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Bons bouquins...


Messages recommandés

je sais pas si dans "press" on peut faire rentrer d'autres publications, en l'occurrence des bouquins, mais pourquoi pas :

J'ai feuilleté ça dans une lib' récemment, bouquin sympa sorti fin de l'année dernière... Stock-cars en France, 1953-1970.



9 mai 1953, Stade Buffalo de Montrouge. Vingt-quatre voitures se présentent sur « une piste plus ou moins ovale de 340 mètres. » Sur la grille de départ, des De Soto, Ford, Buick, Lincoln, Studebaker... Des américaines qui, devant 18.000 spectateurs chauffés à blanc par le speaker, vont s'affronter en six manches de la première course de stock-car se déroulant en France. La piste a été trop arrosée et les autos ont un mal fou à tenir leur trajectoire. Le Belge Paul Dua ne peut ainsi échapper au bidon de 200 litres qu'il prend de plein fouet avec sa Ford. La voiture décolle et retombe sur la piste effectuant plusieurs tonneaux. Le silence se fait instantanément dans le stade. Puis une immense clameur monte, les applaudissements jaillissent tout autant que les hurlements d'une foule qui manifeste un plaisir qui ne va pas se démentir dans les années qui suivent. Comme le raconte Guy Curval, sous la plume du journaliste Philippe Berthonnet, un phénomène venait de naître, qui allait bouleverser son quotidien. Il n'a alors que 19 ans et il va débuter dans le stock-car grâce à un certain Gil Delamare, célèbre cascadeur rencontré un samedi matin dans une casse. Ce sont ses souvenirs qu'il évoque dans cette passionnante évocation de courses à nulles autre pareilles, totalement déjantées qui verront des pilotes hors normes se tamponner au volant d'américaines, mais également de Delahaye 135, Talbot Lago, Traction, sorties de la casse le temps d'une épreuve pour y retourner juste après... Incroyable et terriblement prenant, de la première à la dernière ligne.
Stock-cars en France, 1953-1970, Guy Curval et Philippe Berthonnet, ed. ETAI, 2007, 144 p., format 270 x 240 mm, ISBN 978-2-7268-8758-5

source du texte : http://gazoline.net/

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Pourquoi pas, j'aime bien la bonne lecture, le grand charles entre autre ....

Niveau lecture moi je me relis une fois de plus celui-ci, rien à voir avec la brêle et les caisses, mais j'pense que ça peut entrer dans l'truc ...



"HELLFIRE" de Nick Tosches

Alors il arriva, portant un costume rose criard aux revers pailletés et une cravate de ruban noir, du genre de celles que le vieux Lewis portait avant la guerre de Sécession, et il regarda le public, qui le regardait derrière un rideau d’applaudissements (…) Jerry Lee Lewis ratissa les touches du piano à queue et hurla le feu, et les membres du public, recevant, chacun à sa manière, le message du Diable, ne murmuraient plus mais criaient sauvagement ou restaient silencieux, selon le penchant de leur âme.


Jerry Lee leur accorda à peine plus de dix minutes. « Son attitude envers le public frise le mépris », écrivit un journaliste britannique quelques jours plus tard. Les adolescents – ceux qui avaient fait bruyamment entendre leur excitation comme ceux qui étaient restés silencieux – se mirent à huer et à siffler quand le rideau descendit. Quelqu’un entonna le God save the Queen et d’autres se joignirent à lui au milieu des huées et des sifflements. Enfin, le rideau se releva et Jerry Lee donna davantage, et il le leur donna durement, frénétiquement et implacablement, tel un homme qui s’accouple, lascif et trahi, avec une femme qu’il hait ; puis il quitta la scène.D'aucuns se posaient, ces dernières décades, une question iconoclaste : existait-il (quelque part dans notre grand chaos climatisé) une littérature rock ? On trouvait toujours quelqu'un d'un peu distrait pour citer la beat generation, Jack Kerouac, Ginsberg , Burroughs, etc : un beau mélange qui menait nulle part. Pourtant le rock, cette musique sauvage qui déferla sur les ondes du fond des années 50, semblait avoir laissé sec les lettrés. Alors ? Rien à l'est, rien à l'ouest ? A voir. Aux Etats-Unis, des journalistes venus de la presse rock, ont écrit des bouquins. Le plus talentueux d'entre eux est peut-être Nick Tosches. Ce gars est capable de vous faire prendre des artistes qui ont produit une musique atroce pour des génies musicaux. Menteur comme un écrivain ? Non, plutôt possédé par certaines idées fixes qui permettent d'aller loin. Avec Hellefire, biographie de Jerry Lee Lewis qui a mis 20 ans à parvenir au pays d'Astérix, on découvre un réel écrivain.


