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photos et CR de mon road-trip espagnole


Messages recommandés

pour commencer voila le lien vers les photos https://plus.google.com/photos/108340655939555873979/albums/6172618711304412961?authkey=CMrGuJzXouiQHQ

et le CR écrit

ROAD-TRIP
ESPAGNE DU NORD
2015 

Espagne jour 1

Le réveil sonne à 6h30 après une nuit assez courte. Mais ça y est c'est les vacances !
Après un petit déjeuner et un tour à la salle de bain, je vais me préparer des sandwiches pour le midi avec une baguette encore chaude que papa vient de ramener de la boulangerie (merci papa).
Au moment où je commence à enfiler mais chaussures j'entends Florian arriver avec triumph. Je fini de mettre mes pompes et je vais le salué.
La remorque étant déjà attelée on commence par chargé tous nos affaires dans le coffre de la voiture. Flo m'interpelle et me demande une clé de 11, je lui ramène et lui demande à quoi elle va lui servir, il me répond c'est pour démonter le top case... Je le regarde et lui dit pourquoi tu n'utilises pas le gros bouton de démontage rapide, réponse "à ba je ne savais pas que sa servait à sa " C'est cool les vacances commencent à peine que qu'on rigole déjà.
Une fois tous les bagages dans la voiture on passe aux choses sérieuses, mètre les motos sur la remorque. Je commence par mètre la voiture sur la route avec la remorque bien aligné, freins à main serré. Ensuite on met la rampe face au rail, et je commence par monter ma moto. Démarrage première je vise la rampe et gaz, Nikel un vrai jeu d'enfant je coupe le contact en laissant la moto en prise et il n'y a plus qu'à sanglé. Flo n'ai pas chaud pour monter la sienne du je m'y colle, aussi facile que la première. Le plus long finalement c'est de sanglé les motos.
Vers 9h00 les motos sont bien arrimé la pression des pneus est faite et l'itinéraire est calculé par le GPS c'est bon on peut partir. Un dernier salut au parent et on prend la route. C'est moi qui commence par prendre le volant et je constate rapidement que les 160 poneys de la C5 ne seront pas de trop. Et niveau consommation sa sera beaucoup plus que prévu, en gros au lieu de faire 1200 km avec un plein on va en faire 600.
Les deux première heures se déroule sans encombre, sauf que pour éviter Paris et son périf merdique j'ai demandé au GPS de passer par Rouen, mais en sélectionnant l'étape j'ai cliqué sur une route de campagne à l'est de Rouen. Du coup le GPS nous a fait prendre de jolies petites routes de campagne avant de nous ramener sur l'autoroute.
Mais ce petit détour nous a permis de faire une première pause au calme et de s'apercevoir que certaine sangle frotter dangereusement sur les disques de frein. Du coup on a protégé les sangle avec des chiffons qui traîné dans mon coffre. On a aussi pu remarquer que la fourche de la triumph supporter mal la compression des sangle et perdait de l'huile par les joint spi, en même temps c'est une anglaise donc quel perde de l'huile c'est normal.
On repart en changeant de pilote, après avoir passé Rouen on s'arrête sur une aire d'autoroute pour manger. C'est pratique les place camion quand tu as une remorque. Après s'être rassasié on se remet en route et c'est toujours flo qui conduit.
Au bout de une heure flo commence à avoir un coup de barre on rechange donc de pilote. Et effectivement il était fatigué par ce que 15 minutes plus tard je l’entends ronfle à côté. Il se réveillera seulement au moment où je décide de m'arrêter pour faire le plein.
Flo reprend le volant pour les derniers 300 km j'en profite pour moi même piqué un petit somme. Vers 21h30 on arrive enfin à destination, là où on doit déposer la remorque chez le cousin d'un ami et voisins à mes parents. Problème le GPS ne connais pas la numérotation de la rue faut dire que le village est tout petit et qu'il est constitué uniquement de ferme. En plus il n'y a pas de réseau donc impossible de les joindre, du coup on roule au pas en regardant chaque numéro de maison et pour finir ce sont eux qui nous trouve en nous voyant passer.
Ils nous amène dans la ferme de leur fille ou on peut garer la voiture et la remorque à l'abri dans une grange. On décharge donc les motos de la remorque et fixe tous nos bagages dessus. Pendant ce temps-là on discute avec nos hôtes et leur explique notre voyage. On leur dit également que la ont compté aller sur Pau trouver un hôtel pour passer la nuit. Mais comme il se fait déjà tard ils nous proposent de rester campé dans leur jardin et nous font même à manger. C'est super sympa de leur part et c'est ça que j'aime dans ces voyages à moto c'est qu'on rencontrer des gens prêt à aider par pur sympathie. En tout cas on leur ramènera un petit truc au retour pour les remercier de leur hospitalité.


