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Honda SW-T 400 vs Yamaha 500 T Max


Messages recommandés

le Honda SW-T 400 a etait designé comme le nouveau concurrent du Yamaha 500 T Max, nous les avons opposés. Voici LE face à face maxi scooter 2009, celui d’une star établie face au successeur ambitieux du 400 Silverwing. Un comparatif de sensations mais aussi aux points dont nous vous livrons ici le dénouement. Roulement de tambour.................


C’est un fait : en France les maxi scooters se taillent une part non négligeable du marché, emmenés par un phénomène qui n’a cessé de se développer ces dernières années, le T Max bien sûr. Sur l’année 2008, il représente la première vente Yamaha et la 2ème vente chez les + de 125 cm3, derrière... la Kawasaki Z 750. Le T Max est devenu une icône à part entière : "on n’achète pas un maxi scooter, on achète un T Max" comme se plaisent à le constater les concessionnaires de la marque. Malgré tout, l’hégémonie de la star Yamaha pourrait fort arriver à son terme en 2009. Les Piaggio MP3 250 et 400 LT accessibles aux détenteurs du permis B (auto) brouillent les statistiques de vente (nous en reparlerons bientôt, restez connectés). Et 2009 voit aussi l’arrivée d’un outsider aux dents longues et aux ambitions légitimes. Comme vous nous l’avez confirmé sur l’un de nos derniers sondages, le Honda SW-T 400 est sans aucun doute le nouveau concurrent désigné du T Max. Et l’enjeu est de taille : on a affaire ici aux meilleurs scooters du moment, et le gagnant de ce face à face le plus attendu de l’année pourrait aussi devenir l’une des toutes meilleures ventes 2009, tous modèles et cylindrées confondues. Mesurez votre chance : ce match SW-T 400 contre T Max vous est offert maintenant en exclusivité sur Scooter-Station ! Que demander de plus ?


Finition au standard automobile



Compte tenu de leur vocation, les maxi scooters présentent aujourd’hui une parenté affirmée avec l’Automobile. Ainsi, le niveau de finition atteint par le Honda SW-T 400 et le Yamaha XP 500 T Max est impressionnant. Leurs plastiques sont d’excellente qualité, tout comme leurs peintures. Notamment, on reste pantois devant le travail effectué sur les retours de carénage ou l’intégration des tableaux de bord, dignes d’automobiles de segment moyen/supérieur. S’il est indéniable que le style Yamaha a fait école, le SW-T propose divers raffinements comme un ordinateur de bord ou une poignée de frein de parking joliment dessinée. On regrette malgré tout sur le scooter Honda quelques lacunes d’équipement comme l’absence de réglages en écartement sur les leviers ou l’oubli des warnings.
Les années ont passé pour le T Max, mais force est de constater que Yamaha a su conserver sa ligne originale tout en la remettant au goût du jour. La dernière version apparue en 2008 a encore franchi un cap en matière de qualité perçue. Que dire de la selle dont le dessin complexe pourrait être l’oeuvre d’un couturier italien ? La planche de bord Yamaha est luxueuse, même si le design de son compte-tours ne facilite pas sa lecture. Et la coque arrière rappelle par exemple les motos sportives de la marque, alors que le plancher se recouvre de plaques ajourées en alu, dans l’esprit des pédales des voitures de sport. Le Tmax n’en néglige pas pour autant les aspects pratiques avec des leviers de frein réglables en écartement ou la présence de warnings. On regrette simplement, comme à ses débuts, la relative exiguïté de son coffre. Suffisant pour un usage solo au quotidien, il ne peut rivaliser avec le volume offert par le Honda qui accueillera bien plus de paquets lors des séances shopping (ou deux casques intégraux, contre un seul pour le T Max). Bref, sur le plan de la fabrication et de l’équipement, chaque protagoniste illustre déjà l’ampleur du débat : élevé, et d’ores et déjà, très serré. Mais passons aux tests dynamiques.