Ce livre nous plonge dans le vieux Sud, celui de Faulkner ; en Louisiane très exactement, ces terres plates caressées par les eaux fangeuses du Mississipi. Nick Tosches ne commence pas son bouquin par les vagissements du petit Jerry Lee quand il n'a pas encore un cheveu sur la tête ; il plonge deux siècles plus tôt, partant de l'arrière grand-père, et remonte les générations. Avec une écriture, un ton, des périodes bibliques, il montre comment la semence des Lewis a donné une grande tribu du côté de Moroe et de Ferriday. On se marrie jeune, on boit sec, on est parfois des durs, mais surtout des gens du Sud. On vit au pays des sectes pentecôtistes. On aime la musique dans les églises où souffle l'Esprit Saint, aussi en dehors des églises ; et le petit Jerry Lee naît dans cette soupe-là.


Le récit est lancé. Après le ton biblique épicé par le langage du Sud, on passe à l'ascension du rocker qui a pour seul rival Elvis Presley. A l'épopée d'une famille succède celle d'un homme, le Tueur --surnom qui lui vient de l'école ; il se met à jouer, chanter du boogie-woogie --la musique du Diable--, à accélèrer le rythme. On est en 1954 :date de naissance du rock'n'roll. L'interprétation de Whole lotta shakin' goin' on propulse Jerry Lee Lewis vers les hauteurs : tournée au Canada, prestations à New York. Il atteint des sommets, mais ses concerts déchaînent la violence.


Pourtant la chute vient vite. Pendant une tournée en Angleterre, il révèle son mariage avec une fille de 13 ans --son troisième mariage. De Gaulle, qui évite une guerre civile au pays des mangeurs de grenouilles, lui pique la une des journaux. Et tout s'effondre. Mais après une traversée du désert, il renaît de ses cendres. Quand il revient sur le devant de la scène, il se trouve en complet décalage, ce qui donne des pages piquantes. Extrait : "la situation n'était plus la même, tout était devenu étrange et irréel... Le rock'n'roll lui-même avait changé. Il était doux et faible..." Quand il fait une tournée en Angleterre, il voit " qu'il se passait des choses étranges. Les garçons s'habillaient bizarrement - ils ne portaient pas les habituels costumes des Teddy boys, mais des vestes à rayures et à pois, et de ridicules petites casquettes. Les filles aussi : bottes blanches et jupes couvrant à peine la source de tous les malheurs ". Voilà pour le ton, jusqu'à la nouvelle chute.
Il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur ce livre. L'ascension et la chute de Jerry Lee Lewis, tiraillé entre la voie de Dieu et celle du Diable, meilleur pianiste que Fats Domino, mari et entrepreneur tyrannique, a inspiré à un journaliste qui a pratiqué des tas de boulot --comme tous les Américicains-, n'est-ce pas?-- un morceau de bravoure. Littérature rock ? .Avec ce bouquin, Nick Tosches a frappé dans le mille.
Georges Len


Un extrait :

