Aller au contenu

 

Plus qu'un site, plus qu'un réseau social, les membres de Motards.net informent, partagent, donnent des astuces et conseils sur tous les 2 roues. Les motos et scooters anciens ou récents n'auront plus de secret pour vous !

Inscrivez-vous maintenant pour avoir accès à toutes nos fonctionnalités. Une fois inscrit et connecté, vous pourrez rejoindre un Club de motards, participer aux discussions, vous inscrire à un événement moto (balade, roulage, stage), ajouter votre site dans l'annuaire et bien plus.

Bienvenue sur Motards, le site qui vous informe sur tous les 2 roues. Plus qu'un site, plus qu'un réseau social, découvrez tout l'esprit motard en ligne ! Parcourez dès à présent les clubs, forums, tutoriels et photos de la communauté de motards pour vous informer au mieux sur la thématique de la moto et partager votre passion avec d'autres passionnés.

Motards vous offre la possibilité de créer un club gratuit sur ce site. Le club est un mélange de forum et de groupe Facebook qui vous permet de regrouper une communauté et partager votre passion avec des amis ou motards comme vous. Vous disposez alors de tous les outils pour gérer votre communauté et la faire grandir sur Motards.

Vous avez envie d'améliorer votre conduite ? Rouler sur circuit ? Aller vous balader en 2 roues ? Découvrez le calendrier des événements moto et scooter. Vous pourrez ainsi vous inscrire aux sorties moto, stages de pilotage ou encore aux roulages et autres rassemblements. Et pourquoi ne pas créer votre événement pour rassembler les motards de votre région ?

ballade de krapull vers le tourist trophy


Messages recommandés

Oui il s'est tué avant même que j'arrive
Je connais pas les circonstances
Et Denis bouan a eu un accident de circulation, même pas aux essais, genou explosé en tapant une voiture il sortait d'un stop mais en roulant à droite comme en France...
Keep on left
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Eh bien voilà il fallait que ça arrive...
C'est le drame, midi direction le ferry au revoir l'île de man j'ai plein de photos sur la carte de l'appareil quelques vidéos sur le téléphone surtout des purées de chiottes de discussions, d'images en tête bref de souvenirs.... Si le monde moto français pouvait avoir le même état d'esprit, la même auto discipline purée on serait considéré autrement enfin ça c'est un autre débat retour à la maison vendredi matin car jeudi matin je visite l'usine triumph à hinckley
Ce avec photo à suivre
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
  • 2 weeks later...
CR tourist trophy 2013

Lundi 27 mai :

Départ pour retrouver mon copaing véver au Havre : rdv à 14h30 une des dernières stations-services avant l’embarcadère. Ça, c’est le programme théorique. Mon départ prévu est 10h pour 3h30 de trajet et ce qui me laisserait une heure pour faire les différents ravitaillements en carburant (200km d’autonomie) et autre estomac.

En pratique, il m’aura fallu plus de temps que je ne pensais pour finir mes bagages et de tout installer sur la black magic.


Départ 10h40, avec un premier arrêt programmé, sur le parking d’un bon boulanger, au bout d’un kilomètre pour vérifier la tension des sacoches (première utilisation) et en fait je n’ai pas eu la peine de trop toucher aux freins car l’étrier arrière est boqué.


Un moment de stress, je fais le tour des copains qui s’y connaissent en mécanique et qui ne travaillent pas, car tous les bouclards moto sont fermés, c’est lundi. Et puis je n’ai pas non plus beaucoup de temps. Je décide de faire l’opération inverse de celle de la veille au soir : qui était de réduire la garde de la pédale de frein. Ça y est, il se débloque, bon à surveiller quand même et il est plus de 11h donc je n’ai pas d’avance pour l’heure du rdv. Puis une vingtaine de kilomètres plus loin, sur un freinage, je sens la pédale redurcir je m’arrête mais cette fois à l’ombre ça m’évitera une suée comme la première fois. Je redesserre une nouvelle fois en espérant que ce sera la dernière et la bonne car j’enquille l’autoroute et ce sera moins facile pour intervenir si jamais…Cela m’a permis de vérifier à nouveau  le serrage des sangles des sacoches qui est bon. Je repars avec cette fois du retard sur l’heure du rdv mais bon je ne m’en fais pas trop car le ferry part à 17h et la limite d’enregistrement est 16h30. Je prend l’A10 à Saint Avertin puis l’A28 direction Le Mans sans soucis de frein bifurcation avec l’A11, je décide de m’arrêter faire le plein j’ai un doute sur le faite d’arriver à l’aire d’Alençon sans encombres, je ne vais pas en plus me mettre une panne d’essence dans le dossier. Un sms au copaing j’arriverai vers 15h. Arrivé à Gacé, je décide de sortir de l’autoroute bien pénible avec le vent mais sous le soleil. Je me dis que j’en profiterai pour retirer de l’argent à un distributeur pour faire le change en Grande Bretagne ou avant de monter dans le ferry, il doit y avoir un bureau de change à proximité et aussi refaire le plein pour être sûr d’arriver au havre sans encombre. En fait rien de tout cela je n’ai fait, le temps est compté et je ne trouve rien sur mon trajet sans faire un détour. Direction pont de Normandie, je trouve une station après un péage mais pas indiquée je désespérai d’en trouver une. Je suis les panneaux cars ferrys qui me mèneront au point de rdv à 15h35, je sens que je suis sur le bon chemin je tombe sur un groupe de 5 à 10 motards anglais. Dernière anecdote avant de rejoindre véver, un routier manœuvre dans une rue étroite mais c’est compliqué et long. Ouf, ça y est la jonction est faite, reste le plein à faire mais là aussi une anecdote toutes les pompes sont en panne et le dépanneur vient d’arriver mais pas le temps d’attendre, go to the ferry-boat.

