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Olivier Jacque participe ce week-end au Grand Prix d'Allemagne au guidon d'une troisième Kawasaki ZX-RR officielle. Intégré au team de développement des Verts depuis mai dernier, il a obtenu une wild card lui permettant de courir aux côtés de son ami Shinya Nakano et d'Alex Hofmann, au sein d'une équipe de techniciens et mécaniciens qui lui est personnellement dédiée, sous la responsabilité de M. Naoyama. "Nous avons déjà effectué des essais en Allemagne le mois dernier et nous apprenons à travailler ensemble" précise OJ.

Légendaire deuxième au Grand Prix de Chine sous la pluie , puis onzième en France alors qu'il remplaçait Alex Hofmann blessé, Olivier Jacque est ravi de s'aligner pour son troisième Grand Prix de la saison : "je suis très impatient de rouler à nouveau en course pour Kawasaki. Cela fera deux mois et demi que je n'aurai pas pris le départ d'une course et ce ne sera pas évident... C'est étrange de ne participer qu'à quelques Grands Prix et d'être parachuté ponctuellement dans l'arène, il faudra que je me remette dans le rythme et que je me réhabitue à travailler très vite sur quatre séances d'essai d'une heure. C'est court, le travail doit être condensé et efficace et la préparation du programme que nous mettons au point le jeudi doit être précise et stratégique. Mais je suis confiant car dès que j'ai la poignée dans la main, les sensations reviennent immédiatement !"

Espérons que les "sensations" auxquelles il fait référence seront celles de 2002, l'année où OJ avait une fois de plus fait frissonner le public au guidon de sa Yamaha 2-temps : parti de la pole position, il avait livré un baston mémorable avec Barros (Honda 2-temps) et Rossi (Honda 4-temps). Malheureusement, cinq tours avant la fin, le brésilien le sortait de piste à cause "d'une erreur de débutant", commenta à l'époque le mosellan... C'était pourtant un podium largement mérité et pratiquement assuré qui attendait OJ !

Le français avait fait preuve d'un grand sang froid, gérant sa course à la perfection : "il n'y avait pas d'endroit où dépasser Rossi donc je me suis rapproché de lui, j'ai attendu, attendu... en espérant qu'il fasse une erreur. Et quand l'erreur est arrivée, il restait cinq tours". Mais voilà, Barros sur sa NSR profitait lui aussi de la faute du Doctor et le passait, se mettant dans la roue de la Yamaha Tech 3 d'OJ. Dès le tour suivant, dans le virage en bout de ligne droite, Alex tentait une "Jacque attack" - dont il n'avait pas le secret ! - , perdait l'avant et venait percuter la roue arrière du Français... Adieu, veau, vache, cochon, podium...

Sans compter qu'à l'époque, ce n'était pas seulement les français ou les journalistes qui voyaient Jacque sur le podium : Rossi - finalement vainqueur de la course devant Biaggi et Ukawa - expliquait lui-même lors de la conférence de presse que "cette course était très dure ! Au final nous sommes trois quatre-temps sur le podium, mais uniquement parce que Barros a fait une erreur !" La consolation était maigre mais venant de Sa Sainteté, on peut se dire que OJ tenait véritablement son premier podium ce dimanche là !

OJ participe au GP d'Allemagne

Notre seul pilote MotoGP pourrait donc bien à nouveau réussir un exploit en Allemagne. "J'apprécie beaucoup le tracé du Sachsenring. Il est très technique et favorise le pilotage" explique le n°19. "J'y ai de bons souvenirs puisque j'ai gagné là-bas en 250 en 2000 et que, après avoir décroché la pole position, j'ai failli remporter le Grand Prix 500 en 2002 avant qu'Alex Barros ne me fasse chuter. Le tracé est un beau tourniquet composé de virages lents où la trajectoire doit être d'une précision extrême et d'une partie récente très rapide dans les bois, avec des dénivelés importants. Les écarts au tour y sont très faibles et la mise au point de la moto y est prépondérante. Elle doit être la plus stable possible mais également très constante sur la durée de la course".