Whole lotta skakin’goin’ en fit son entrée dans le classement country & western de Memphis, à la deuxième place, durant la troisième semaine de mai, un mois après sa sortie. Le numéro de Billboard daté du 27 mai disait, dans la section « pop » : « Lewis débarque avec un morceau qui va faire un malheur à coup sûr ; c’est un blues hurlé sur un rythme entraînant, dans la typique tradition Sun. Le rockabilly de la face B [It’ll be me] pourrait, lui aussi, frapper fort, car c’est aussi une interprétation exceptionnelle d’une jolie chanson ». La même livraison de Billboard faisait l’éloge du disque dans la section « rhythm’n’blues », qui ne rendait généralement compte que des artistes noirs. La semaine suivante, Billboard signala que le disque avait atteint la première place dans le classement country & western de Memphis ; on pouvait lire, dans la rubrique « Les meilleurs achats country & western de la semaine » : « Cette galette de Lewis démarre aussi fort qu’un feu de forêt. Elle n’est sortie que depuis peu, et on la trouve partout [dans la région de Memphis] en tête des ventes. Elle devrait aussi faire un tabac sur les marchés pop et rythm'n’blues ».
Le 12 juin, le disque entra dans le classement national country & western, et une semaine plus tard il arriva dans le classement pop. La vie ne serait plus jamais la même, ni pour l’enfant chéri de Mamie, ni pour le Tueur.
La gloire souleva sa jupe pour le dernier fils sauvage. Tout au long de l’été, les jours brûlants du Sud succédèrent aux nuits brûlantes du Sud et le son de Whole lotta shakin’goin’on se fit toujours plus fort et plus menaçant. Il était partout, éclatant, comme un coup de tonnerre sans pluie, dans les voitures, les bars et toutes les fenêtres ouvertes des réprouvés. Son rythme maudit dévorait la jeunesse du pays. Il ensanglantait les vierges et rappelait aux jeunes ménagères le souvenir de choses dont elles ne parlaient jamais. Il donnait envie aux garçons de se réinventer pour devenir de nouvelles créatures flamboyantes, et de se mettre sans répit en quête de détumescence.
A la fin du mois de juillet, Whole lotta shakin’goin’on s’était vendu à près de cent mille exemplaires. Alors les ennuis commencèrent. Beaucoup de gens avaient peur de la chanson et de celui qui la chantait. Même ceux qui aimaient bien Elvis étaient nombreux à rejeter Jerry, qui leur apparaissait comme un individu lubrique et méchant. Les mères reniflaient son ignoble présence dans le linge de leurs filles, et les prédicateurs se dressaient devant les ouailles, se répandant en invectives contre lui et sa chanson qui incitait au péché. Progressivement, les stations de radio commencèrent à bannir le disque des ondes, et on l’entendit de moins en moins.


Cool
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  • 3 weeks later...

ça j'ai pas lu, quelqu'un conseille?



Amazon.fr
Vue kaléidoscopique de l'Amérique depuis un bus conduit sous acide, Acid Test est une invite à un voyage sans retour. En 1964, Tom Wolfe s'embarque avec un groupe de marginaux californiens, les Merry Pranksters, dans leur bus scolaire conduit par Ken Kesey (auteur de Vol au-dessus d'un nid de coucou) et Neal Cassady (héros de Sur la route de Jack Kerouac). Organisation de concerts-happenings (les Acid tests) et consommation de LSD au coeur du voyage, les rencontres avec les Beatles et Tim Leary, confrontations hilarantes avec la police et trips divers se télescopent ensuite dans un joyeux chaos. Chronique empathique et distanciée, Acid Test, à la traduction hasardeuse, donne à revivre la gestation et l'expansion du mode de vie hippie. Né de la rencontre d'un intellectuel mondain et de pionniers de l'aventure intérieure, il éclaire l'Amérique des années soixante depuis un symbole, la culture psychédélique qui culminera à Woodstock. Au fil des pages, voyager dans le bus devient alors plus qu'un plaisir : une urgence, car le talent de conteur socioréaliste de Wolfe fait de la soif d'expériences contagieuse des Pranksters une épreuve initiatique moderne. --Florian Pittion

Quatrième de couverture
Cette chronique, qui évoque l'univers des Freak Brothers, retrace la pérégrination à travers les Etats-Unis du premier groupe psychédélique américain, les Pranksters. A bord d'un vieux bus peinturluré embarquent Ken Kesey (l'auteur de Vol au-dessus d'un nid de coucou), Neal Cassady (héros du On the Road de Kerouac) et quelques autres, peintres, écrivains, drogués, vagabonds, marginaux divers. Le groupe recevra la visite des Beatles, participera aux " Trip Festivals " et à la première convention nationale de l'Underground, sans cesser d'avoir le FBI aux trousses. Les années 70 commencent.

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Fred a écrit:
ça j'ai pas lu, quelqu'un conseille?





ouais sans aucun doute
super bouquin ... de loin le meilleur wolfe selon moi et un super coup de pied au cul de tous les connards qui pensent que les USA c'est seulement george bush, les us c'etait quand meme le paradis dans ces années là.
pis le traité du zen ... je l'ai commencé 3 fois, adoré jusqu'au milieu (quand celui qui raconte commence a delirer grave sur le pourquoi du comment des choses, bref le trip hippy-psy ...puis laissé tombé . Sad )
c'est quand meme paradoxalement un bouquin qui m'a bien plu .
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  • 1 month later...