Nous retrouvons le fameux groupe d’Anglais à l’enregistrement une discussion s’engage sur la black magic et durant mon séjour ce ne sera pas la dernière. Arrimage des motos en fond de cale avec sangles à cliquet et protection pour la selle, bien content qu’il ne pleuve pas, de n’avoir pas les roues humides pour y descendre. Conseil des Anglais, bloquer la direction et engager une vitesse et je suis le conseil d'un copain e Jean-François : sangler la béquille latérale à la roue avant pour éviter  qu’elle se replie avec un mouvement vers l’avant.

Aller, on monte pour se reposer dans les sièges inclinables, un petit repas durant la traversée et hop ça y est on débarque à Portsmouth en attendant de faire enregistrer notre arrivée en Angleterre, je m’étonne d’un groupe de motards français et surtout de leur installation improbable sur des motos sportives, ça va être étanche, exemple : une énorme caisse en alu sur un support de top caisse monté sur un SP1. Premier contact avec la conduite à gauche et direction l’hotel. Pour le moment tout va bien.


 Véver m’annonce que demain il pleuvra mon optimisme me fera m’endormir en me disant on verra demain, hop dodo.
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mardi 28 mai :

Véver avait raison. Premier contact avec un buffet de petit dej’ à l’anglaise mais je ne me risquerai pas, je resterai sur du classique bread butter and confiture.



Allez il faut tout remettre sur les motos premier test d’étanchéité pour les sacoches je suis confiant car la fermeture se fait comme sur les sacs des marins.



Véver voulait faire un détour par Cardiff pour une photo devant le stade de rugby mais la météo ne l’engage pas. Je m’équipe du pantalon de pluie sur mon pantalon en cuir et de ma veste de pluie sur mon blouson et c’est parti pour trouver un vendeur de carte prépayée pour avoir le portable à la mode anglaise et surtout l’accès à internet en «free». Je me gare sous un parking de supermarché et devant l’entrée véver me rejoins et part faire ses emplettes téléphoniques.



La black magic est observé par les passants, l’anecdote du jour un type est tellement absorbé par la black magic qu’en continuant de marcher il a failli se cogner dans un lampadaire, j’ai cru à une vidéo gag, j’ai cherché les caméras mais rien.

Je sais maintenant à quoi sert un speed 1050: il me sert de porte-manteau :Ddes vêtements étanches gardant la chaleur et comme véver ne revient j'ai rapidement chaud



Direction Liverpool direct par l’autoroute sans détour sous une pluie battante, avant d’y rentrer, je fais un arrêt carburant, je discute avec la caissière qui me demande où je vais et m’indique la voie à suivre pour prendre le ferry mais direction la France, je me dis soit mon anglais est à revoir soit l’île de man n’est pas très connue et encore moins le tourist trophy. Entrons sur l’autoroute à 2x3 voies sous une pluie digne de l’épisode de l’arche de Noé : les essuis-glaces des voitures à fond ne suffisent pas pour évacuer l’eau des pare-brises. Pour moi, ma première paires de gants commencent à prendre l’eau mais pas d’autre points d’entrée du dit liquide. Premier arrêt au bout de 125km à une station, véver me dira : « j’ai une botte qui prend l’eau. »




Après un changement de paire de gants, ceux d’hiver seront mieux car en plus de la pluie il ne fait pas une température estivale. Second arrêt après plus de 2h d’autoroute toujours sous la pluie et je ressens un léger froid aux pieds mais toujours pas humide alors je décide de mettre en place ma technique de chaussettes courtes que j’utilise l’hiver pour réduire le froid. Véver me dira : « la deuxième botte est humide ». Durant cet arrêt nous en profiterons pour faire le plein des réservoirs mais aussi des estomacs avec comme gouter des sausages with beans, hot chocolate and muffin, ça nous réchauffera..