"J'espère vraiment être à la hauteur de la confiance que m'accorde Kawasaki pour ce Grand Prix d'Allemagne. Sans viser un objectif déraisonnable vu les circonstances, j'aimerais obtenir un résultat honorable. Une fois de plus, la météo sera importante et en Allemagne, on peut s'attendre à tout !", conclut Olivier. La Gaaaagne Olivier, le podium t'attend !

Le circuit de Sachsenring se situe au beau milieu de l'ex-Allemagne de l'Est, autrefois réputée pour son industrie moto et ses excellents moteurs 2-temps. Dans les années 60, la piste accueillait près d'un quart de million de visiteurs qui venaient assister à des Grand-Prix dignes du Tourist Trophy ! Ce n'est qu'en 1996 qu'une piste a été construite à proximité des routes où se disputaient ses courses, permettant ainsi le retour du Continental Circus en 1998.

Tout comme Donington , le Sachsenring se divise en deux portions bien distinctes. Mais sur le tracé allemand, la différence est encore plus frappante et le relief plus important !

Sur un filet de gaz !

La première section exige des pilotes une excellente capacité à négocier des courbes lentes et interminables à l'aide d'un pilotage très fin, sur un filet de gaz, sans toucher au levier de frein. La première courbe Coca-Cola se négocie en seconde, après un freinage important où les dépassements sont fréquents. La piste descend ensuite fortement vers le Castrol Omega, un long droit comparable à un tourniquet se refermant légèrement. La troisième vitesse est alors enclenchée, le pilote faisant appel au couple de son moteur à mi-régime plutôt qu'à sa folle puissance en zone rouge (sous peine de violent high-side !)

Ce virage est très délicat car la piste ne compte que quatre courbes à droite contre dix à gauche. De ce fait, la température de la gomme sur le flanc droit est bien moindre que celle sur son côté gauche, offrant beaucoup moins de grip...

A la sortie du Castro Omega, le circuit remonte et les MotoGP ont tendance à se cabrer, d'autant plus que ce tracé lent demande un étalage de boite très court. S'en suit une succession de gauches où le dosage de l'ouverture de gaz est vital ! Melandri dit n'y essorer la poignée qu'à 20%...

Au niveau de Sternquell, la piste se remet à descendre le long d'un superbe gauche où les fans de glisse s'en donnent à coeur joie ! Aux abords du virage suivant, les pilotes sont invités à freiner (pour la première fois depuis Coca-Cola !) car ce gauche traître entame une nouvelle montée et piège souvent les pilotes aux prises d'angle trop généreuses et aux freinages trop soutenus. Les deux gauches suivants sont en aveugle et se passent en quatrième, ce qui demande de la part du pilote un engagement complet et une totale confiance en sa machine...

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 :
Cette première portion de circuit est très spectaculaire mais plaît davantage aux spectateurs aguerris, dont le grand nombre d'heures d'observation permettra d'apprécier les performances des pilotes (prises d'angle, remises de gaz vigoureuses, etc.). Pour le spectateur lambda, le manque de dépassements peut légèrement lasser... Quoique !

Avec la deuxième partie du circuit débute alors une section beaucoup plus rapide où la puissance est moins délicate à passer sur le bitume. Le léger droit permet d'ouvrir en grand les boxes des chevaux qui trépignent d'impatience depuis le début du tour ! Le virage débouche sur une belle descente où la vitesse de pointe côtoie celle atteinte dans la ligne droite des stands (pas plus de 290 km/h). Les deux derniers gauches - Sachsen et Queckenberg Kurve - offrent enfin deux belles possibilités de dépassements.Queckenberg Kurve, qui commande la ligne droite finale, est l'inverse de Corkscrew à Laguna Seca ; le niveau de la piste grimpe de plusieurs mètres d'un seul coup, rendant la remise des gaz difficile et intéressante lorsque les pilotes sont au coude à coude, comme lors du superbe final de 2003 entre Valentino Rossi et Sete Gibernau qui avait tourné - une fois n'est pas coutume ! - à l'avantage de l'espagnol

Rossi : "battre mon record !"