Y'a LA MOTOCYCLETTE de P. de MANDIARGUES également. Catalogué livre "érotique" à l'époque, il met en scène une héroïne nue sous sa combi de cuir noir enfourchant sa HARLEY DAVIDSON modèle 1952 de couleur noire également et filant au petit matin rejoindre son amant.
Evidemment, tout pour me plaire Very Happy

http://www.magnara.com/livres-erotiques/motocyclette.htm

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  • 2 months later...

La meule à dédé :



Y a des jours comme ça ...

Bhe oueps, y a des jours comme ça ou c'est calme, limite tu te fais chier, t'es au taf, tu tires ta journée en zieutant l'horloge toutes les 10 minutes en te disant que putain ça avance pô, que tu préfèrerais être dans le garage en train de bricoler ta meule ou de te siroter un bon jack en regardant une carte et en te préparant des trips de folie, la machine à rêve est en marche ...

Et puis là ...

Bhe oueps, et puis là tu reçois un mail : tiens qui c'est çui là ? Connais pô ! Bwa, tu zieutes distrait, le truc est assez court : "C'est quoi ton adresse, c'est pour t'envoyer le livre la meule à dédé ? .... Gné ? Qu'est-ce que c'est que ce brol, déjà je connais pô de Dédé, pis un bouquin sur sa meule j'vois vraiment pô, je répond en filant mon adresse (j'pensais à un pote ou l'autre en train d'me faire encore une blague à la con et je ricannais déjà), et j'en profite pour demander : "On se connaît ? t'as un pseudo sur les forum" ou un truc du genre ... pô de réponse .... je m'attends au pire ...

Pis là, t'oublies, tu penses plus au truc, tu retournes à tes cartes, à tes rêves de voyages, à cette foutue boîte qui veut pô se laisser faire et que tu vas devoir retomber le moulbif. Les jours passent, tu reviens du taf et dans ta boîte, une enveloppe qui vient de france. Tu rentres, tu te pose à l'aise, un bon kawa fumant dans les pattes, les doigts d'pieds en éventail (fumant aussi ) et tu ouvres ... 'tain LA claque !! La meule à dédé c'est bien un livre (j'vois déjà l'con au fond "ha mais tu connais pôôôô"), la couverture déchire, ça fleure bon la bonne came, j'ouvre, mes yeux se posent sur la première page, une chtite "dédicace" "Salut Christophe, un peu de lecture en passant, super site et belles motos, Amicalement Dêd'", j'en reviens pô, je tourne la page suivante et je décroche plus !! Les tranches de vie défilent, tu ricanes et te dis "ha wais !! putaing" sur les chtites réflexions bien tappées, tu sourris souvent sur une anecdote, t'apprécie les moments de partage, t'arrives plus à décrocher c'est du tout bon .... pis là tu te dis, putain faut que t'en cause, c'est trop bon ...

Bon, l'résumé du bouquin ... bhe il le résume bien mwarf :

"Des morceaux de vie. Furtifs, futiles, décalés, hystériques, historiques parfois dramatiques. Un inventaire incomplet des bizzaritudes du tout petit monde moto, vu au travers de l'oeil déformant d'une clé de 12. Petit mais débordant de générosité, d'enthousiasme, de cinglés, d'exagération, de gros coeur, de caricatures, d'enfoirés et de mauvaise foi. Des personnages, et j'en ai oublié quelques-uns. Parce que d'être motard, c'est une étiquette, un passeport, un moyen de se démarquer, un exutoire, une bulle de gaz, un échappatoire à la quotienne mornitude. Une machine à s'évader, une vraie, pas un rêve. Mais aussi une drogue et son accoutumance. Un recueil d'illustrations et de textes inédits et passionnés, l'univers de la moto dans l'objectif de l'humeur, de l'humour, et d' l'ironie."

.... He bhe si ça, ça vous parle pas !!! ... bhe j'vous en remet une couche tiens, un passage que j'ai adoré, entre tous le autres :


"Le technochiant :

Y en a, j'te jure, c'est des pénibles. De l'Ayatollahs de la fiche technique. Du Torquémada de la caisse à outils. Du mécanico-brises-burnes. Le type qui, quoi que tu fasses sur ta meule, te trouve toujours une savante explication technique pour t'expliquer que c'est une connerie que t'es en train de faire. Avant même que t'essayes. Avant même que tu y touches. Avant même que t'y penses. Le gars qui sait tout sur tout, abonné à Sience et Vie, tout vu tout lu tout entendu, bossé là-dessus des années, connaît machin qui savait que truc, que pour le montage, ya un ordre à respecter, déjà vu faire. Tu penses bien. Toute une vie. Du blaireau qui te fait des amalgames hasardeux entre ce qu'il a vu là, entendu là-bas, lu ici, cru comprendre ailleurs. Mais que ça lui ai jamais arrivé, hein, tellement prévoyant. Passque c'est qu'il a du métier, l'en a fait des trucs ...."