Espagne jour 2

Après une bonne nuit de sommeil qui a permis de récupérer de la fatigue accumuler la veille. Je me réveille vers 8h00 et apparemment tout le monde l'est aussi, j'émerge tout doucement, m'habille et ouvre ma tente. Le ciel est couvert mais pas menacent et la température est plutôt agréable avec ses 15 degré.
Au même moment Florian sort également de sa tente. Nos hôtes Dominique et Jean-Jacques sont déjà à pied d'œuvre avec les ouvriers qui rénove leur cuisine. On commence par remballer tous nos affaires de campings, avant que Dominique nous interpelle pour nous demander si la nuit à était bonne et nous dire de venir prendre un petit déjeuner.
Une fois tous rattaché aux motos on fil prendre notre petit déjeuner constitué de pain, beurre, confiture et chocolat chaud déjà préparé sur la terrasse. Une fois rassasié je file prendre un douche pendant que flo tante de glané quelques idées de cadeaux qu'on pourrait leur ramener.
Quant à moi je profite que flo ce douche pour aller faire le tour des motos vérifier que tout est en ordre et qu'on n'ait rien oublié par ce que là on ne revient pas avant deux semaines.
L'heure du départ arrive, il est 10h00.Après avoir dit au-revoir on enfile nos casque et syn-chronisent les intercom puis on prend la route.
Première étape trouvé une station-service pour faire le plein par ce que pour éviter de mettre trop de poids inutile sur la remorque on est parti avec le réservoir des motos quasiment vide. Donc après avoir fait le plein ont ce recale sur le roadbook du jour.
Il commence par nous emmène sur des routes sinueuses du pays basque suffisamment pour ce faire plaisir mais aussi suffisamment simple pour se remettre dans le bain et reprendre c'est marque avec la moto équipée de valises.
Arrivée à Espelette le ciel c'est dégagée il est maintenant d'un bleu éclatent et le soleil com-mence à bien chauffer. On en profite donc pour faire une première pause.
On se remet en route et effectuons nos dernières kilomètres sur le territoire français. Après avoir passé l'ancien poste de douane, nous voilà en Espagne! Sur les premiers kilomètres on croise essentiellement des voitures immatriculé en France donc heureusement que les pan-neaux son-là pour nous rappeler que nous avons changé de pays.
Le flux de voiture fini par s'estomper et les stations-service laissent place à de jolis petits vil-lages pittoresques. Nous continuons de roulé jusque 13h00 ou au détour d'un virage nous apercevons un simply-market. On décide donc de s'arrêter pour acheter de quoi manger, mais en rentrant dans la galerie on s'aperçoit qui il a également un restaurant. Donc plutôt que de s'emmerdé à faire des courses on s'installe dans le resto qui soit dit en passant à une décoration plutôt sympa.
Là les difficultés lié à langue commence, le menu et entièrement en espagnol forcément et la serveuse ne parle ni anglais ni français... Et merde. On finit par se débrouiller quand même et on commande le menu à 13€ avec entrée plat désert. Arrive l'entrée... Heu vous êtes sûr que ce n'est pas le plat ça. Ha bin non c'est bien l'entrée. Ensuite le plat qui est aussi gros que l'entrée et le dessert un peu plus petit quand même. En tout cas on en a pour notre argent.
On repart tranquillement sur des routes sinueuses à souhait qui serpentent à travers les mon-tagnes. La température à bien augmenter, elle atteint maintenant les 30 degré et à certains endroits le bitume commence à fondre. Du coup les passages en sous-bois son appréciable et rafraîchissant.
On refait une pause aux alentours de 16h00 à l'ombre d'une église dans un petit village. La un vielle homme viens nous adresser la parole malheureusement on ne comprend pas grand-chose à ce qu’il raconte à par deux trois mots mais qui du coup n'ont aucun sens.
De nouveaux sur la route le roadbook nous fait passer devant une immense basilique, un bâ-timent splendide.
Après quelques kilomètres nous finissons par rejoindre la côte. Le roadbook se poursuit en empruntant la route côtière qui longe l'océan à flanc de colline. Le panorama est magique, et au détour d'un virage on débouche sur une petite ville niché entre deux falaises.
On suit cette route sur une trentaine de bornes avant de bifurquer à gauche sur une route avec un dénivelé à 12% (c'est plutôt impressionnant quand on est dessus) qui nous amène à l'entrée du camping ou nous passerons la nuit.


Espagne jour 3

Réveiller par le soleil qui tape la sur la tente il est 8h30. La plupart des campeurs dorment encore, c'est le moment idéal pour aller prendre une douche.
Après cette douche rafraîchissante c'est l'heure d'aller prendre un petit déjeuner, malheureu-sement le snack du camping n'ouvre qu'à 10h00 mais le gérant accepte de nous vendre une baguette. Donc ce matin sa sera pain au Nutella que Florian à dans une de ses valises.
Une fois terminé on commence à remballer tout le matériel mai on est en plein soleil et il chauffe déjà bien, le thermomètre affiche déjà 30 degré en plein soleil et il n’est que 9h30.
Tout est enfin ranger il ne reste plus que les serviettes (qui ont eu le temps de sécher) à remettre dans les valises, et nous voilà parti.
On commence par faire le plein pour le coup dans une vraie station-service ou un pompiste vient faire le plein à ta place.
Le roadbook commence bien en nous faisant passer à travers des vallées par de jolis lacés ou on peut enrouler à bonne vitesse. Le paysage étant constitué essentiellement de forêts une petite brise fraîche souffle ce qui plutôt agréable.
On finit par arriver dans la banlieue de Bilbao qui faut malheureusement traversé. Pas mal de route son en travaux ou on était modifier du coup les indications du GPS ne correspondent plus à rien. Je le passe donc en mode carte pour essayer de suivre le tracé originel au plus proche.
Au début je m'en sors plutôt pas mal et malgré tous les feux et autre chantier on avance quand même. Par contre on constate bien qu'on est en ville, l'atmosphère est étouffante, la température étant déjà élèves c'elle qui se dégage du bitume n'arrange rien.
Et au moment de rejoindre le roadbook je me plante de sortie sur un rond-point et on se re-trouve sur l'autoroute. On rejoint donc la première sortie, mais on tombe sur une barrière de péage bizarre on en a pas eu pour rentrer...
On s'arrête donc sur le côté pour essayer de comprendre et savoir ce qu'on fait. C'est con par ce que le roadbook passe sur la route juste derrière cette barrière de péage. Il n'y a pas de terre-plein centrale ni de barrière juste des plots, du coup Florian me dit de faire demi-tour et de reprendre l'autoroute en sens inverse. Ce qu'on fait et on fait bien puisqu'on revient sur le rond-point ou je me suis planté, mais cette fois si je prends la bonne sortie et nous revoilà sur les rails.
Vers 12h30 on fait une première pause dans le centre d'une petite ville. On en profite pour une réparation de fortune des joints spi de fourche de la triumph en attachant des morceaux de chiffons avec des colson autour des tubes plongeur pour éviter que l'huile coule sur les disques et plaquettes de frein. Normalement on devrait pouvoir terminer le voyage comme ça.
Après cet atelier mécanique ont décident de trouver un endroit où manger tant qu'on est en ville. On trouve un petit bar restaurant ou on commande des patatas bravas qui s'avère être des frites au ketchup épices, et un coca. Ce qu'il y a de bien avec le coca c'est que ça ne change pas de nom et on en trouve partout.
De retour sur la route le thermomètre affiche maintenant 38 degré et nous sommes quasiment les seul à être à l'extérieur. Les villages et les routes sont déserts.
En parlant de désert, après encore quelques kilomètres de montagne on finit par arriver sur un immense plateau aride qui s'étend sur des kilomètres et se trouve entouré de montage qui semble inaccessible.
On traverse ces pleine arides par une route qui serpentent tranquillement de village en village le tout accompagné par moment d'un vol de rapaces à l'affût de sa prochaine proie.
En arrivant au bout de cette vallée on fait une pause dans un village à l'ombre d'un bâtiment car il fait 41 degré.
Le roadbook se poursuit le long d'un immense lac à 900 mètres d'altitude. On quitte les rives de ce lac pour gravir un sommet qui culmine à 1200 mètres. En haut de ce sommet les vaches ères en liberté et peuvent aller où bon leur semble y compris sur la route.
D'ailleurs dans la décente en plus d'admirer un panorama grandiose il faut se méfier des vaches qui squatte la route et de leur bouses qui sont plutôt glissante si on roule dessus.
Arrivée en bas de ce col je me retrouve sur la réserve et la prochaine station est à 17 km. Pour arriver à cette station il faut gravir un nouveau col, du coup la monter c'est sur un rythme plutôt cool et la décente au maximum en roue libre.
Arrivée à la station il ne me restait que deux litres dans le réservoir. On entame la dernière partie du trajet et à mon sens la plus belle. Ça commence par la monter du nouveau col et déjà là le paysage est magnifique. Mais la décente quant à elle il n'y pas de mot pour décrire la beauté de la vue. D’immense falaises se dresse sur plusieurs centaines de mètres à côté on se sent tout petit.
Arrivée en bas la route continue le long d'une rivière qui nous amène au camping qui signe la fin de cette étape.