Véver en profitera pour s’équiper étanche en chaussettes sac poubelle et mettra ses vêtements de pluie sous sa veste et son pantalon qui sont trempés et moi pour acheter une gobelet pour l’apèro des Français.

 En resserrant mon rétro un type vient me parler car c’était la première fois qu’il voyait une black magic en vrai, il la connaissait par des photos dans des magazines.

 Je dirais que je ne trouve pas qu’il y a trop de vent mais véver me dira qu’il en prend plein la tête, j’en conclue que la position de la black n’est pas si mal que ça finalement. Ça me rappellera l’article que j’avais lu signé par Pierre Vedel. On repart pour les 140 derniers kilomètres toujours sous la pluie à rouler au milieu des voitures des trucks qui se doublent avec notre vitesse oscillant entre 95 et 110 km/h. Pour le moment peu de motards nous ont doublés, par contre croisés beaucoup dans le sens inverse : le TT s’est fini ? a été reporté ?                                                                                                                         
 Le contrôle direct au-dessus de l’épaule m’a été plusieurs fois salvateur m’évitant la rencontre avec le côté des voitures des autochtones, merci pat de m’avoir fait comprendre l’intérêt en leçon circulation moto.                                                                                                                         
Arrivés à Liverpool, à vers 19h, des panneaux cars ferrys nous indiquent la direction à ne pas suivre, le gps de véver nous guidera à l’opposé jusqu’à l’embarcadère de steam (racket) packet pour l’île de man.

 Décision est prise de ne pas laisser tout de suite les motos sur place car 2 motards anglais ne l’ont pas fait. Direction une station service pour mettre du carburant en full dans le tank. Après avoir tenté de prévenir véver en klaxonnant de la présence de pompes distribuant le précieux liquide pour nos montures j’ai pris la commande pour tenter de retrouver la dite station pas trop éloignée de l’embarcadère. En clair je nous ai évité que véver nous fasse retourner à Birmingham… décision est prise de retourner à l’embarcadère de faire l‘enregistrement et de voir pour laisser les motos. Dans la discussion avec les employés nous accueillant, un nous dira qu’il y a toujours quelqu’un qui a un regard sur les motos. Banco on les laisse, bien nous en fera car nous avons pu rencontré lili sur sa street R et son compagnon Jéremy sur sa S1000RR. Après avoir pris quelques photos des motos déjà en attente d’embarquer








 et autres discussions sur la conduite des grands britons sur autoroutes sous la pluie et autres problèmes d’équipement étanches (merci moto mag’ pour les comparos, je serai le seul à n’avoir pas subi d’inflitrations sauf niveau de ma première paire de gants et mon gant d’hiver  gauche que j’utilise pour tenter d’évacuer l’eau sur la visière). Nous décidons de trouver un coin au sec, chaud pour boire voire se restaurer, le premier rad trouvé n’est justement pas un rad mais un hotel restaurant d’assez haut standing et nos accoutrements ne correspondent pas trop avec l’ambiance. Nous décidons quand même de rentrer et assez vite véver tente d’enlever des couches de vêtements allongé dans le hall de l’hotel pendant que lili, pas encore habitué à l’humour krapullien, essaie de me commander un lait fraise. Avec véver ayant mangé au goûter, nous ne mangerons rien alors que lili et jeremy dévorent un beef burger plus qu’alléchant. 22h retour à l’embarcadère et nous rencontrons un bourguignon en stelvio attelé

La discussion s’engage son fils et sa belle-fille courent en side, il a participé à engager un café racer au Mans et il nous invite à passer au paddock les voir. Tout ça commence bien, le top départ de la descente des motos vers le ponton est donné puis plus rien… normal le ferry n’est pas encore à quai. On nous fait nous garer les uns bien collés aux autres histoire d'en mettre le plus possible.











    
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mercredi 29 mai :

En suivant les autres on se retrouve dans une très grande salle à attendre et à continuer à faire mieux connaissance avec nos nouveaux copaings. Observation de la moyenne d’âge autour de nous, des styles vestimentaires et surprise pour moi quelques motards habillés façon tout-terrain.