Honda SW-T 400 : Le champion de la polyvalence



Montons à bord. Le Honda propose une ergonomie irréprochable. L’assise est basse (740 mm), et pourvu que l’on mesure au moins 1,70 m, on pose pratiquement les deux pieds à plat au sol. La préhension des commandes s’avère instinctive. Les reins viennent se caler contre le bourrelet de maintien et les pieds prennent facilement place sur les longs marchepieds. La vue est dégagée et dès les premiers mètres, on ressent tout le savoir faire de Honda pour vous mettre en confiance. Le centre de gravité apparaît placé très bas. De fait, en zone urbaine, le SW-T 400 s’apparente à une "péniche qui vire de bord comme un Zodiac". Un judicieux équilibre entre maniabilité et stabilité qui autorise d’arpenter les ruelles à une allure très réduite sans poser pied à terre. On prend vite goût à l’exercice d’autant que le moteur participe à cette ambiance, feutrée. Le bicylindre du SW-T brille par sa douceur de fonctionnement. La transmission V Matic ne donne aucun à coup. Ce twin est un élastique qui se tend et se détend avec une progressivité inégalée. Par la suite, on dose facilement les gaz pour se laisser bercer par le sifflement de la mécanique, sonorité bien plus noble que les "poum poum" saccadés des monocylindres 400 concurrents.
A l’opposé, le T Max présente une poignée de gaz au tirage court, offrant une réponse vive. Malgré son embourgeoisement au fil de ses évolutions, le maxi scooter Yamaha ne s’est pas départi de son esprit sportif. Pourtant lui aussi doté d’un bicylindre, il reste plus sec dans son fonctionnement, générant notamment à coup de fonctionnement récurrent sous les 40 km/h. La mécanique semble passer en mode roue libre de façon un rien brutale. Tout est relatif, entendons-nous, c’est très supportable au quotidien, mais face au Honda, le T Max apparaît d’emblée nettement moins transparent. Une qualité qui possède aussi son revers : au démarrage notamment, il faut visser la poignée de droite à bord du SW-T 400 pour espérer effacer les scooters concurrents de 400 cm3, et ce n’est pas gagné d’avance. Le Honda est lourd (250 kg avec les pleins et l’ABS, contre 225 kg au T Max). Pendant ce temps, le T Max, lui, a déjà taillé la route. Les tests de reprise sont tout aussi éloquents : à partir de 50 km/h, 80 km/h ou 120 km/h, le Yamaha laisse le SW-T 400 sur place. Car outre son poids supérieur, il manque surtout à ce dernier 100 cm3 pour lutter à armes égales.


"Une péniche qui vire de bord comme un Zodiac"



Néanmoins, si les sportifs y attacheront de l’importance, les autres scooteristes eux devraient nettement moins ressentir ses performances moindres en conditions normales d’utilisation. Car s’il manque de "coffre" face à son rival, le "petit twin parallèle" Honda procure une douce linéarité sur les deux premiers tiers de sa plage de régime utile, et une belle allonge doublée d’un regain de vitalité passé 7 000 tr/min. Du coup, le SW-T 400 est capable d’afficher une excellente vitesse de croisière (proche de 150 km/h compteur) et une vitesse de pointe déjà fortement répréhensible (plus de 165 km/h au compteur, sur le plat). Bref, s’il accélère moins fort, le maxi scooter Honda n’en roule pas moins vite pour autant... sans négliger ni le confort ni la sécurité. Bien porté par ses suspensions Showa, on peut sans problème consommer un plein à bord du SW-T 400 sans fatiguer ni avoir envie de s’arrêter pour autant ! Et si c’est le cas, vous pouvez alors compter sur son fameux freinage ABS-CBS pour ralentir avec efficacité et progressivité. Le dispositif couplé est facile à doser, laisse travailler le grip des pneus, mais fige quelque peu la direction en entrée de courbe, rien de bien méchant. En comparaison, le freinage ABS Yamaha se déclenche parfois de façon prématurée à l’arrière, sur les pavés notamment, provoquant des "clac clac" très sonores et des retours dans le levier de frein. Côté agrément, Yamaha doit encore travailler sa copie sur ce point.