Espagne jour 4

La nuit fut fraîche, la température à bien chuté comparé à la journée on a même eu froid.

Mais au réveil à 8h30, le soleil brille et le ciel est dégagé. Au moment où je m'apprête à aller prendre une douche flo se lève également. L'avantage à cette heure-là c'est qu'il n'y a pas trop de monde aux douches et qu'il y a de l'eau chaude.
Ensuite on part à la petite supérette vraiment petite du camping acheter deux gros croissants et une bouteille de jus de fruits pour le petit déjeuner. Et on a trouvé une autre fonction pour les valises de la triumph, table basse.
Aujourd'hui pas besoin de remballer les tentes on revient ici ce soir. Donc on enfile notre équipement et on se met en route.
Première étape le téléphérique qui se trouve à une vingtaine de kilomètres du camping. Pour y accéder il n'y a qu'une seule route et elle est magnifique. Les virages s'enchaînent avec une facilité déconcertante le revêtement est propre et les villages qui la borne font penser à des décors de films avec ces maison couleur ocres et leur toiture en tuiles ondulé.
Malheureusement on tombe sur deux bus de touristes difficile à doubler sans prendre de risque. On finit par arriver au téléphérique qui signe également la fin de la route.
On gare les motos et admirons le paysage avant d'aller acheter les billets pour l'ascension ce qui est bien c'est que comme il est encore assez tôt il y a peu de monde.
Une fois les billets acheté on monte dans la cabine qui nous amène de 1040 mètres à 1800 mètres. La plutôt rapide par contre il y a du vent et la cabine bouge c'est marrant.
Arrivée en haut le vent souffle fort mais la vue est dégagée et le panorama est splendide. Des sentiers de randonnée parte vers des sommets encore plus haut ça donnerait presque envie d'y aller malheureusement on n’a pas l'équipement nécessaire. Du coup on s’est contente d'une prairie ou errent des chevaux en tout liberté.
Après être redescendue on reprend les motos pour une boucle autour du parc national des pics d'Europe. On reprend donc la route par laquelle nous sommes venus mais cette fois si personne pour nous bouchonné un vrai régal.
Notre chemin continue vers un canyon qui traverse la montagne, la route suis la rivière qui a creuser ce passage d'abord sur ça droit puis sa gauche. La route est si étroite et tortueuses qu'il est difficile de doubler.
Arrivée de l'autre côté de la montagne le ciel c'est couvert et la température a chuté à 23 degré. Nous bifurquons sur la gauche sur une route longue de 50 kilomètres toute en courbe rapide, un pur régal!
A la moitié on fait une pause sur le bas-côté ou un petit chemin descend sur une rivière de quoi faire de jolies photos.
Comme il est une heure moins le quart on repart avec pour objectif trouver un endroit où manger. Et dix kilomètres plus loin on trouve un restaurant Au détour d'un virage.
Une fois repue nous finissons les 15 derniers kilomètres de notre route. Ça nous amène devant un vieux pont en pierre ou sous son arche est accrochée une croix.
Après avoir pris quelques photos nous entamons une nouvelle route toutes aussi longue que la précédente mais cette fois si beaucoup plus exigeante. Pas une seule ligne droite de plus de cinquante mètres et encore. Qui plus est-elle n'est pas large ce qui rend les croisements difficile. Heureusement qu'elle est peu fréquenté.
Quelques virages plus tard on quitte momentanément le roadbook pour aller visiter un vieux village de montagne niché au bout d'une route abrupte de 4 kilomètres.
Après cette petite escapade nous poursuivons notre route tortueuse jusqu'à un sommet à 1400 mètre ou je décide de m'arrêter pour prendre des photos et m'allonger un peu au soleil qui est de retour.
Après cette pause reposante on redescend de l'autre côté du col pour toute suite encore re-monter un. A la moitié de l'ascension la moto m'indique que je viens de passer sur la réserve, heureusement il est censé avoir une station de l'autre côté de la montagne.
Arrivée dans le village ou est sensé se trouvé la station, rien... Et merde ! Il reste 25 bornes avant la prochaine ville avec une station et j'ai déjà fait la même distance sur la réserve, ça va être tendu.
Je gravi le dernier col le plus cool possible et entame la descente en roue libre comme un vélo, j'utilise juste les freins et laisse tourner le moteur au ralenti avec une vitesse enclenché toute en maintenant l'embrayage au cas où j'aurais besoin du frein moteur.
Grâce à cette technique j'arrive à rejoindre une station pour faire le plein, mais je n'aurai pas pu aller beaucoup plus loin car il me resté plus que 0,7 litre dans le réservoir.
Après ce passage un peu stressant il nous reste plus qu'à parcourir les deux derniers kilomètres pour relier le camping.


