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hommages aux pilotes disparus


manusv1000s

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10 eme anniversaire de la disparition de Barry Sheene







Le pilote britannique Barry Sheene est mort le 10 mars 2003 en Australie. Agé de 52 ans, le double champion du monde 500 cc se savait atteint d'un cancer depuis quelques mois.

Né le 11 septembre 1950 à Londres dans une famille modeste, Sheene avait commencé la compétition moto tout gamin. Champion d'Angleterre 125 cc à 18 ans, il fait ses débuts en Championnat du monde en 1970 et remporte le Grand Prix de Belgique 125 cc l'année suivante.

Il débute la moto grâce à son père, Franck, mécanicien, sur une Ducati 50 cm³. Il devient rapidement mécanicien de course, et commence à courir sur des machines qu'il prépare et avec lesquelles il brille tout de suite. En 1969, il termine deuxième du championnat britannique en 125 cm³.

Un an plus tard il gagne le championnat britannique 125 cm³ à 20 ans, et termine deuxième en Espagne en 125. L'année 1971, il finit deuxième au championnat du Monde en 125 cm³. Il court également en 50 cm³ cette année-là, et remporte une victoire et une quatrième place.

Un accident spectaculaire à Daytona en 1975 (une chute à 300 km/h, due au blocage de la roue arrière dans le bras oscillant consécutif à la dilatation du pneu sous l'effet de la vitesse) risqua de mettre fin à sa carrière prématurément, du fait de nombreuses fractures, mais il put recourir rapidement après. Il termine 6eme au mondial 500 cette année-là.

En 1976, il gagne cinq GP, lui apportant le titre mondial, chose qu'il répète l'année suivante. kenny Roberts est champion du Monde en 1978, Barry Sheene se contente de la deuxième place. Il quitte Suzuki en 1979, estimant qu'il recevait des équipements inférieurs à ses coéquipiers. Il prend une machine privée Yamaha, mais reçoit rapidement un bon matériel.

Une chute en 1982 contribue à son recule dans le classement (4eme place au mondial) et il se retire en 1984.

Beau gosse et "déconneur", Sheene était un personnage haut en couleurs, décontracté et exubérant, utilisant son physique sympathique pour sa promotion, combiné avec un intérêt pour les affaires, il fut l'un des premiers pilotes moto à gagner beaucoup d'argent à moto dans la période moderne...Il arrivait sur le paddock en Rolls-Royce !

Il partit en Australie à la fin des années 1980 dans l'espoir de guérir d'arthrose consécutive à ses blessures, déménageant dans une propriété de la Gold Coast, il combina les affaires avec un rôle de commentateur du sport moto. Sheene s’impliqua dans les courses de motos historiques, lâchant habituellement les amateurs loin derrière.

Une histoire peu connue : Il semble que Sheene inventa la protection du dos pour motards, avec un prototype qu'il fabriqua lui-même, et il a fabriqué (parallèlement pour de nombreux fabricants) des protections dorsales depuis.

À la suite de la reconstruction du circuit de Brands Hatch au Royaume-Uni pour des raisons de sécurité à la suite des demandes de la FIM, la portion Dingle Dell fut sécurisée et, peu de temps après la mort de Barry, la nouvelle section fut renommée Sheene's corner en son honneur.

Anecdotes
Seul pilote à avoir remporté une course de championnat du Monde en 50 et en 500 cm³
Son numéro fétiche était le 7
Son casque portait un Donald Duck
Son casque était muni d'un trou pour qu'il puisse fumer sans l'enlever

Il est généralement considéré comme le père du V, le fameux salut motard.
Source Wikipedia
http://i72.servimg.com/u/f72/15/57/28/56/barry_10.jpg

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Le pilote italien Andrea Antonelli se tue lors de la course Supersport à Moscou

http://news.moto-journal.fr/sport/supersport-mondial/le-pilote-italien-andrea-antonelli-se-tue-lors-de-la-course-supersport-a-moscou#gBJQVcdGFeFSHpyX.99



L’accident a eu lieu sous une pluie battante dans la ligne droite du circuit de Moscou au tout début de la course Supersport : le pilote italien Andrea Antonelli a percuté un pilote qui a cassé son moteur dans le brouillard de pluie et Zanetti lui a roulé dessus, provoquant d’abord l’arrêt et le report de la course Supersport.

Puis les nouvelles sont arrivées, très mauvaise : le jeune pilote italien n’a pas survécu à ses blessures. La décision a alors été prise d’annuler l’épreuve Supersport, ainsi que la deuxième manche Superbike.

Andrea Antonelli, 25 ans (à ne pas confondre avec son homonyme Nico Antonelli, qui évolue en Moto3) occupait alors la 7e place du mondial Supersport. il avait notamment fini au pied du podium lors de la 2e épreuve à Aragon. Moto Journal s’associe à la douleur de sa famille et de ses proches.

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Voici Cathy et Arnaud, ils nous ont été enlevé ce dimanche soir par une conductrice de 21 ans qui conduisait sous les effets de stupéfiants, ils laissent 4 enfants RIP (je vous demande de partager sur votre mur svp merci pour eux

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certes un pilote que les moins de 20 ans (voir de 30 ou même de 40) n auront pas connu



Le pilote espagnol, vice-champion du monde des GP250 en 1988, est décédé hier dans un accident de la route en Espagne.
Réputé pour son style de pilotage résolument agressif, Juan Garriga débute en GP250 en 1984 sur une machine espagnole, la JJ Cobas.

En 1986, il passe en 500 sur Cagiva. Mais la marche est trop haute, et l'Espagnol revient la saison suivante en 250, pour la première de ses six saisons avec Yamaha.

En 1988, il remporte trois victoires en GP250 (les seules à son actif) et termine vice-champion du monde derrière Sito Pons. De l'avis de nombreux spécialistes, Garriga était largement pénalisé par une Yamaha moins performante que la Honda de son compatriote.

Après une nouvelle saison moins réussie, il revient en 500, sur la fameuse YZR aux couleurs Ducados. 6e du championnat en 1990, il enregistrera son premier et dernier podium 500cc à Donington deux ans plus tard.

En 1993, il quitte les GP pour le WSBK. Il termine 5e de sa première course sur la Ducati 888 semi-usine du team Grottini. Malgré un début de saison prometteur, l'équipe italienne et le pilote espagnol se séparent au bout de trois courses.

Garriga revient alors en GP pour un bref galop sur une Cagiva officielle. 9e du GP d'Europe, à Barcelone, le pilote espagnol disparaît ensuite des écrans.

Hélas, la course moto n'est pas sa seule drogue. La cocaïne – dont, selon plusieurs rapports médical, il usait alors même qu'il pilotait en GP – signe sa descente aux enfers.

Condamné en 1998 à deux ans de prison pour trafic de drogues et détention d'armes, Garriga, dont la réputation était déjà sulfureuse dans les paddocks, est publiquement humilié par la presse espagnole.

Ce jeudi 27 août, il perdait la vie au guidon de sa machine de route. Bad boy ou pas, une pensée pour ce pilote spectaculaire, qui a fait vibrer toute une génération de GP addicts au cours de sa carrière.

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