A cet instant du match, c’est la polyvalence exacerbée du scooter Honda qui ressort. Le SW-T 400 sait tout faire. Sans dominer l’intégralité des exercices dynamiques, ses notes moyennes ne descendent jamais en dessous des 4/5 (voir tableau). Reste à apprécier cette homogénéité face à la référence actuelle du marché.


Yamaha XP 500 T Max : Sportivité affirmée



Prendre place à bord du T Max demande plus d’efforts que pour s’installer au guidon du SW-T. Même à l’arrêt, et malgré ce que semble contredire l’évolution de sa ligne, le T Max respire le sport : selle plate et ferme, assise haute (on se tient sur la pointe des pieds de chaque côté) et confort de suspensions à l’unisson... Les différences ergonomiques sont saisissantes entre les deux engins. Mais relativisons, le maxi scooter Yamaha n’est pas un banc de pierre. Sa sportivité s’affirme malgré tout dès le démarrage, le bicylindre laisse percevoir un grondement agressif. Et les premiers mètres à son bord sont tout aussi instructifs. Très vif à l’ouverture des gaz, le T Max présente un caractère décapant et se réjouit d’une utilisation du type "on-off". Revers de la médaille, ce scooter est un véritable "bouffe permis" sur les grands boulevards. En une accélération franche, on se retrouve à plus de 80 km/h et les "Maxistes" savent de quoi il s’agît. Sans vitesse à passer, les maxi scooters sont très exposés aux sanctions des radars automatiques, et le T Max tout particulièrement. C’est aussi ce qui le distingue nettement : il est bien plus vivant que le sage Honda.


"Le T Max est bien plus vivant que le sage Honda"



Il en va de même en courbe, d’autant plus depuis le millésime 2008 doté d’un cadre en alu et de jantes de "fort" diamètre (15 pouces). En action, la rigidité et la cohésion de l’ensemble font mouche. En outre, la majeure partie de la mécanique désolidarisée du bras oscillant (comme sur une moto) permet au pilote de sentir plus fidèlement ce qui se passe sous les pneus. Malgré tout, le T Max n’est pas une moto, et affiche toujours ce flou dans la direction en grande courbe ou lors des brusques changements de cap. Mais la plupart du temps il présente une tenue de cap impériale et l’on vient souvent à penser, comme bon nombre d’entre vous, qu’il mériterait plus de puissance. Pour l’heure, le travail hydraulique de ses suspensions reste hors de critique, même si l’on devine leur traitement sportif dans les petites rues pavées, au passage des dos d’âne ou sur les départementales de nos campagnes. Bref, sans surprise, le T Max ne réussit pas à gommer les défauts de ses qualités, et se fait recoller voir dépasser par le SW-T 400 dés que la réalité du quotidien reprend ses droits.
Oubliées les nécessités ou plaisirs des performances, le T Max marque le pas. On l’a vu, sa mécanique et son freinages sont plus brutaux, ses suspensions plus fermes, et sa protection moins efficace que ce que propose le SW-T 400. Côté passager, le Tmax lui réserve également un traitement sportif, avec sa selle plus ferme et aucun appui lombaire. Le Honda lui oppose un dosseret intégré. Tous les deux offrent des poignées latérales faciles à saisir et des repose-pieds escamotables bien plus adaptés que les repose-pieds moulés dans les plastiques. Mais dans ce dernier quartier, l’avantage repris par le Honda est incontestable.