Espagne jour 5

Après une nouvelle nuit dans le même camping, cette fois ci on remballe tout. Le ciel est beaucoup plus nuageux que la veille quant à la température elle n'a pas trop changé il fait 23 degré à 9h30.
Une fois le petit déjeuner avalé, les motos chargées et le camping payé on se met en route. Le roadbook du jour doit nous amener sur la côte en passant encore par quelques cols.
D'ailleurs le premier col à gravir se trouve être le même que celui que j'ai était obligé à des-cendre en roue libre la veille. On entame la monté sous le soleil mais plus on monte plus la température baisse et les nuages ce densifient. Arrivée à 1400 mètres on s'arrête sur un point de vue repéré la veille.
J'en profite pour changer de blouson en passant du blouson été à celui en cuir car la tempé-rature a chuté à 14 degré. Après avoir pris quelques photos même si la vue est moins dégagée que la veille à cause des nuages, on continue notre ascension avant de passer de l'autre côté.
Le soleil revient et la température remonte. Ce côté si de la montagne sous le soleil offre un spectacle pour les yeux splendide, le paysage rocailleux clairsemé de prairie et de buisson aux fleurs jaune que traverse cette route au revêtement rougeâtre craquelé, nous fait encore plus voyager.
Cette petite route sinueuses fini par s'étendre en de grande ligne droite et courbe rapide pour nous amener au bord d'un immense lac avec au premier plan des champs et en arrière-plan d'immenses montagne. La vue est si belle qu'on dirait une carte postale.
On en profite donc pour s'arrête et prendre des photos, on décide même de descendre avec les motos dans un champ pour aller prendre des photos au plus proche de l'eau.
Quelques kilomètres plus loin on croise un groupe de motard arrêté au bord de la route, on les salut et poursuivons notre route.
Comme le prochain changement de direction se trouve à une vingtaine de kilomètres je dis à Florian de passer devant pour pouvoir le filmé un peu. Au bout d'une dizaine d de kilomètres deux motard en sportive nous double il s'avère qu'il font partie du groupe qui était arêtes un peu avant, je décide donc de repasser devant flo et d'essayer de les rattraper et les suivre (une petite arsouille ça fait pas des mal) je parviens à revenir sur eux malgré qu'il est pris de l'avance sauf qu'il on l'aire de connaître la route et anticipe les virage avant même de les voir du coup impossible pour moi de les rattraper davantage sans prendre de risque.
Je fini par les lâcher en arrivant dans un nuage ou la visibilité est quasi nul. Je les retrouve arrêté à une intersection en train d'attendre le reste de leur groupe, je m'arrête également pour attendre flo. Il arrive en même temps que le reste du groupe.
Du coup nous on continue en redescend le col par une route autre que la principale et l'autre groupe nous suis. Je commence la décente doucement car la route est en très mauvaises état et recouverte de gravillons, un peu plus loin sa s'améliore je décide donc d'accélérer pour voir si certains vont me suivre. Je m'aperçois rapidement que personne n’a suivi et que je leur ai mis une sacré distance.
Arrivée en bas nos routes se séparer, nous nous continuons vers un nouveaux col tandis qu'eux s'arrête pour faire le plein.
Le col suivant nous amène à une station de ski déserte ce qui la rend un peu lugubre et le temps n'arrange rien car on se trouve dans un nuage et la température descend à 12 degré. La route pour descendre à entièrement était refaite, un vrai billard. Malheureusement avec l'humidité et les vaches en liberté difficile d'en profiter correctement.
Arrivée dans la vallée on pense trouver un endroit où manger mais les seules villes qu'on tra-verse son constitué de grande barre d'immeubles et de maison sans aucun charme ce qui ne bonne pas trop envie de s'y arrêté.
On poursuit donc notre route en direction d'un nouveau col prix dans les nuages. A sont sommet le thermomètre affiche péniblement 11 degré et la visibilité et plus que réduite surtout quand on oublier de d'enlever la visière solaire... Et pour rajouter de la difficulté des vaches ères en liberté sur la route.
En arrivant presque en bas j'aperçois un bar avec un drapeau de Marc Marquez du coup on décide d'aller voir si il fond aussi à manger. Il sera trouvé que le gérant est belge et donc parle français, il nous explique que d'habitude il fait à manger mais que comme c'est ça femme qui s'occupe de la cuisine et que là elle est absente il ne peut pas nous servir à manger.
Dommage on décide de quand même faire une pause et prendre un verre car son fait un mo-ment qu'on roule et que le bar, la musique et le proprio sont sympa.
Au village suivant on s'arrête dans un restaurant et là on va vivre un grand moment... De soli-tude je crois qu’ils vont ce souvenir de nous un moment.
Pour commencer on entre et demande à la serveuse si elle parle français ou anglais elle nous fait comprendre que non. On arrive quand même à faire comprendre qu'on veut manger et la commence une incompréhension total, on demande deux plat du jour, elle nous donne un carte avec les plats. On choisit un truc mais elle ne comprend pas, elle sort son téléphone et tante de traduire avec une application qui fonctionne à moitié, et voilà que le pilier de bar local s'en mêle et tante de faire comprendre à son tour, finalement on pense s'être fait comprendre donc on s'installe elle nous demander s'il on veut boire quelques chose, oui deux coca sa c'est simple tout le monde comprends. On attend à manger mais au final ils n'avaient toujours pas compris qu'on voulait manger. Finalement il nous serve le menu du jour à 8 € on voit un plat de macaronis au fromage sauce tomate et ton arriver parfait, la serveuse nous montre même l'intitulé du plats en français sur son téléphone. On commence à manger quand elle revient avec son téléphone avec écrit dessus chorizo œufs et frites. On comprend alors que les macaronis c'était juste l'entrée. Arrive donc la plate encre plus grosse que l'entrée. Et à la fin elle nous propose un café, on se demande s'il le prix est vraiment de 8€ et oui c'est bien sa 8€ par personne c'est dingue pour ce prix-là en France on a à peine l'entrée.
Bon on sera resté un peu plus de deux heures dans ce restaurant mais au final on a passé un bon moment à rire avec eux même si je crois que par moment ils se foutent un peu de notre gueule.
Du coup on repart le ventre bien plein et un bon souvenir dans la tête. On finit par arriver sur la côte et au détour d'un virage ce trouve une aire de pique-nique avec vue sur une petite crique entre deux falaises.
En continuant à descendre on s'aperçoit que le camping du jour se trouve dans cette crique.