 Une fois sur l’ile je constaterai que tous les styles de motos sont représentés. Ça y est, ça bouge dans la salle et étant dans les premiers dans la file il faut que l’on n’arrive rapidement.





Le top départ est donné et on monte. De notre groupe de 4 véver est le premier suivi de jeremy puis lili et je ferme la « marche » on rentre dans le ferry et je vois véver qui monte à l’étage et jeremy est dirigé vers la gauche pour revenir juste devant l’entrée/sortie je me dis cool on sortira dans les premiers et merdum car il me faudra attendre véver qui sortira dans les derniers. Et là je vois les motos se faire ficeler à la rambarde avec une simple chiffon dur la selle et une simple corde du cale pied droit vers la rambarde.





Ça change par rapport au ferry en partant du havre. Après s’être installé à une table de 8 pour nous 4 je décide de redescendre avant que cela ne soit plus possible afin  de sangler ma moto et d’attacher la béquille à la roue avant surtout que la mer sera moins d’huile que pour traverser la manche.








Rapidement, mes compagnons s’endormiront moi aussi d’ailleurs malgré le bruit et l’odeur de « je ne sais quoi qui grille, chauffe »



 Puis je me réveille et décide de marcher pour observer ce qui se passent dans le ferry, comment les gens organisent leur temps de traversée. Je n’ai pas vu trop d’abus d’alcool, mais des gens cherchant à dormir dans les moins pires des conditions.





Un petit tour dans la boutique et j’achète le programme avec déjà des souvenirs d’une ile que je ne connais pas encore. Ça y est l’heure de descendre arrive je me dépêche d’enlever la sangle pour ne pas retarder la descente et donne un rdv à véver dehors : « on verra bien ». j’ai pu réaliser pleinement l’ampleur de cette course avec toutes les motos et autres motards dessus qui vont vers leur point de chute pour certains très lourdement équipés.



Ça y est j’y suis. C’est au tour de véver, direction le b&b car un peu de sommeil dans un lit ne sera pas de refus nous sommes accueillis vers 5h30 6h avec la porte du garage ouverte, notre hôtesse nous expliquant le fonctionnement, une douche et au dodo, 9h30 petit dej’ ne connaissant pas le nom j’ai choisi manx kipper : 2 filets de hareng fumés tièdes et des tartines de pain de mie beurre avec beurre salé. Ça y est j’y suis. C’est passé comme une lettre à la poste mon estomac s’habituant au petit déj’ local. Après un taillage de la carte sim de l’opérateur local en mini sim et le desimlockage de mon téléphone, un nouveau dodo puis on décide d’aller à bungalow (dans la montagne) mais sans trop savoir niveau organisation comment y aller. Un coup d'oeil sur la carte, je ne vois pas de route hormis les rails... Du coup on retrouve lili et jeremy à creg ny baa pour pas grand-chose car sur la montagne il pleut.






 Sur le retour j’en prends plein les yeux avec cette vue sur la corniche. Première soirée à douglas, nous trouvons une pizzeria pour manger, dans laquelle lili a pu se faire plaisir avec les desserts. Mais je reste sur ma faim concernant la course,  les grands malades de a poignée à toc sur les 60 km et les quelques 250 virages... Du coup je décide d'aller faire un tour jusqu'à Laxey mais en fait j'ai poussé trop loin, je suis allé jusq'à Ramsey et je me suis retrouvé en bas de la montagne sans le savoir: j'aurai pu faire la montagne de nuit. aller au dodo
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
je mettrai le reste des photos ce soir, désolé mais le bricolage m'appelle Very Happy


Le jeudi 30 mai :  nous décidons de faire le tour du paddock des tops pilotes. Là aussi, j’en prends plein les yeux : la proximité avec les mécanos qu’il est possible d’observer, de prendre en photo et je suis très étonné par la distance que les spectateurs gardent aussi bien physique que de gêne occasionnée aux mécanos.































J’en prends encore plein les yeux et la tête en me disant que c’est possible de s’auto-discipliner , en revenant à la moto, nous croisons un motard avec une triumph des années 60 qui a servi à la police sud-africaine.





 Un « voisin » de parking avec son tiger, m’interpelle sur la black. Nous discutons puis je lui propose de s’assoir dessus et de le prendre en photo avec son prtable, je vois son sourire grandir en s’installant dessus et me remercie chaleureusement.

Hop, on est parti, malgré la circulation, je prends conscience de l’infrastructure dans laquelle les pilotes courent : la proximité du mileu urbain, le revêtement qui n’est pas un vrai billard et je me dis qu’à fond ça doit bouger sacrément. Un arrêt à Ramsey pour manger dans un petit restau aguichant par les photos des plats qu’ils font, nous entrons et sommes ravis par la qualité gustative des plats.