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Bilan : Avantage... Honda



Au final, le T Max reste emblématique aux niveaux du style et des sensations de conduite, tant moteur que partie cycle. Si l’on se borne à mesurer les qualités dynamiques, le Yamaha tend donc à s’imposer. Mais... son prix de vente reste très (trop ?) élevé - 9 749 € - ainsi que son coût d’utilisation. Equipé depuis 2008 en monte pneumatique radiale, il tend à consommer de la gomme et des plaquettes. Mais si l’on raisonne cette fois de façon plus pragmatique dans le cadre d’une utilisation quotidienne, le SW-T 400 s’impose sans l’ombre d’une hésitation. Plus confortable, plus pratique (coffre spacieux, accueil passager), à peine moins rapide même s’il ne peut rivaliser en virage, le SW-T 400 bénéficie en outre d’une sécurité de freinage épatante. Et surtout, il coûte 3 159 € de moins, tout en restant aussi plus économique à l’entretien. Enfin, si l’esthétique du T Max joue indéniablement en sa faveur auprès d’une clientèle exigeante, celle-là ne pourra plus rester insensible aux progrés réalisés dans ce domaine aussi par le SW-T 400.
Sans réelle surprise donc, si le T Max reste une référence par ses performances, il trouve cette fois avec le SW-T 400 un concurrent plus doué au quotidien, tout aussi valorisant en qualité de fabrication et surtout moins cher. Le décompte des points à l’issue de ce match est donc indéniablement en faveur du nouveau SW-T 400 Honda, futur best seller des maxi scooters ?

Honda SW-T 400




Yamaha XP 500 T Max





Comparatif Honda SW-T 400 / Yamaha XP 500 T Max : A retenir



Honda SW-T 400 Yamaha 500 T Max
Qualité de fabrication
Agrément moteur
Performances
Partie cycle
Freinage (sécurité)
Ergonomie
Confort, protection
Duo
Aspects pratiques
Prix
Note finale 46/50 38/50




Entretien



L’échéance des révisions n’est pas la même chez Honda et Yamaha : tous les 6 000 km pour le SW-T 400 et 10 000 km pour le T Max. Mais le coût moins élevé des forfaits révision chez Honda joue en théorie en la faveur du SW-T 400 (mais à confirmer ici dans les commentaires et sur les maxitests). Le coût des révisions déterminé par forfait pour les deux constructeurs, se décompose comme suit :

Honda SW-T 400 :
35,42 € à 1 000 km
27,50 € à 6 000 km
175,35 € à 12 000 km
173,31 € à 18 0000 km
252,35 € à 24 000 km
27,50 € à 30 000 km
272,40 € à 36 000 km
27,50 € à 42 000 km
173,31 à 48 000 km



Yamaha XP 500 T Max
218 € à 10 000 km
349 € à 20 000 km
218 € à 30 000 km
498 € à 40 000 km
218 E à 50 000 km

Le tarif des révisions élevé s’explique notamment par les heures de main d’oeuvre en raison de l’accessibilité mécanique souvent difficile chez les maxi scooters. Chez Honda, on ne préconise qu’une vidange toutes les deux révisions, même si, selon des mécaniciens du réseau, ce moteur mériterait une vidange systématique. La transmission bénéficie d’un forfait spécifique chez Yamaha (facturé 204 €) et la révision intermédiaire également (76 €). Chez Honda, la transmission est à inspecter à chaque passage à l’atelier, mais son changement n’intervient qu’en cas d’usure significative. Les plus fortes factures concernent les opérations de contrôle du jeu aux soupapes (40 000 km chez Yamaha et 24 000 km chez Honda).


Revue de détails comparée SW-T / T Max



Rétroviseurs : trop peu écartés sur le Honda, ils reflètent les coudes. Assez efficaces du haut de leurs tiges sur le Tmax
Avertisseur sonore : limite insuffisant sur les deux
Eclairage : plus puissant sur le Tmax, avec un faisceau particulièrement large
Tableau de bord : plus lisible sur le Honda, les infos sont suffisantes sur les deux modèles
Leviers de commandes : réglables en écartement sur le T max uniquement
Feux de détresse (warning) : sur le T Max uniquement
Boite à gants : logeables sur les deux scooters, finition impeccable
Remplissage du réservoir : plus facile sur le SW-T en raison d’un refoulement moindre
Conso, autonomie : nous avons mesuré en moyenne un litre de plus en conso pour le T Max (6,3 contre 5,2 litres). Avec un réservoir de 15 litres pour le T Max contre 16 pour le SW-T 400, ce dernier prend un net avantage ici, confirmé dans vos maxitests.
Antivol : clés codées sur les deux modèles. A noter que les roues avant laissent difficilement passer un antivol de type U. Dommage.
Béquille centrale : très en arrière sur le SW-T, elle nécessite plus de muscle que celle du T max pour sa mise en place. Les latérales sont impeccables.