Espagne jour 6

À 8h30 le soleil brille les oiseaux chante, une bonne journée qui s'annonce. Après s'être rafraîchi on commence à remballer tranquillement. On passe par l'accueil pour payer et go pour l'étape du jour.
Dans le village voisins on s'arrête pour retirer de l'argent et achetez de quoi prendre un petit déjeuner.
On décide de sortir de la ville pour prendre notre petit déjeuner. Sauf que entre le moment où le roadbook que j'ai récupéré sur internet à était fait et aujourd'hui les routes ont changé, et je me fais avoir en tournant sur une entrée d'autoroute.
Du coup je stop sur le côté et regarde si personne n'arrive. Personne à l'aurions et il faut re-venir en arrière de 10 mètres. On commence à revenir sur nos pas et au même moment un patrouilles de police qui passe et merde...
Il s'arrête viennent d'abord me voir je leur dit que je ne parle pas espagnol, du coup il se dirige vers Florian qui leur dit la même chose et du coup il nous laisse partir.
On finit par trouver un coin ou se posé pour manger. Après ce début de journée mouvementé on repart en empruntant la route côtière très sympathique avec tous c'est virage qui oscille entre falaises et forêt.
Au bout d'un moment on bifurque vers l'intérieur des terres pour rallier les montagnes. On entame une montée qui nous amène sur une route à flanc de colline au milieu des arbres qui surplombe une immense vallée.
On finit par faire une pause au bord de la route histoire de se dégourdir les jambes et boire un peu car ça commence a chauffé passe mal. En repartant Florian me propose de prendre sa Tiger comme j'avais envie de l'essayer. On échange donc de moto.
Sur les premiers kilomètres il faut que je m'habitue car la position de conduite n'est pas du tout la même que sur là MT là on n'a l'impression d'être dans un fauteuil assit bien droit, c’est super confort surtout avec la bulle qui te protéger du vent.
Niveau moteur sa manque de pêche surtout en reprise obligé de descendre deux rapport pour repartir correctement. Bon c'est qu'un 800 mais quand même. Pas contre parti cycle c'est un pur régal les suspensions absorbent tous les défauts de la route, elle se positionne plutôt bien dans les virages, par contre le freinage et trop lège pour une moto chargé sa manque de mor-dant.
Après av gravit un nouveau col comme ça nous nous arrêtons dans la descente pour faire des photos et reprendre nos motos respectives.
On continue et le roadbook nous amène sur un barrage hydroélectrique ce qui offre une vue spectaculaire. Le barrage semble abandonner presque tous les bâtiments sont en ruine ce qui rend le lieu beau et sinistre en même temps.
Sur la route un tout petit peu plus haut que le barrage se trouve un resto où on décide de s’arrête manger. On commande de plats moi une côtelette d'agneau et Florian une assiette avec trois viande différents le tout accompagné de frite. Les assiettes arrive elle son énorme et la viande est excellente. Et au final sa nous coûte qu'une vingtaine d'euros.
On repart en longent le lac artificiels formé grâce au barrage. On finit par bifurquer sur la droite pour rejoindre un nouvelle vallée plutôt aride m ais magnifique avec les couleurs rouge de la roche et jaune et vert de la végétation.
À la sortie de cette vallée on arrive dans une ville ou on s'arrête pour faire le plein dans une station repstol.
On entame alors la dernière partie de montagne du jour par un route juste parfaite, un revê-tement quasi neuf et des grande courbe rapide. Ce qui m'a permis de réduire encore un peu plus mes bandes de peur.
Comme j'ai un peu attaquait sur cette route je profite en attendant que flo arrive, pour changer la batterie de la gopro.
A partir de ce moment-là, l'arrivée est proche. On continue, et une nouvel erreur du GPS c'est nous fait faire des petits tours dans des dans la campagne qui borde la mer.
On finit tout dépend même par retrouvé la bonne route et on arrive au camping du jour.


Espagne jour 7

Hier soir après manger on retourne au tente et restons dehors autour des motos à discuter quand soudain, il se met à pleuvoir alors que deux minutes avant le ciel était dégagée. Du coup ça signe l'heure d'aller se coucher.
Finalement il n’a plu que cinq minutes. Le lendemain matin je me lève à 8h00 par prendre une douche et en revenant je vois que flo dort encore, j'en profite donc pour aller faire un tour sur le bord de mer qui est désert juste le bruit des vagues et une petite brise ce qui est très reposant.
De retour au tente flo dort toujours, je commence donc à ranger tranquillement mes affaires.il fini par se lever ver 9h00 apparemment il a bien dormi.
Une fois tous ranger on par prendre un petit déjeuner sur la terrasse du bar du camping, on en profite pour tout payer avant de retourner aux motos et de ce mètres en route.
Le début du roadbook n'est pas terrible on travers une vallée très industriel et comme le ciel est bien chargé la luminosité grisâtre n'arrange pas les choses.
La route non plus n'est pas terrible une sorte de nationale certes sinueuses mais ce sont de grands courbe qui s'enchaînent très rapidement, déjà que l'itinéraire n'ai pas très long au-jourd'hui si en plus on avance à cette allure on sera vite arrivé.
On travers plusieurs villes et villages dans un triste état, avec plusieurs station-service et bâ-timents abandonner, et c'est sûrement dû à la nouvelle autoroute qu'il traverse toute la vallée par des ponts et tunnel.
On finit par arriver sur plusieurs petits cols plus sympas mais rempli de champ d'éoliennes. Avec les nuages qu'il les travers et la lumière de ce ciel gris l'atmosphère du lieu est particu-lière. On s'arrête d'ailleurs pour faire des photos.
En redescendant on revient sur là côté par une route plutôt sympa qui contourne un lagon, dommage que la marée soit basse.
Ensuite nous empruntons une route qui nous amène dans un village côtier dans lequel nous bifurquons vers la montagne qui longe la côte.
On arrive à un premier point de vue ou on s'amuse à faire un peu de tout terrain pour aller pauser les motos au plus près du bord histoire de s'amuser et de prendre des jolies photos.
On continue sur cette route ou plutôt chemin vu la largeur, pour arriver à un deuxième point de vue ou on ne voit strictement rien à cause des nuages. Du coup on continue en passant par un nouveau champ d'éoliennes jusqu'au prochain point de vue.
Là la vue est vraiment pas mal sauf qu'il n'y a pas de place pour ce garé je trouve quand même un chemin en graviers qui monte sur le côté, ou j'arrive à me garer avec la moto en prise sa tiens. Flo quand à lui préfère rester sur la route.
Après avoir pris quelques photos on repart et 500 mètres plus loin encore un point de vue mais cette fois si on peut se stationner facilement. Et ça vaut le coup part ce que le panorama est splendide.
Il est 14h30 est on commence à avoir faim ! Sur la route on aperçoit un panneau restaurant à un kilomètre à droite, parfait ! On y va.
Le restaurant est dans un petit village paumé mais il a l'air bien sympa. On entre et le patron parle de trois mots de français il a même une carte des plat en français trop cool.
On commande alors deux menus à 15 € avec entrée plat désert plus une bouteille d'eau à 2€. La décoration de la salle est rustique et il diffuse dès la musique celte, avec le paysage on se croirait dans un roman de Tolkien.
Une fois le repas terminé et l'addition payée on repart pour les trente derniers kilomètres qui nous séparent du camping.
On arrive au camping vers 16h30, et un fois installé on va profiter de la plage de l'autre côté de la rue.