Au retour, un type vient vers moi et nous commençons à parler de la black qu’il n’a jamais vu en vrai mais qu’en photo sur des magazines. J’apprendrai qu’il est américain et qu’il vient d’Alaska, je lui propose de s’assoir desus et le prends en photo avec son portable. Puis, nous attaquons la montagne : « one way traffic » avec en bas une première réduction de voie avec des cônes surveillée par 2 voitures de police, puis les deux voies sont ouvertes en sens unique, mais gaffe à serrer sa gauche et un œil dans le rétro de droite car il y en a toujours des plus vites que soi. Une deuxième réduction  à une voie au niveau de bungalow où nous ferons un arrêt pour rendre nos hommages à Joye… 26 titres au TT. Quelques photos:





je lui rends un hommage krapullien:







puis en revenant aux motos 3 motards sont autour de la black et véver dit en blaguant qu’elle est à vendre et la réponse fuse très vite combien d’un ton très sérieux, j’explique que c’est une blague mais pas la déception se lit sur son visage. Le troisième reste après le départ des autres et me demandent des infos sur la black mais aussi sur les pilot road 3 car apparemment il n’y en aurait pas en Allemagne. Aller, nous partons pour finir la montagne et arriver à la troisième réduction de voie se profile avec un feu au niveau de creg ny baa et on retrouve une circulation en double sens et je me dis que dans cette partie du circuit le revêtement est nickel, la vue sur la mer est superbe, les pilotes doivent vraiment prendre leur pied, les deux voies sont larges ouaaahhh !!! retour au paddock:







 on se décide à se poser à bray hill:
avant:



après fermeture de la route:




nous ne voyons pas les pilotes arrivés mais on les aperçoit passer, non pas qu’il y a des spectateurs qui nous gênent la vue mais la vitesse de passage fait qu’il est difficile de les voir et on les voit repartir après la compression vers une montée qui redescend vers le freinage pour passer quaterbridge. Je me souviendrai souvent du visage de jeremy en voyant les premiers passer, il a fallu lui refermer la mâchoire car il restait bouche-bée par la vitesse de passage alors que les pilotes venaient de s’élancer du départ. 














Après les différentes catégories solo nous bougons pour retourner aux motos puis nous entendons les side cars arriver nous les regarderons d’un autre point de vue dans la descente après la station essence, ils sont à toc, ouaaahhhh, une deuxième fois. On décide que pour le lendemain nous ferons l’autre partie du paddock ceux dans l’herbe et de passer voir les bourguignons en side.
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Vendredi 31 mai : retour au paddock pour voir les compétiteurs dans l’herbe, je perds mes coéquipiers dans le paddock des bitumeux, et au hasard de mes déambulations, je rencontre John Macguiness qui vient faire nettoyer son casque, quelques photos puis on se retrouve.


























Nous faisons le tour du "deuxième" paddock des bitumeux puis direction le paddock dans l’herbe.








la mv F3 de timothée



autre niveau du paddock ou l'utilisation d'un hayon comme support moteur pour travailler à hauteur d'homme















comment faire corps avec sa macine: dormir avec...









la première voxan que je verrai durant le séjour et aussi l'avant dernière



Nous trouvons le campement des bourguignons side-caristes. Discussion avec fréderique singe dans le side sur sa vie de co-équipière au tourist trophy puis rencontre avec une jeune pilote de side, 22ans,  championne de France et pour sa première participation est déjà très bien.







après à quoi peut servir un speed 1050 voici à quoi peut servir une sprint st





retour dans le paddock des top pilots

RIP durant le TT 2013







Je préviens mes copaings que je veux aller voir le stand kawa avant de partir et en face je vois un peu de monde et une tête que j’ai déjà vu plus tôt qui fait des dédicaces. Je me mets dans la file et j’obtiens une dédicace personnalisée de John Mcguiness sur son livre, mon bob et mes camarades après avoir réalisé que je ne racontais pas des cracks ce sont fait dédicacés leur casque par le même môssieu Mcguiness qui avait déjà 19 victoires au TT.








