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Honda SW-T 400


Messages recommandés

Quatre soupapes pour cylindre, 399 cc., refroidissement liquide, le quatre cents Honda développe 37,8 Nm de couple plus grand à 6.500 tours et 39 CV à 8.000 tours , qui sont trasférés à la roue arriere au moyen de la transmission v-Matic.
Les émissions au déchargement sont contenues du catalyseur, « orchestré » du système HECS3, qui assure le plein respect des normative euro-3.












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FANE a écrit:
a la vitesse ou tu roules tu peux lui en donner un de disque, tu en fait rien de deux toi :brice:

:mdr:


:mdr:
de l'humour ce soir..
héééééééé laaaaaaaaaaaapin les baraks c'est dans le noooooooooord non ? :jumpy: :jumpy:
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eric a écrit:
FANE a écrit:
a la vitesse ou tu roules tu peux lui en donner un de disque, tu en fait rien de deux toi :brice:

:mdr:


je peux meme lui donner les deux car moi je suis toujours a fond lol!


en fait tu fais comme sur le bateau tu inverse les gazzzzzzz!!!!!!!!!! :mdr:
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  • 3 months later...

le Silver Wing 400 cède sa place en 2009 au SW-T400. En peaufinant le comportement dynamique de son scooter et en transformant radicalement ses lignes, Honda a-t-il les moyens d'inquiéter le Tmax ?

À la poursuite du Tmax...







par rapport au "grand" Silver Wing dont les ventes n'ont jamais décollé en France (399 sur la période étudiée), le 400 s'en tire très honorablement. Un constat que tendent à prouver les résultats des maxiscooters européens : en 2008, les Aprilia Atlantic 500, Piaggio X8 400 et Peugeot Satelis 400 et 500 se sont respectivement écoulés à 75, 123, 143 et 217 exemplaires.
Mais comparé aux résultats du "roi" Tmax (13 174 immatriculations en France ces trois dernières années !), la conclusion est tout autre... Le Silver Wing 400 disposait pourtant d'une belle carte dans son jeu : alors que les 400 Yamaha et Suzuki sont équipés de monos, le 400 Honda - comme le Tmax - bénéficiait d'un bicylindre !

Mais un look trop sage et des performances dynamiques en retrait ont empêché le Silver Wing 400 de rivaliser avec le best seller Yamaha. Et ce n'est pas la déferlante de Piaggio MP3 LT et l'arrivée du nouveau Majesty 400 qui allaient arranger les affaires de Honda...
Fort de ces constats, les ingénieurs de la marque ailée semblent avoir pris la décision de se mettre "au diapason" (huh huh) avec les attentes de leurs clients, notamment français.

Au programme : relookage total, ajout de l'ABS au système CBS, amélioration du confort et train avant rigidifié pour davantage de rigueur à haute comme à basse vitesse
Ces évolutions permettront-elles à Honda de voir les ventes de son 400 exploser comme l'ont fait celles du Tmax au début des années 2000 ?
Forza le remplaçant du Silver Wing 400 !


Esthétiquement, le SW-T400 n'a plus grand-chose à voir avec son prédécesseur. Bien que la motorisation soit restée rigoureusement la même - ce qui n'a pas empêché une légère hausse des valeurs maxi - et que la partie cycle n'ait subi que de légères retouches, le changement de dénomination du 400 Honda est pleinement justifié.







La partie avant a entièrement changé, l'optique triangulaire du Silver Wing 600 cédant sa place à deux optiques reprenant le style du petit frère - méconnu en France - Forza 250. Ainsi, le maxiscoot 400 acquiert un air de famille "Honda" que ne possède pas la série des Silver Wing : la bouille du SW-T400 se rapproche de celles des S-Wing, CBR1000RR ou GoldWing.
Au-dessus de l'unique entrée d'air trône une bulle haute (d'origine) parfaitement intégrée au "front" fuyant de cette nouveauté 2009, tandis que les clignotants migrent vers le bas du carénage avant, dont les courbes sont nettement plus travaillées que sur le Silver Wing.

Idem pour la partie centrale de l'engin : la poutre, par exemple, reçoit sur le SW-T400 une couche de peinture qui souligne l'élégance des nouvelles lignes. Les flancs arrière, peints dans leur partie supérieure mais mats en dessous, participent à cette impression de fluidité qui ne se dégageait pas de l'ancien modèle.
Seule la partie arrière du nouveau Honda manque d'un soupçon de finesse pour parachever la nouvelle ligne plus racée et sportive de ce scooter Honda. Certes, le spoiler caractéristique du Silver Wing est toujours là, mais il ne suffit pas à rivaliser avec le "petit cul" du Tmax...

En revanche, le SW-T400 fait le sans-faute au niveau du tableau de bord : pas moins de cinq cadrans distillent toutes les informations nécessaires, de la vitesse au témoin du système d'antidémarrage HISS en passant par la jauge d'essence, celle de la température du moteur et son régime en tours/minute, l'heure, le kilométrage (total et deux trips), le témoin de fonctionnement de la courroie V-Belt et même un indicateur de consommation instantanée !
De quoi rendre particulièrement envieux les Wingers - les possesseurs de GoldWing -, qui pourront toutefois se consoler en notant l'absence sur le scooter d'indication de la température extérieure, de la pression des pneus - pourquoi pas ? - ou même, plus gênant, de warning !