Alors, ça vous cause là ? waips, t'es ferré mon gars ? t'as la p'tite lueur qui s'allume au fond des yeux, tu sens le truc venir, le souvenir, tu remets encore la trogne sur le mec hein ? Bhe voilà, qu'est-ce que je vous disais : du bonheur !!

Chuis pô du genre à faire dans le commercial, loin de là, mais ça, une tranche de vie pareille, faut pô laisser passer, c'est du Charles Bukowski version moto, et j'mesure mes mots . Alors si tu veux connaître la chuite de l'aventure c'est pas là que ça se passe, pis fonce, fô pô mollir bordel !!

Pour commander : le mail à dédé (faut cliquer) ça coûte rien, 19 roros + le port, une misère, pis tu peux le joindre ici aussi : CAN OLIBA 24 rue de la paix 66200 ELNE - France ... allez hop !

En tout cas si tu passes encore dans le coin, un grand merci à toi pour ce moment de bonheur Dédé du Gaazz

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bon pisqu'on a si peu d'info sur le bouquin de la meuladédé, je vais vous causer d'un bouquin que je viens de recevoir, donc pas lu

j'ai appris sur bielle chaude la mort de Nicola Acin, un gars que je connaissais, sans plus, guitariste chanteur des Hellboys, furieux du rock''roll, journaliste à Rocknfolk et autres

il avait 35ans, à mon avis c'est la dreu, mais j'en sais rien, alors je me tais

il venait de sortir un livre sur la mort d'Elvis, du coup je l'ai commandé, je vous le recommande

http://www.cahiersdurock.com/pages/livres/qui.htm


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  • 3 weeks later...
  • 3 months later...

ça aussi

Mike Seate, an avid motorcyclist who has never owned a car, has studied the cult of the cafe racer for many years from multiple points around the world. As a staff writer for the "Pittsburgh Tribune-Review" in Pennsylvania, USA, he also knows how to tell a story. He has conducted dozens of interviews with riders and builders, many now reliving their youth again, that of an original rocker.The building of cafe racers themselves is at an all time high to the extent that several well-known motorcycle manufacturers are busy launching their own Cafe Racer model thus making it easy for all to join the revivalist 'movement'.

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peu aujourd'hui savent qui était Guy Peellaert, mais il a apporté sa piere dans la représentation du rock par la bd, un livre unique Rock dreams qui rend parfaitement l'ambiance des décennies rock à travers toute les icones

http://www.guypeellaert.com/




http://images.google.com/images?client=safari&rls=en-us&q=guy%20peellaert&ie=UTF-8&oe=UTF-8&um=1&sa=N&tab=wi

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  • 5 months later...

pour 3 euros , franchement , faut pas se priver

et pis comme vous avez l air d apprécier, un petit morcif de la préface de CAROLE NAGGAR :

" Pour vous voyeurs , voila des clichés dans tous les sens du terme , photos exploiteuses de clichés .
Voici la plus grande surprise : les voyous donnent d ' eux memes l image que l on imaginait . Evitons l attitude vaguement supérieure
du pseudo-sociologue qui observe avec curiosité et un peu de dédain une espece inconnue ; évitons les clichés de l exotisme facile
( ils vivent à PARIS ? ah , j aurai cru LONDRES OU AMSTERDAM ou NEW YORK ) , le dépaysement à bon compte . KEN PATE habite comme
eux place de la bastille ; il les connait , ils ont posé pour lui , avec plaisir , complaisance meme : l apparence leur importe beaucoup Ainsi , nous
ne connaitrons d eux et de leur vie que ce qu ils veulent bien en livrer : l écume et le clinquant , le cuir et le métal , le maquillage et les
pansements : la peau . "



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  • 1 month later...
piero a écrit:
quoi ? What a Face


ba , euh , c est cool quoi d etre cité juste pour avoir posté un truc comme ça
j ai toujours tendance a me mésestimer alors je trouve sympa que quelqu un trouve un intéret a ce que je pense , dis ou fais


piero a écrit:
n'hésite pas si tu as dautres trucs comme ça cheers


faut que je fouille.....
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