Puis on part direction laxey et on s'arrête sur le front de mer pour manger et je trouve ça:












Direction ramsey  pour aller à ballaugh bridge voir le fameux pont pour les sauts. Je me place du côté droit par rapport au sens du circuit. Je peux voir arriver les concurrents avec de les voir sauter et passer derrière le raven. Mes camarades s’étant placés de l’autre côté, ils les voient sauter puis repartir dans le droite/gauche.




notez la protection du mur au cas où un pilote rate son saut




lis side ouvrent les sauts, mais remy, le pilote side bourguignon, nous avait prévenu que pour les sides sauter servait surtout à tout détruit et donc à rien



les solos arrivent, chacun avec son style:














celui qui aura sauter le plus haut et le plus loin en donnant 2 grands coups de gaz en plein saut, un newcomer






tiens celui-là je l'ai croisé deux fois ce matin



Lien à poster
Partager sur d’autres sites

et ce n'est pas encore fini... enfin presque:



Samedi 1er juin : avec véver, nous allons à creg-ny-baa, mais le point de vue ne peut plus être de la tribune devenue payante mais de toute façon, elle est en sold out.





























Puis après nous décidons d’aller jusqu’à port erin,  nous mangerons dans un pub juste avant la fin du service.






voilà ce qu'on peut voir dans la gare de port erin:







Nous trouvons l’hotel des talliens puis direction castletown, visite à pied et un thé dans un petit salon de thé et s’engage sur la vie sur l’ile, un très bon moment.





Retour à douglas, je retrouve lili et jeremy pour un spectacle de fmx, trial et stunt.












Je me ballade, dans Douglas, le soir l’ambiance est alcoolisée pour tous et court vêtue pour les dames. Je repars à la rencontre des talliens qui descendent de la steam racket. Puis dodo, car demain mad Sunday alone, mais mad Sunday quand même.
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

j'ai presque fini de vous embêter avec mon cr:



Dimanche 2 juin:

difficile de trouver des infos sur le mad Sunday, sachant que l’après midi la course de superbike est prévue j’essaie de retrouver la ligne de départ, je me perds un peu puis j’arrive entre bray hill et quaterbridge je ne trouve pas plus d’infos alors direction la montagne en suivant le tracé de la course mais la circulation est identique aux autres jours. Arrivé à la montagne pas plus d’infos juste un panneau indiquant qu’il faut : « use yours mirrors ». c’est parti, je tombe sur un camping car qui me bouchonne, quelques motards ouvrent en grand, une porsche ouvre aussi, à bungalow pas de changement en fait pas de changement par rapport au reste de la semaine des essais… mad Sunday or not mad Sunday en tout cas j’y étais. Je décide de me poser à sulby crossroad juste un muret qui sépare de la route. Les pilotes sont à toc, je suis à côté d’un local qui suit la course avec sa radio, un carnet pour noter le résultat des 15 premiers.


















Mickael Dunlop gagnera. Après que la route soit ouverte, je retrouve les talliens à ballaugh bridge, on essaie de passer par la montagne mais la route est fermée puis on passe par laxey on se pose à Douglas où on mange et on retrouve le véver. Direction les paddocks avec les talliens




puis dodo.
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Lundi 3 juin : je décide d’aller à laxey, de laisser la moto à la gare pour prendre le train direction bungalow. Dans la montagne je m’attendais à avoir froid et bien non limite chaud, l’avantage c’est de pouvoir voir les pilotes un long moment et de passer sur les rails du train.






















La course de supersport est gagnée par mickael Dunlop. Je décide de redescendre, c’est l’avantage avec le train de pouvoir monter ou descendre quand on veut, enfin en fonction des trains.




En attendant le départ cela me permet de voir les side faire une séance d’essai.


















Avant d’arriver à laxey, j’aperçois, vik qui mange à une terrasse, je saute du train sur la black et je rejoins les talliens, on mange ensemble puis les talliens décident de prendre le train pour monter à bungalow. Direction Douglas, je retrouve véver. Douglas puis lili jeremy. Après un passage au b&b, véver nous rejoint. Et là un monsieur d’un certain d’âge vient discuter autour de la black. Il m’explique que dans les années 70, sa voiture a gagné aux 24h du Mans, il me montre sa carte : il s’appelle max heiddegger, il compare la black à une bugatti niveau qualité de fabrication. Bon trève de discussion, direction port erin pour passer la soirée avec les talliens. Sur le trajet on s’arrête à l‘arbre des souhaits.




La légende dit qu’avant le TT, les pilotes viendraient demander aux fées d’exhausser leur vœu. Avec Lili, Jeremy, nous laissons chacun un vœu. A port erin, nous profitons de la vue en attendant les talliens.








Petite soirée sympa avec les talliens. Dodo, car demain tôt un tour commenté par fabrice miguet
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Mardi 4 juin :
réveil tôt, car je retrouve les talliens aux paddocks pour faire le tour du circuit avec Fabrice Miguet en commentateur de certaines portions de circuit.