Même monté sur sa centrale, le SW-T400 est facile à enfourcher. Située à 740 mm de haut seulement, la nouvelle selle bénéficie d'un nouveau matériau plus doux et sa forme reprend globalement celle du Silver Wing, si bien que le Honda 400 brille toujours autant par son confort !

Descendre le scooter de sa béquille demande une certaine force et une bonne synchronisation, car le SW pèse la bagatelle de 247 kg tous pleins faits dans sa version standard et 250 kg avec l'ABS. Les premières manoeuvres se font donc avec circonspection, surtout si on était habitué à manier un 125.
Une fois convenablement calé contre le dosseret - désormais fixe -, on peut démarrer le bicylindre en ligne. Là encore, le SW-T400 profite des mêmes atouts que le Silver Wing : le moteur ne produit aucune vibration et le son émanant du long pot est flatteur.
Plus que royale, la position de conduite est impériale ! Après avoir trôné quelques instants le dos bien droit et les pieds posés sur le plancher, on adopte très rapidement une position presque couchée : les pieds peuvent se loger loin en avant tandis que les bras n'ont pas à se tendre pour saisir le guidon.

Les premiers tours de roues s'effectuent avec une certaine prudence : le poids de la bête empêche le moteur - qui développe 39 chevaux à 8 000 tr/min et 37,8 Nm 2 500 tours plus bas - d'exécuter des démarrages tonitruants. Il faut donc jouer un peu du guidon pour conserver l'équilibre.
Heureusement, le long empattement du SW-T400 (1 600 mm) et le train avant léger et neutre facilite la tâche du pilote dans cette situation. De même, l'excellent rayon de braquage permet de manoeuvrer efficacement lors des arrêts ou de faire demi-tour dans un mouchoir de poche sans poser le pied par terre, comme au permis !

La facilité est également de mise sur routes plus rapides : sur les départementales viroleuses de l'arrière-pays niçois, le SW-T400 fait preuve d'un comportement routier très homogène.

Les suspensions gomment la majorité des imperfections et seuls les nids de poule mal négociés mettent à mal les amortisseurs arrière. Le train avant profite effectivement du gain de rigidité par rapport à sa version précédente et la roue avant de 14 pouces ouvre la route de manière rassurante.
Les bonnes reprises du bicylindre aidant, le rythme s'accélère au fur et à mesure des kilomètres. On apprécie alors le grip des Bridgestone Hoop et les plus confiants finiront même par faire racler la béquille centrale ! En utilisation "normale", la garde au sol se montrera toutefois largement suffisante.
Sur autoroute, le moulin à eau continue de galoper et atteint les 130 km/h "compteur" à 7 000 tr/min, soit 2 000 tours avant la zone rouge. Les longs parcours à haute vitesse n'effraient donc pas le SW-T400, pas plus que son pilote qui profite toujours d'un excellent confort.
À haute vitesse, la bulle protège totalement les épaules du pilote qui, pour peu qu'il rentre légèrement la tête, s'isole entièrement du vent. Pas de plaquage contre le tableau de bord et aucune vibration dans les pieds, les fesses ou les mains : top !

Côté conso, l'ordinateur de bord semble fiable : à la fin de notre parcours, il indique 4,9 l/100 km et nos calculs aboutissent à un résultat similaire de 5,04 l/100 km. Cette consommation correspond d'ailleurs à ce que devraient connaître les futurs utilisateurs, notre essai ayant mêlé un peu d'arsouille et une bonne dose de voies express à mi-régime.




Le duo, testé sur quelques centaines de mètres seulement, n'a pas révélé de défaut majeur : il faut de grandes jambes pour s'installer sans déranger le conducteur, mais les plus petits s'aideront des repose-pieds dont la position et l'inclinaison permettent d'endurer sans souci les plus gros freinages.
Pour caler le dos du passager, outre le top case - au coloris assorti - de 40 litres (313 €), Honda propose également son tout nouveau "Cruising Backrest" (prix non communiqué) offrant un meilleur maintien mais limitant le chargement à 11 litres Pour s'en plaindre, il faudra toutefois réussir au préalable à remplir le coffre et les deux vide-poches à disposition !



L'espace de rangement situé sous la selle - avec moquette et loupiotte, SVP ! - accueille deux casques intégraux ou un attaché-case, voire un sac de sport les jours de piscine ou de tennis. Sous le guidon à gauche, une boîte à gants fermant à clé peut héberger "une bouteille d'un demi-litre d'eau", détaille le Large Project Leader chez Honda, Kyosuke Kitayama. À droite, un fourre-tout est également disponible.
Seule déception au rayon pratique : l'absence de commande à distance pourtant disponible sur le Forza 250 et sur d'autres scooters 125 plus rudimentaires. De plus, l'ouverture du coffre ne se fait pas via le contacteur et oblige à multiplier les allers-retours de clé.



Pour le reste, c'est le sans-faute : le levier de frein de parking est esthétique, discret mais accessible, la trappe à essence est enfantine à ouvrir et les deux béquilles sont faciles à employer
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