Espagne jour 8

Hier soir après avoir mangé dans un restaurant en bord de mer et avoir était retirer de l'argent nous rentrons au camping.
Le lendemain matin réveil à 8h30, le soleil est de retour et les nuages ce disperse. Direction comme tous les matins la douche.
Ensuite on remballe les tentes et on se met en route. Première étape trouver une boulangerie pour le petit déjeuner, malheureusement on n'en trouve pas. Pas grave il y a un magasin dia pas très loin, mais on est dimanche et c'est fermé.
Du coup on s'arrête dans une station-service dans la qu'elle il vende deux trois trucs à manger. Donc ce matin sa sera donut et pain aux pépites de chocolats premier prix.
On peut enfin commencer le roadbook du jour qui est très court, seulement 160 kilomètres pour nous amener à Saint Jacques de Compostelle.
Vu que c'est juste un itinéraire de liaison les routes sont plutôt rapide et les paysages pas vraiment exceptionnel.
En descendant une montagne on finit par avoir une belle vue sur une petite ville nicher dans un renfoncement de la montagne avec son port de plaisance.
On travers un pont qui lui traverse le bras de mer, pour rejoindre les porte de la ville. On traverse cette ville pour ressortir du côté des montagnes la monté offre un vue plongeante sur cette petite ville coloré et la mer.
La route continue à travers la montagne pour arriver sur des nationales qu'il nous emmène rapidement à Saint Jacques de Compostelle on arrive au camping vers 13h00, le temps d'ins-taller les tentes et on part en ville manger.
Première difficultés trouver le centre-ville, sa manque un peu de panneaux à certaines inter-section. On arrive quand même à trouver et on stationne les motos sur des places spéciales motos.
On laisse toute les affaires (casque, blouson, gants) dans les valises et top case, et nous partons à l'assaut de la vieille ville.
En passant dans une ruelle à la recherche d'un restaurant, un rabatteur nous interpelle. Il nous demande d'où on vient "on doit avoir des têtes de touristes " on lui répond de France et il se trouve qu'il est aussi français. Du coup on le suit malgré qu'il nous force un peu la main, mais vu qu'il parle français ça sera plus simple pour commander.
On prend là le plat le moins chère qui est à 13€ quand même, c'est là qu'on voit que c'est très touristique par ce que pour le même prix voir moins chère on avait entré plat désert dans les restos de campagne.
La viande arrive avec des frites, qu'il ose appeler frite belges... A nous nordiste il ne ce foutrait pas un peu notre gueule là, c'est juste des frites basique. Il nous dit aussi qu'avec ce plat on aura plus fin après, on voit qu'il n’a pas mangé dans les mêmes restos que nous avant.
Enfin c'était bon quand même. Après ce repas on part visiter la ville avec ça célèbre cathédrale et tout c'est vieux bâtiments en pierres. On flâne ainsi pendant une heure dans le dédale de ruelles du centre-ville avant d'aller ce posé à l'ombre d'ans un parc.
Om retour finalement au camping pour ce reposée un peu. Vers 19h00 on se décide à trouver un endroit où manger pour pas trop chère. On va d'abord voir au restaurant du camping mais ils n'y pas un plat en dessous de 15 €.
Du coup on consulte Google et il nous indique un burger King à 500 mètres du camping ça sera parfait pour ce soir.
On retourne prendre de l'argent aux tentes et on part chercher le burger King. Il se trouve da un hypermarché carrefour qui porte bien son nom d'hyper car il est sur trois étages on se croirait aux États-Unis, en plus tous les magasins sont ouverts le dimanche ils sont fou ces espagnol. Les restos d'accord mais les magasins ?
Du coup on fait le tour des trois étages pour trouver le burger King qui se trouve au troisième forcément, juste en face d'un cinéma.
Il n’est que 19h45 ça fait tôt pour manger en Espagne il y a même des restos qui ne sont pas eux ouvert. Du coup Florian dit "on n’irait pas voir un film " heu oui mais c'est en espagnol. Du coup on est allé voir les mignons (Los mignos) en espagnol. Et finalement c'était bien marrant on n’a pas compris grand-chose mais on a bien rigolé et en français ça doit être en-core plus drôle.
En sortant du cinéma il est 22h00, la tous les restos sont ouverts et pas mal de monde en train de manger surtout au burger King.
Après ce repas fast-food retour au camping, par contre la température à bien chuté on avait plus de trente l'après-midi-là on est redescendu à dix-huit. Au moins on dormira bien.

Espagne jour 9

Durant la nuit la température à bien chuté, et au petit matin en se levant un nuage de brume flotte au-dessus du camping. La rosée coule le long des feuilles d'arbres au point de nous faire croire qu'il pleut. Pourtant le ciel est entièrement dégagé.
Du coup après une douche bien chaude, enfin quand on a compris qu'il avait inversé l'eau chaude et froide... Nous nous équipons et prenons la direction du carrefour pour acheter de quoi prendre un petit déjeuner.
Après ça on commence vraiment notre virée du jour qui se trouve être une boucle sur la côte ouest.
Pour commencer il faut quitter la ville par l'ouest il y a un peu de circulation mais dans l'en-semble ça passe bien. Une fois sorti on emprunte une grande nationale sans trop d'intérêt jusque la côte. Elle nous permet quand tu de fait le plein.
Arrivée au bout nous bifurquons sur la route côtière et là sa devient vraiment intéressant. On travers des villages aux maisons coloré avec des petits ports de plaisance et plage quasi dé-serte.
La côte est situé irrégulière que par endroit on arrive à voir en fac de nous de l'autre côté de la mer se dessine une autre partie de la côte quelques nous rejoindrons plus tard.
Cette route passe même par San Francisco... Sinon si il bien une ville qui s'appelle San Fran-cisco en Espagne.
Vers 13h00 on s'arrête sur le port d'une ville devant des restaurants on s'installe à sur la ter-rasse de l'un d'eux, et commandons nos plats. Vu que nous sommes sur un port ça sera dû poissons. Une sole à la plancha pour moi et du poulpe pour Florian.
Après cette pause gastronomique on emprunte une route qui mène à un phare au bout d'un cap. La vue est splendide avec ce ciel bleu immaculé et l'océan azur.
On repart toujours en longent la côte, mais cette fois si le paysage rocailleux du début de journée fait place à des forêts de pins et l'odeur qui va avec.
Par endroit on devine les plages à travers les arbres, ce qui pousse à ralentir pour admirer le spectacle et en même temps vue l'état de la route ce n’est pas plus mal.
On finit par quitter la côte pour s'enfoncer dans la campagne et revenir vers saint Jacques de Compostelle.
À une soixantaine de kilomètres de l'arrivée nous faisons une pause pour le goûter. Et pour sa on emprunte un sentier de randonnée sûr une vingtaine de mètres pour s'arrête sous des arbres ou ses trouve une table de pique-nique en pierres les long d'un petit ruisseau.
On repart pour les derniers kilomètres et la route est plutôt sympa. Par contre plus on avance vers la ville plus la température augmente et la brise fraîche qui souffler en bord de mer s'es-tompe.
De retour au camping on se pose un peu avant d'aller manger. Aujourd'hui retour on passe acheter quelques fruits à carrefour pour le dessert et des meuphines en guise des gâteaux d'anniversaire, car aujourd'hui c'était l'anniversaire de Florian.