"Donington fut une victoire très particulière pour moi car à deux ou trois reprises, j'ai bien failli ne pas terminer la course !", explique Sa Sainteté qui n'en est plus à compter simplement ses victoires, mais carrément à les classifier selon leurs particularités ! "Au départ de la course je me suis dit que je ne voulais pas tomber. Au final, j’ai eu de la chance, car j’ai quand même roulé très fort ! Je ne suis pas aussi rapide au Sachsenring qu’à Donington, mais nous sommes plus compétitifs cette année donc nous devrionspouvoir nous battre pour le podium"...

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 :

"Tout s'est bien passé depuis le début de saison", admet encore Vale - faudrait quand même être difficile, NDLR ! -, "mais nous arrivons maintenant sur des circuits que j’apprécie moins, en particulier le Sachsenring et Brno" (le 28 août, NDLR). A la veille d'un Grand Prix d'Allemagne qui clôturera la première partie de saison avant le break estival, "mon but est de terminer sur le podium jusqu’à la fin de saison", prévient on ne peut plus clairement The Doctor avant de préciser : "mon record de victoires en une saison est de onze, donc je vais essayer de le battre !" Tremblez, manants !

Edwards : "rentrer deuxième"

Pour son coéquipier chez Gauloises Yamaha, le Sachsenring est plutôt associé à de mauvais souvenirs : lors de sa première visite sur le tracé en 2003, l'Aprilia de Colin Edwards s'était soudain embrasée, faisant du pilote et de sa moto la boule de feu la plus rapide du monde ! "Ah oui le Sachsenring, c'est ce circuit où on avait organisé un grand barbecue il y a deux ans !", s'amuse aujourd'hui Edwards. "Honnêtement, je n’ai aucun souci avec ce circuit, j’ai terminé cinquième l’an passé ce qui n’était pas mauvais. C’est un endroit particulier avec deux parties très différentes, la première où il est difficile de dépasser et une autre très physique qui met à rude épreuve la partie gauche du corps. Le choix des gommes est très important, en particulier pour que la partie gauche ne surchauffe pas".

En attendant, l'objectif de la Tornade texane pour sa fin de saison est tout aussi clair que celui de Sa Sainteté : terminer deuxième. "Je suis à un point de Melandri et il serait sympa de revenir à la maison en étant deuxième du championnat".

Gibernau : rien ne va plus...

De l'autre côté de la force, le ton est nettement moins enjoué... Sete Gibernau, un temps pressenti pour tenir la dragée haute à Sa Sainteté cette année mais qui a tout perdu dès la première épreuve à Jerez , paraît même fort dépourvu à l'idée de rouler ce week-end...

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 : "Le Sachsenring est lent et difficile pour les MotoGP, c'est le circuit le plus court et le plus tortueux du championnat et d'ailleurs les temps des 250 sont comparables aux nôtres... En raison du poids des motos et de la lenteur du circuit, c'est une piste très éprouvante physiquement", explique le catalan déprimé, qui n'a "aucun passage préféré" sur ce circuit mais qui estime toutefois que "les deux derniers virages (gauche/gauche) sont définitivement le meilleur endroit pour doubler". Ou se faire doubler ? Courage Sete, plus que quelques courses...

Heureusement pour l'équilibre psycho-sensoriel du team Telefonica Movistar Honda, le p'tit jeune de service Marco Melandri, trois fois vainqueur au Sachsenring (1999 en 125, 2001 et 2002 en 250) mais victime d'une chute l'an dernier ,fait preuve d'un optimisme revigorant : actuellement deuxième au championnat à 104 points du Doctor, le jeune italien trouve çà "super de rouler en Allemagne ce week-end avant le break estival, j'espère qu'on y trouvera du soleil et une piste sèche !". Le Hérisson, qui finalement n'est pas retombé sur ses pattes à Donington , devra impérativement sortir le grand jeu ce week-end s'il veut contenir Edwards !

Super Max !

Son compatriote Massimiliano Biaggi "attend avec impatience de retrouver le Sachsenring, une piste où ces dernières années nous avons eu de superbes courses". L'an dernier, il y avait pris la pole position avant de remporter une belle bagarre face aux deux Honda Repsol. Un exploit d'autant plus méritoire que Max ne courait qu'avec "une moto client du Team Camel". L'Empereur Romain, qui n'a décidément peur de rien, précise que cette année il devrait être encore meilleur vu qu'il court sur une "Super Factory Honda HRC Bike"...

