Route du Rhum

[Bob Du Gers-bobdugers 0]

Moi je dis il est couillus le monsieur :

"plongeon à hauts risques pour Dick sur la route du Rhum

REUTERS | 01.11.06 | 18:01


par Sophie Greuil
PARIS (Reuters) - Sans être attaché à son bateau, Jean-Pierre Dick a plongé sous l'eau pour vérifier l'état de sa quille après un choc "avec un objet mou non identifié" dans la nuit de mardi à mercredi.
Alors premier de la flotte des monocoques 60 pieds, le skipper de "Virbac-Paprec" a perdu "une bonne trentaine de minutes" et surtout pris des risques inconsidérés racontés lors d'une vacation aussi hilarante qu'irréelle.
"J'étais à 15 noeuds lorsque j'ai heurté un objet mou. Je n'ai pas pu voir ce que c'était. D'un coup, je me suis retrouvé à trois noeuds à me traîner comme un âne mort. Quand j'ai heurté, j'ai eu l'impression d'entrer dans un chewing-gum".
Pour constater les dégâts, Jean-Pierre Dick décide d'aller "rapidement voir" sous sa coque en combinaison de plongée, avec palmes et lampe torche.
"J'ai téléphoné à mon routeur pour le prévenir de ce que j'allais faire. Et je lui ai dit d'alerter les gens si je ne remontais pas.
"En m'approchant de la quille, je n'ai rien vu. J'ai juste aperçu des impacts peu graves sur le bord de fuite de ma quille. Mais cela aurait été marrant de voir un requin. La nuit, la quille fluorescente sous l'eau, c'est d'ailleurs assez joli", a raconté le vétérinaire niçois, vainqueur de la transatlantique "Jacques Vabre" avec Loïck Peyron en 2005.
Le skipper de "Virbac-Paprec", 31 ans, ajouta une incroyable chute à son récit lorsqu'un journaliste lui demanda s'il n'avait pas eu peur que son bateau s'en aille sans lui.
"Je savais que le bateau ne pouvait pas bouger, j'avais mis quelques boutes autour. Et je pense que j'aurais pu le rattraper parce que j'ai beaucoup nagé ces derniers temps".
HABITUE DES PLONGEONS
Effectivement, une semaine avant le départ de sa seconde "Route du Rhum", il avait alterné une matinée en thalassothérapie et une grosse séance notamment en papillon en piscine d'eau salée à Dinard.
En grand habitué des plongeons en solitaire, Dick, qui fut vice-champion de France de relais en scolaires, devait déjà préparer une éventuelle épique sortie en mer dont il est l'unique à avoir le secret.
Au cours du "Vendée Globe Challenge" en 2004, le Niçois s'était déjà mis à l'eau deux fois.
Cet été, au cours de sa "Solitaire du Figaro", le skipper avait aussi été repris par ce démon du plongeon par deux fois lors de la première étape.
A 16 heures, au dernier pointage de la cette troisième journée de course, Jean-Pierre Dick était deuxième de la flotte des monocoques 60 pieds, à 29.2 milles derrière Roland Jourdain sur "Sill&Veolia"."

[hzkawa 0]

Plutôt couillu le garçon mais il faut l'être pour ce genre d'aventure

[rahan 0]

Dans la vie, il faut savoir se mouiller

[chicanos 0]

moi je risque pas,je sais pas nager

[gemini 0]

[mick1 0]

tous
ceux qui y vont sont couillu

[Bob Du Gers-bobdugers 0]

chicanos a écrit:

moi je risque pas,je sais pas nager

ben non, si tu sais pas nager, tu risques justement !

[doudou111 0]

Bob Du Gers a écrit:

Moi je dis il est couillus le monsieur :

"plongeon à hauts risques pour Dick sur la route du Rhum

REUTERS | 01.11.06 | 18:01



oui il est couillu on l'appele big dick

[boxer 0]

Couillu, couillu....ou couillon ? Tabarly refusait également le harnais de sécurité, il disait que le jour où il passerait par dessus bord c'est qu'il n'aurait plus sa place sur un voilier....Prémonition ? C'était faire peu de cas de sa Famille, un peu égoîste.

[Bilou 0]

çà me fait penser à une chanson : don't want a short "dick" man (20 fingers)


en clair la dame, pas farouche ne voulait pas d'une petite bite !




c'était le post poétique de Bilou ....