Espagne jour 10

Aujourd'hui une grosse étape nous attend, du coup réveil à 8h00 les rafraîchissements habituels, on range toute nos affaires et c'est dingue ce qu'on peut déballer en deux jours.
On passe ensuite par-là restions pour payer, et la surprise le prix de 39€ indiqué à notre arri-vée était celui pour une nuit du coup on se retrouve avec une facture de 78 €. Heureusement qu’on n’a pas payé l'électricité.
C'est là qu'on s'aperçoit qu'on est dans une ville touristique par ce que le camping en lui-même n'a rien d'extraordinaire, il n'y a même pas de savon pour ce lavé les mains dans les toilettes.
Enfin bref, on part ensuite faire le plein et direction une dernière fois carrefour pour prendre le petit déjeuner.
On se met enfin en route il est 10h00. Nous quittons la ville par la même route par laquelle nous sommes arrivés deux jours plus tôt. On emprunte ensuite quelques nationale peu at-trayantes d'un point de vue conduite mais les paysages sont sympa, et on croise pas mal de pèlerins qui font route vers saint Jacques de Compostelle.
Une poignée de kilomètres plus loin on quitte la nationale pour une route étroite qui se trouve être une partie du chemin de pèlerinage. De ce fait il est conseillé de roulé au pas car des dizaines de pèlerins marchent sur cette route et c'est assez impressionnant de voir que tant de personnes font ce pèlerinage.
On finit par quitter cette route pour retourner sur une nationale, mais beaucoup plus sympa niveau conduite.
À un moment donné on arrive dernière un vielle AX rouge qui c'est met à accélérer du coup je suis et je vois ces suspension s'affaisser à chaque virage mais il continue à accélérer et on se retrouve à prendre des virages à la corde à plus des 100 km/h je pourrais le doublé mais c'est trop marrant à voir de dernière cette petit voiture qui est ballotté dans tous les sens à chaque virage. Je fini par le laisser partir en arrivant dans un village ou lui ne ralenti même pas alors que des groupes de randonneurs marche le long dès la route.
Après avoir gravit un col culminant à 1300 mètres, le roadbook veut nous faire prendre l'autoroute du coup je le quitte et commence à naviguer à la boussole. Ce n'est pas évident mais plutôt marrant.
Ver 13h30 on arrive dans une grande ville. Ont voulais trouver un pet resto de campagne pour manger mais nous recherche fut vaines. Du coup on s'est résigner à manger dans un fast-food, au cas ce n'est pas chère.
Une fois le ventre plein nous repartons toujours en roulant à la boussole. Je m'engage alors sur une route de montagne qui nous emmène à 1500 mètres d'altitude à travers un paysage aride et rocailleux d'une grande beauté. Au sommet nous avons une vue dégagée sur plusieurs dizaines de kilomètres à la ronde.
Dans la décente je passe en réserve et la prochaine grand ville où il est susceptible d'avoir une station est à une trentaine de bornes ça va encore être tendue.
On arrive quand-même à atteindre une station et il me resté encore un litre et demi finalement ça passer large.
A partir de ce moment il nous reste encore une centaine de kilomètres avant d'atteindre notre point de chute. Je crois que mon roulage à la boussole nous a fait faire un détour d'environ cinquante kilomètres.
Cette dernière parti est plutôt monotone avec s'est grande ligne droite et cette chaleur.
On arrive finalement au camping prévu par le roadbook d'origine vers 18h00. Le camping est très simple et pas chère mais malheureusement ils n'y a pas de Wi-Fi c'est pourquoi ce CR arrive si tard. Mais en tout cas le gérant du bar du camping nous a concocté un sandwich au fromage omelette becone vraiment bon.


Espagne jour 11

Aujourd'hui une nouvelle grosse étape nous attend, 365km sans les détours.

Lève à 8h00 et départ à 9h45 le soleil brille le ciel est dégagée mais comme nous sommes à environ 1000 mètre d'altitude la température peine à monter.
Les routes du départ sont plutôt rapides mais les paysages sont bien sympas. Au début mon-tagneux et boisé, puis le relief s'aplani et les arbres laisse place à d'immenses champs.
On arrive sur de grands nationale toutes neuve qui traverse c'est immensité de champs par de gr ligne droite on pourrait presque ce croire dans le désert américain à la seul différence que nous nous trouvons à 1300 mètres.
En arrivant à une station-service nous nous arrêtons pour faire le plein car la prochaine station de notre itinéraire ce trouve à 174 kilomètres.
Après ce ravitaillement nous continuons sur cette nationale avant de bifurquer sur une route plus étroite mais tout autant rectiligne.
Les villages ce font de plus en plus rare et les autres usagé aussi, on se sent seul au monde.
A la vue d’un statut et d'un grand espace vide sur le bord de la route, nous nous arrêtons pour faire des photos. De là où s'aperçoit qu'un panneau annonces un point de vue vers un chemin en graviers.
Comme nous sommes fainéant, on décide des prendre les motos pour monter. Un peu de off road c'est sympa aussi. En arrivant en haut la vue offre un panorama splendide et le fait d'être venu avec les motos nous permet de faire des photos digne de pub.
Un peu plus tard on arrive dans une ville un peu plus dense, dans la quel nous décidons de faire une pause pour trouver à manger. Malheureusement après avoir fait le tour du centre-ville à pied, nous n'avons rien trouvé qui inspire confiance pour manger. Je profite quand même d'un Wi-Fi gratuit pour poster le CR dès la veille.
Nous reprenons donc la route. Après avoir fait demi-tour car apparemment j'ai raté une in-tersection, on arrive devant une route en terre cailloux, et d'après le GPS c'est cette route là qu'on doit prendre...tu m'étonnes que je me suis trompé.
Après un petit moment d'hésitation on finit par y aller et nous voici de nouveau en off road sur six kilomètres. Comme les motos non pas les pneus adaptés, elles ont tendance à faire des petites glissades assez déroutante mais sans danger sa en devient même marrant.
En tout cas le paysage en vaut la peine. De retour sur une vrais route on arrive dans un village, il est 15h30 et on a toujours pas mangé je m'arrête donc dans le premier bar qu'on croise.
Et surprise il se trouve qu'il y a des petits trucs à manger ça tombe Nikel. A partir de là il nous reste encore 110 kilomètres à faire.
Cette dernière portion travers les vignobles espagnols implantés autour de vielles ruine d'an-ciens châteaux.
On arrive finalement au camping sur les rives d'un immense lac artificiel formé par un barrage hydroélectrique.