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 : Son "Super Factory Honda HRC Team-mate" - le jeune Nicky Hayden - apprécie lui aussi particulièrement la piste allemande : elle tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre et met ainsi en exergue son expérience de dirt track américain, qui tourne également dans ce sens (ce qui est rare pour un circuit de vitesse européen). Le n°69 sait qu'il est "difficile de doubler, surtout au début. Il te faut donc une bonne place sur la grille et prendre un bon départ pour pouvoir rester devant !" L'américain, qui ne s'est qualifié qu'une fois au-delà de la cinquième place cette saison et a terminé 5ème en 2003 et 3ème en 2004 aux précédents GP d'Allemagne, sera à surveiller...

Alex Barros et Troy Bayliss sont tout aussi ravis l'un que l'autre de rejoindre la piste d'outre-Rhin : le but du Brésilien, qui a déjà remporté l'épreuve en 2000, est de faire "mieux qu'à Donington la semaine dernière". Autrement dit, seules les deux premières places l'intéressent !

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 :

De son côté, l'australien se sent de mieux en mieux sur sa moto : "si nous continuons comme ça, j'aurai mon mot à dire dimanche !" En 2003, au guidon de la Ducati, il avait obtenu une belle troisième place. Le Sachsenring représente pour lui une bonne occasion d'améliorer sa meilleure prestation de l'année (6ème à Jerez et Laguna Seca).

Les imprévisibles Bridgestone

La grande inconnue - qui rend sept pilotes particulièrement soucieux - reste la question de la performance des gommes Bridgestone sur ce circuit atypique... Loris Capirossi et Carlos Checa, qui disposent de la puissante Ducati, partagent le même point de vue : la piste est superbe... une fois le "fer à cheval" (Castrol Omega) passé !

Le Grand Prix d'Allemagne MotoGP 2005 :
Quant aux petits hommes verts de Kawa, dont le team est basé en Allemagne, ils auront à coeur de faire de bons résultats à domicile. Et le troisième au championnat constructeur peut partir optimiste : la piste compte parmi les préférées de Nakano, Hofmann pourra profiter du soutien de son public et OJ, frais et dispo, pourrait bien créer de nouveau la surprise !

Enfin chez Suzuki, Paul Denning avoue que son team est "toujours au septième ciel après le résultat de dimanche". La deuxième place de Roberts, qui n'est pas sans rappeler celle d'OJ en Chine (mêmes conditions et mêmes gommes), aura permis à l'américain de faire taire les médisants... mais pour combien de temps ?

Comme chaque week-end, la bataille sera rude et les pilotes devront donner tout ce qu'ils ont pour remporter la victoire...
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victoire de rossi
Valentino Rossi s’est hissé au niveau du légendaire Mike Hailwood en dérochant la 76è victoire de sa carrière au Sachsenring. Le pilote italien, qui disputait en Allemagne le 150è Grand Prix de sa carrière, s’est imposé pour la huitième fois de la saison, devant Sete Gibernau et Nicky Hayden.

La distance de la course fut ramenée à 25 tours suite à la chute de John Hopkins au cinquième tour : comme lors de la course 125, la course fut interrompue afin d’évacuer la Suzuki de l’américain, qui se tira de l’incident sans encombres.

Pour le deuxième départ, la première ligne de la grille était formée par Hayden, Rossi et Barros, d’après le classement de la course avant la chute de Hopkins. Bien parti depuis la deuxième ligne, Gibernau se porta en tête de la course dès le troisième tour, devant Rossi. Le pilote Gauloises Yamaha s’était placé en tête devant Hayden au tour précédent, avant d’ouvrir la porte à son rival espagnol.

Gibernau mena la course jusqu’au dernier tour, avant de commettre une erreur dans le premier virage alors que Rossi était revenu dans sa roue après avoir été un moment éclipsé par Hayden. Sous pression lors des derniers tours, Gibernau manqua son freinage et élargit sa trajectoire, permettant ainsi à Rossi de se glisser en tête de la course et de s’envoler vers une nouvelle victoire.