Merci à lui pour ses commentaires riches d’enseignements sur les qualités techniques, la connaissance de soi qu’il est nécessaire d’appréhender pour faire cette course et en revenir vivant. Arrivés dans la montagne là c’est chaud patate !!!! une petite photo de Mig avec la black et hop retour au paddock.



je fais un dernier tour pour dire au revoir aux side-caristes bourguignons et continuer de comprendre ce qui anime et retient les concurrents pour faire cette course.



Fred me racontera d'où vient cette éraflure, qui m'a fait comprendre l'importance du "singe" dans un side: une erreur de placement de madame et le side est déséquilibré, il le tient comme il peut et va taper dans un poteau et tout ça à fond

J’aperçois Guy Martin descendant d’une camionnette qui vient dans le stand de son team habillé comme s’il venait de passer la tondeuse, faire de la peinture et du plâtre.



Il est auprès de ses motos mais personne n’ose l’interpeller il ne jette même pas un regard sur nous ni un signe de la main. J’en profite pour le mitrailler autant que je peux.





















Un dernier tour sur les tribunes sur plombant la ligne de départ, les derniers achats au stand TT officiel et je retrouve les copaings au point resto du paddock.







Avec lili, jeremy nous allons essayer de voir mickael Dunlop dans le stand Honda TT legend mais on nous explique qu’il est dans son team pour le supersport ne le voyant pas lili demande à un vieux monsieur assis dans un stand sous esbrouffe s’il est là et s’il peut signer nos casques. Ça y est j’ai la signature du vainqueur du superbike de la première manche du supersport , du superstock et qui gagnera la deuxième manche du supersport. B-). On décide d’aller manger un morceau entre Onchan et Laxey puis on repart pour commencer à préparer nos affaires car demain midi départ pour le ferry, direction Liverpool.



Sous prétexte de faire le plein je fais un dernier tour dans Douglas pour mes derniers achats souvenirs histoire de faire encore durer ces quelques jours de communion avec la moto et tout ce qui va autour… A mon retour à la moto, deux couples me félicitent à propos de la black et me demandent de la démarrer, je leur dis que c’est soft, just enough puis direction le b&b pour aller rejoindre nos copaings rencontrés à Liverpool pour une dernière soirée. Nous avons droit à un show aérien de l’équivalent de la patrouille de France.







Un repas asiatique, puis nous profitons des derniers rayons de soleil en rentrant à pied. Dernière soirée, discussion avec nos « voisins » de b&b.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Mercredi 5 juin : rangement des affaires dans les sacoches, chargement sur les motos



direction le ferry, un peu d’attente sous le soleil




deux suisses en triumph bon courage à eux pour le retour





puis on monte comme à l’aller, je sangle la black à la place de la simple corde




sûrement équipé pr un moteur voxan





on débarque puis direction un b&b du côté d’Hinckley par l’autobeurk mais cette fois sous le soleil : demain matin visite de l’usine Triumph. Après une pinte de bière servit par le taulier, une visite du jardin et une discussion avec un Anglais revenant d’Australie notamment sur la britten, direction un resto indien, mais pas la française, avec les saveurs et la force des épices mon estomac s’en souviendra un petit moment.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Jeudi 6 juin : aller direction la maison mère pour visiter the factory 2.





Après les photos devant l’enseigne, puis avec les badges devant l’entrée et dans le hall, en clair là où nous avons encore le droit de photographier.





















ma première triumph:



nous rentrons dans le sujet avec un membre de l’équipe de direction commerciale. Il nous explique comment Triumph fonctionne pour les stocks des pièces, l’expédition des motos suivi par l’atelier montage. La spécificité c’est qu’il commence part monter le moteur puis tout le reste autour mais une autre spécificité apparait : sur la seule ligne de montage, tous les moteurs peuvent être montés et surtout les ouvriers passent d’un bi cylindre bonnie à un 675 puis à un 1200 suivi par un 1050 avec un ordre d’arrivée aléatoire d’un moteur à un autre. Puis le moteur passe par le biais d’un robot à la suite de la chaine de montage, le cadre puis tout le reste de la moto, jusqu’au banc d’essai. La visite se finit aller direction Douvres pour prendre le shuttle, malgré la circulation, nous arrivons avec une heure d’avance sur le programme nous montons dans le wagon pour 35min de trajet sans sanglage, ni siège et les portes coupe-feu fermées entre les wagons.