Espagne jour 12

Réveiller à 8h30 le temps est toujours au beau fixe, grand ciel bleu pas un seul nuage. Après avoir pris un petit déjeuner acheté à la supérette du camping on remballe et nous mettons en route.
On quitte le camping en direction de Pamplona par les routes de campagne. Et peu après avoir quitté le camping on gravit un petit sommet qui offre une vue à 360 degré sur la vallée.
On finit par arriver à Pamplona, qui a cette période accueil une féria. Du coup on se dirige vers le centre-ville et ce n'est pas compliqué il suffit de suivre les gens habillé en blanc et rouge.
Une fois au abord du centre-ville on gare les motos et continuons à pied. On arrive sur une grande place entouré de bar restaurant avec une scène au centre. C'est marrant de voir tout le monde habillé de la même façon.
On continue notre visite cette vieille ville fortifiée constitué de petites ruelles qui se croise les unes les autres. Et dans chaque rue il y a des animations danseurs, musicien, statut humaines, défilés...
Après ce tour de la ville et de retour sur la place nous nous posons à la terrasse d'un bar/restaurant pour manger.
Et pendant ce laps de temps un nombre indéterminée de vendeur à la sauvette viennent nous proposé leur merde. Il y a même des roumain qui font la manche sa faisait deux semaines qu'on en avait pas croisé.
Notre repas terminé on se met à la recherche dès l'arène, car c'est ici qu'il fon les lâcher de taureau dans les rue de la ville. D'ailleurs sur tout le parcours les magasins ont tous des grands panneaux en bois à déplier devant leur vitrine.
Ne sachant pas à quelle heure ce déroule le lâcher on s'installe à l'entrée de l'arène. On attend jusqu'à 15h00. Mais ne voyant toujours personne bloqué les route et faire évacuer la foule nous repartons part ce qu'il nous reste quand un peu de route à faire.
Dommage par ce que ça devait être sympa à voir et sinistre j'avais su j'aurais prévu une étape rien que pour ça. Du coup ça sera pour une prochaine fois.
De nouveaux sur la route on poursuit vers l'est pour se rapprocher des là frontière française. On travers encore quelques campagne avant de revenir dans un paysage plus montagneux et boisé.
Peu avant la fin du roadbook du jour on travers un village très sympa dans lequel on trouve une petite épicerie dans laquelle on s'arrête pour acheter un coffret de vin et une boîte de gâteau pour Dominique et Jean-Jacques qu'il nous gardé la voiture et la remorque.
On repart jusqu'au camping du jour qui se trouve en plein montagne aux milieux des là nature à 5 kilomètres du premier village.



Espagne jour 13

La nui fut très fraîche j'ai dû m'enfermer complètement dans mon duvet pour avoir chaud. Mais dès que le soleil c'est levé la température est remonté et toujours aucun nuage à en vue.
Aujourd'hui est notre dernière jour de road trip du coup on prend notre temps et on traîne un peu à ce mètres en route.
Avant de partir je charge le dernier roadbook du jour, et regarde à quelle distance ce trouve la première station. Le GPS m'indique 139 kilomètres... OK du coup on retourne onze kilomètres plus bas ou on a croisé une station la veille en arrivant.
Une fois le plein fait on remonte pour commencer l'étape du jour. On passe un premier col à 1700 mètres puis sans vraiment descendre on arrive à un deuxième qui délimite la frontière franco/espagnol et également l'arrivée d'une étape du tour de France.
A ce propos dans la décente on croise déjà pas mal de camping-car installé.
On bifurque sur une route censé être une départemental mais il vaut mieux ne croiser per-sonnes, il y a même un troupeau de vaches au milieu de la route.
Arrivée aux autres bout on en prend une autre pas beaucoup mieux et on retombe sur un troupeau mais qui cette fois si avance dans le même sens que nous. Du coup on essaye de passer au travers mais face à des bêtes plus grosses que la moto et avec des cornes pointues on ne fait pas trop le malin.
Une fois passé on continue à rouler et ils commencent à bi faire chauds. Vers 12h30 flo me rappelle qu'on est plus en Espagne et qu'ici les gens ne mangent pas à 14h30 et qu'il faudrait peut-être trouver un endroit où manger.
On passe deux nouveaux col avant d'arriver dans un village du nom de bielle (faudrait pas en coulé une) ou on trouve une petite boutique qui fait bar et resto.
On s'installe et ça fait bizarre de pouvoir reparler français, mais c'est beaucoup plus simple. Donc assiette de charcuterie pour moi et salade aux chèvres chaudes pour Florian.
De nouveaux sur la route et sous une chaleur accablante on arrive dans la ville de lourdes, et franchement elle n'a rien d'extraordinaire et vue la température on n’a pas trop envie d'aller marché jusqu'à la célèbre grotte.
D'ailleurs il fait tellement chaud, le thermomètre en ville affiche 38 degré, qu'on décide de raccourcir l'étape et d'aller directement à Pau ou non passerons la nuit. Et pour ne pas à avoir à ranger les tentes et le matériel de campings demain matin avant d'aller récupérer la voiture, ont c'est arrêté d'ans un ibis budget. Au moins il y la clim.


Espagne jour 14

Voilà le dernier jour est arrivé.

Nous avons bien fait de dormir à l'hôtel, car quelques averses sont tombés pendant la nuit. Je me réveille vers 7h30 avec la sensation de pas avoir vue-là nuit passée, ça fait bizarre de re-dormir dans un vrai lit.
On doit récupérer la voiture chez Dominique et Jean-Jacques vers 10h30 et il y a environ une demi-heure de route. Du coup on va prendre notre petit déjeuner tranquillement ont n'a même le temps de regarder le dernier épisode de highside avec un essai de la MT-09.
Avant de partir on fait le tour de la chambre pour vérifier que nous n'avons rien oublié et ont ce met en route.
Le ciel est toujours bien chargé maison il fait déjà 25 degrés. Le but étant de rentrer, les routes non aucun intérêt. On croise des policiers en plein contrôle de vitesse à la sortie d'un village, mais comme les voitures venant d'en face nous ont prévenue, je fais exprès de passer devant eux à 40km/h avec une main sur le réservoir le mec a relevé la tête de ses jumelles un air dégoûté.
C'était marrant! Après cette petite distraction ont fini par arriver chez Dominique et Jean-Jacques. Jean-Jacques nous a vu passer sur la route et arrive aussi volant de son buggy fait maison.
Le temps d'enlever nos casques ils nous accueillent chaleureusement, on leur offre le coffret de vin et la boîte de gâteau.
Ils nous font entré dans leur nouvelle cuisine qui a bien avancé en deux semaine, pour boire un café et qu'on leur raconte un peu notre périple.
Aux alentours de 11h30 ont commencé à charger la voiture et maître les motos sur la re-morque. On ait plus rapide qu'il y a deux semaines puisque vers 12h15 c'est fini.
Un dernier au-revoir et c'est parti pour quasiment douze heures de route. On commence déjà par faire le plein par ce qu'on avait laissé la voiture sur la réserve.
Puis un peu avant l'autoroute ont doit s'arrête car une des motos se balance pas mal de gauche à droite. Après avoir retendu toute les sangles ont reprend la route.
Nous ne faisons que trois pose une pour changer de pilote, une pour refaire le plein et une le soir pour manger.
On arrive finalement chez moi à 23h00. On descend les motos flo récupère s'est bagages et repart chez lui, quant à moi je mets là moto dans le garage, sort mes
Affaires de la voiture et écrit ce dernier CR.
Voilà Le voyage est fini après 3374 km 14 jours.
FIN....
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