Derrière Hayden, Max Biaggi a décroché la quatrième place après avoir pris l’avantage sur Alex Barros en fin de course, tandis que Shinya Nakano a rallié l’arrivée en sixième position à l’issue d’une course exemplaire, au cours de laquelle il a pu suivre le rythme du groupe de tête au guidon de la Kawasaki.

Marco Melandri s’est classé en huitième position devant Colin Edwards, Loris Capirossi et Makoto Tamada. Pour Olivier Jacque, le Grand Prix d’Allemagne n’aura duré que quelques secondes : lors du premier départ, le français fut impliqué dans un incident au premier virage avec son coéquipier Alex Hofmann et le britannique Shane Byrne.

Avec cette nouvelle victoire, Valentino Rossi a porté son avance sur Marco Melandri à 120 points avant la trêve estivale. Sete Gibernau est revenu en troisième position, à un point de son coéquipier.

en 250
Dani Pedrosa a décroché la cinquième victoire de sa campagne 2005 au Sachsenring, la première depuis son triomphe à domicile à Catalunya. Le pilote Movistar Honda a effectué un sans-faute après un accrochage en début de course avec Jorge Lorenzo.

Lorenzo, pilote du team Fortuna Honda, avait signé le hole-shot devant Aoyama et Pedrosa, avant de rétrograder en troisième position au quatrième tour. Il tenta de répliquer mais manqua son dépassement sur Pedrosa et chuta – dans l’incident, l’échappement gauche du Champion en titre fut touché.

Toutefois, cela n’empêcha pas Pedrosa de se hisser en tête au douzième tour et de rapidement faire le break sur Alex de Angelis. Le saint marinais, qui avait effectué la pole position, a signé son troisième podium de l’année en terminant devant Aoyama.

Le japonais a réussi à conserver l’avantage sur Andrea Dovizioso et Sebastian Porto, qui lui ont livré une farouche bataille en fin de course. Randy de Puniet a dû se contenter de la septième place, devant Casey Stoner et Hector Barbera. Victime d’une sortie de piste au premier tour et alors relégué en dernière position, Yuki Takahashi a effectué une remontée spectaculaire pour se classer en neuvième position devant Anthony West.
en 125
Mika Kallio a remporté le GP Alice d’Allemagne 125, interrompu au 21è tour sur drapeau rouge. La direction de course a dû stopper la course suite à la chute de Manuel Poggiali : parti à la faute dans la partie rapide du circuit, le saint marinais s’en tira indemne mais sa machine resta au milieu de la piste, empêchant toute intervention des commissaires de piste.

Avec un classement final arrêté au 21è tour, Kallio a hérité de la victoire devant Thomas Lüthi et Marco Simoncelli, qui formaient le groupe de tête avec Gabor Talmacsi. En terminant en quatrième position, Talmacsi concède la première du classement général à Lüthi et voit aussi Kallio passer devant lui.

Mattia Pasini, qui partageait la première place du championnat avec Talmacsi avant cette course, compte parmi les nombreux partis à la faute. Au départ, quatre pilotes sont sortis dès le premier virage (Kuzuhara, Pirro, Terol et Bautista). Au tour suivant, Iannone et Faubel s’accrochaient. D’autres incidents ont impliqué des pilotes tels Gadea, di Meglio et Koyama – au final, seuls 25 des 41 qualifiés ont terminé la course.

Julian Simon, qui avait décroché sa première victoire en Grand Prix le week-end dernier à Donington, s’est contenté de la cinquième place devant Lukas Pesek et Fabrizio Lai. Joan Olive s’est classé en huitième position comme en Grande Bretagne, tandis que Aleix Espargaro a terminé dans le top 10 pour la deuxième fois cette saison en décrochant la neuvième place devant Pablo Nieto.
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Je me pose une question...c'est du copier-coller ou c'est de l'original jus de cerveau Questionscratch
Parce que la champion...je me régale à lire les présentations et les commentaires des courses et circuits. study
Encore c'est trop bon! bounce

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