi que la logique me poussa à fouiller dans ma poche pour en ressortir ma Millwautwin dont j’avais d’ailleurs oublié de couper le contact après l’accident.

Ce sera beaucoup moins pénible de cette manière, me disais-je, plutôt que de m’escrimer à continuer ma progression à pied. J’enfourchai donc ma monture salvatrice, que fort heureusement le choc de l’accident n’avait pas endommagée; tout au plus une minuscule brèche dans le chrome du guidon témoignait de l’impact du grille-pain, mais à part cela, le moteur tournait encore merveilleusement bien, les accélérations avaient conservé leur violence d’origine et, cerise sur le gâteau, le réservoir était plus rempli qu’au moment du départ ; tout le monde d’ailleurs connait la réputation de ces machines en matière de faible consommation

De part et d’autre, le paysage défilait sous mes yeux, et la bande de bitume qui s’étendait à perte de vue semblait s’élargir à mesure que j’avançais; c’était vraiment surprenant; d’aussi loin que je me souvienne, je n’avais jamais emprunté de route aussi large: l’accotement droit s’éloignait de plus en plus, tout comme l’accotement gauche, au point que j’en vins à me demander une poignée de secondes si je n’étais pas en train de rouler dans le sens de la largeur.

Mes interrogations cessèrent lorsqu’un avion me coupa la route par la droite, passant à peine à quelques dix centimètres de ma roue avant: en fait, ce que j’avais pris pour une route exceptionnellement large n’était autre qu’une piste d’atterrissage !………….j’ étais tout simplement en train de rouler dans l’enceinte du plus grand aéroport de la région; c’était d’autant plus étonnant que je ne me rappelais pas avoir franchi une seule clôture ; contrairement au goujat qui venait de me couper la route, manquant de me décapiter, tous les avions que je croisais s’arrêtaient pour me saluer avec courtoisie, non sans avoir auparavant pris soin de replier leurs ailes, sans doute pour éviter de me blesser…………


À suivre
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je reprends mon texte où je m'étais arété, et pour ceux qui aurait oublié...je reprends une partie de la fin de la première partie...


scratch

A ce moment-là, il baissait alors les yeux vers moi, sa fidèle servante, celle qui tuait pour Lui, et me regardait…puis il se penchait et délicatement, passait ses doigts longs et fins, d’apparence si fragiles, dans cette fourrure abondante, parcourue de vagues de plaisir…
Il m’appris alors ce sentiment qu’il détenait lui-même de son ancienne vie, la vie des morts…
Ce sentiment qui bouleverse à jamais vos traditions et coutumes, ce sentiment que les mortels nomment l’Amour…
J’ai su qu’il aimait sa Louve Blanche quand deux larmes jaillirent au coin de ses paupières…et si j’avais pu mourir sur le champ je l’aurais fait, pour garder ce moment si précieux à jamais gravé dans ma mémoire…
Alors le monde changeat à mes yeux. Nous dormions ensemble la journée et la nuit nous marchions pour de longues heures dans les bois, traversions les landes froides et caillouteuses de ses terres natales, tel un couple formidable, uni pour l’éternité, uni par cette même pensée qui nous propulsait toujours de l’avant, une seule identité, une seule entité, un seul tout…nous étions la Terre, la Nuit et les élements qui composent cette chaine invariable dans le temps, ce temps qui ne nous appartenait plus…
Mes frêres lycans se cachaient à notre approche…eux savaient, connaissaient le chatiment qui est dû lorsque les interdits sont franchis…
Mon Maître le savait aussi…
Nous nous sommes aimés en défiant les lois qui gèrent nos deux peuple, le peuple des Loups et celui des Vampires, les Maîtres des loups depuis que le monde est monde…
Nous avons transgressé l’ordre établi depuis des siècles…

Un Maître Vampire et une Louve Blanche…Sa Louve Blanche !

Alors une nuit je trouvais le château fermé…abandonné…froid sous le givre naissant de l’hiver.
Beaucoup de Démons et Vampires étaient passés sur le large pont enjambant les douves.
Leur odeur, très forte, imprégnait le bois vermoulus et se mélait à celle de mon Maître, dans des effluves de luttes .
Un horrible pressentiment me vint alors à l’esprit…l’esprit ! encore une invention des mortels !
Ce que me disaient mes frêres lycans était donc vrai..leur chuchotement lorsque nous passions près d’eux n’étaient donc point calomnie !
En tout cas une chose était sure…mon Maître adoré n’était plus…
N’était plus là…à mes cotés…avait été emmené ? m’avait abandonnée ?
Un loup qui est mal aimé va devenir neurasthénique. Il ne trahira jamais son maître mais il sera malheureux…il tournera toute sa vie en rond. Jusqu’au jour où il décidera de reprendre sa liberté. Et ce jour-là il sera trop tard. On ne pourra plus l’apprivoiser…Vlad ! qu’as-tu fais là mon maître ?

affraid

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je ne sais pas si la louve de ton avatar est volontaiorement noire , ou si tu n' en avais pas trouvée de blanche , alors je t' ai fait cette petite modif en echange de ces textes que j' aime lire ....

( MSN dès que tu as 5 mn pour le dessin cuir .... )
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