Une discussion s’engage avec 2 couples d’Anglais sur le TT, la black (le plus jeune demandera si c’est un moteur suzuki, aprilia et sera surpris d’apprendre que voxan montait ses propres moteurs) et nous voilà arrivés, reprendre l’habitude de rouler à droite et nous faisons Calais, le sud de la région parisienne, pour manger et dormir chez un couple d’amis.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Vendredi 7 juin : retour à la maison par l’A10 puis sorti à Blois par la levée, j’ai du mal à rentrer à la maison car, ça marquera la fin de ce périple chargé émotionnellement, d’enseignement sur la prise de risque, le monde de la moto et l’auto-contrôle. Vivement que je puisse le refaire !!!

this is the end
Lien à poster
Partager sur d’autres sites
elodie a écrit:
merci pour ton CR et les photos, sympa de nous avoir fait partager ton périple...............c'est tentant

Fais attention dodie, l'essayer c'est l'adopter
Je me disais je le ferai une fois maintenant je sais que je le referai: la question est quand
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

pour répondre à ta question jipé: 1400€ sachant qu'il y avait 10 nuits payantes et chaque fois dans logement en dur: soit b&b soit hotel
sur l'ile il y a moyen de réduire le budget hébergement en dormant en camping mais il y a tout le matériel camping à transporter, le problème des commodités (douches, toilettes) le petit dej' à rajouter,... chacun son choix mais niveau tarif c'est imbattable: en b&b: 55livres par personne et par nuit y compris la douche, toilettes, serviettes, petit déj et accès à la machine à laver, en fait ce sera notre hôtesse qui s'occupait de notre linge qu'on lui donnait à laver. Des copains en hotel étaient sur un tarif très proche 50livres
j'ai vu des annonces pour des camping à 10 la nuit, je ne sais pas si c'était par personne ou par emplacement.
nous avons eu 2 nuits une à Portsmouth à l'aller car pris le ferry au havre et avec les horaires on arrivait assez tard genre 22h 23h pour le ferry à Liverpool le lendemain même horaire.
puis au retour avec la visite de l'usine Triumph une autre nuit à Hinckley dans un b&b.
Il doit peut être y avoir moyen de faire les traversés de nuit et ne pas dormir sur place en fonction des horaires.
Un copain expliquait que l'année prochaine une autre compagnie de ferry devrait arriver sur le marché de la traversée pour l'ile de man ce qui pourrait réduire le coût de traversée par rapport à la steam (racket) packet qui a le monopole pour le moment.
ensuite tout dépend de son appétit niveau culinaire et consommation de liquide:
boissons: perso, je n'ai tourné qu'à l'eau et autres sodas
carburant
si tu veux je pourrai faire un détail plus précis entre les différents postes de dépenses
pour le financement c'est un projet qui est sur pied depuis 2ans donc chaque mois je mettais de côté 70€ pour mon séjour mais aussi pour l'équipement: des sacoches qui s'adaptent sur la black et surtout étanches que j'ai eu du mal à trouver en France pour presque 300€, mais comme je ne voulais pas partir avec un sac à dos et que je n'avais pas trop le choix niveau équipement (une sacoche de réservoir magnétique ne tenait pas sur le réservoir qui est en alu mais il doit y avoir 7 couches de vernis donc ça ne tenait pas) et surtout que je ne voulais pas trop me poser de questions niveau étanchéité ni niveau tenue sur la moto avec un système simple, l'achat d'un pantalon et d'une veste de pluie testée et approuvée niveau étanchéité en l'occurrence dans le numéro de mars ou avril 2013 de moto mag'.
pour les sacoches je veux bien les louer à 5€ si quelqu'un en a besoin elles s'adaptent sur toutes le motos et j'ai acheter aussi les protections thermiques de bagster testées et approuvées sur le trajet directement posées sur les pots mais rien elles n'ont pas fondues ni fait de traces sur les pots. Pour les 5€ c'est symbolique car il faudrait que je les loue 60 fois pour revenir à 0. capacité totale 70l: une de 30l et 2 de 20l il est possible de mixer genre 30+20 ou que 30 ou que 20

sinon niveau paysage sûrement je ne connais pas mais l'ile de man n'est pas loin de l'Irlande  et de l'Angleterre, Ecosse.
Pour l'Irlande, je te reconfirmerai quand j'y serai allé pour voir le north west 200 un autre projet voyage moto, on en a causé avec des copaings mais cela se fera peut être que dans 5/6 ans peut être que d'ici là j'aurai été à Chimay en Belgique, au mugello,Brno,... berefff plein de projet voyage motos en tête
Wink

Lien à poster
Partager sur d’autres sites
×
×
  • Créer...