Honda SW-T 400



Moteur : 399 cm3, 4 temps, bicylindre en ligne, alésage 64 mm x course 62 mm, refroidi par eau, 2 ACT et 4 soup./cyl., alimentation par injection électronique, démarreur électrique, transmission par courroie, transmission automatique
Puissance : 39 ch. (28,7 kw) à 8 000 tr/min, couple 3,78 daN.m à 6 500 tr/min

Partie cycle : cadre en tubes d’acier, fourche diam. 41 mm déb 120 mm, deux amortisseurs AR déb 115 mm, freinage ABS-CBS AV 1 disque diam. 276 mm / étrier à 3 pistons - AR disque diam. 240 mm / étrier 2 pistons, pneus AV 120/80 x 14 - AR 150/70 x 13

Gabarit : dimensions (L x l x h) 2 285 mm x 770 mm x 1 430 mm, empattement 1 600 mm, chasse 105 mm / angle 28°3, hauteur de selle 740 mm, garde au sol 135 mm, réservoir 16 litres, poids tous pleins faits (constructeur) 247 kg (250 kg avec ABS

Performances : vitesse maxi 165 km/h (compteur), consommation moyenne de l’essai 5,2 l./100 km
Yamaha XP 500 T Max



Moteur : 499 cm3, 4 temps, bicylindre en ligne, alésage 66 mm x course 73 mm, refroidi par eau, 2 ACT et 4 soup./cyl., alimentation par injection électronique, démarreur électrique, transmission automatique par variateur, finale par courroie
Puissance 45 ch. (33,1 kW) à 7 500 tr/min, couple 4,64 daN.m à 6 500 tr/min

Partie cycle : cadre en aluminium, suspension AV fourche télescopique diam. 43 mm déb. 120 mm, suspension AR amortisseur horizontal sous le moteur, déb. 116 mm, freins ABS AV 2 disques diam. 267 mm / étriers 4 pistons - AR disque diam. 267 mm / étrier 2 pistons, pneus AV 120/70 x 15 - AR 160/60 x 15

Gabarit : dimensions (L x l x h) 2 195 mm x 775 mm x 1 445 mm, empattement 1 580 mm, hauteur de selle 800 mm, garde au sol 125 mm, réservoir 15 litres, poids à sec (constructeur) 203 kg

Performances : vitesse maxi de 170 km/h (compteur), conso moy. de l’essai 6,3 l/100
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Perso HONDA pour les MAXI Scoot :1: Juste pour la Marque , ils ont des superbes machines de super bonne bécanne, mes po en Maxi Scoot ! Non faut etre serieux, ..... Perso pour le Maxi Scoot faut laisser faire ça a YAMAHA le Tmax restera TOUJOURS " pour moua " au dessus de Tous ce qu'il peux sortir sur le marché !!!!! j en suis sur ....ils vont po lacher l'affaire quitte a payer leurs employés 3 fois plus pour innover amméliorer le produits ; mais ils vont se bouger grave !!!!! j'en suis convain Q
Perso la seule chose ou va falloir qu"il se calme chez YAM ...c'est sur le Prix ! Ou alors là je pense qu'il risque d'avoir le revert de la médailles un de ces jours ! a force d'abuser ...! chez KAWA le ER6 a fait fureur .... OUI ... pourquoi ....? .... allez faire un tours chez KAWA vous allez voir !!!!!!!!!!!! et pour po grand chose de plus le modeles au dessus ; NON ATTENTION Mr YAMAHA a ne po abuser faut po jouer au jeux .... je me gave je me gave ..... ça marche qu'un temps !
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Reste que le Honda garde une esthétique pot de chiotte pour motomobiliste qui ne peut pas concourir avec le maxou, surtout dans sa nouvelle version: une vraie moto!


Maintenant, rien de mieux qu'une FJR :caché:
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